• La Lumière

     La  Lumière

    " Notre peur la plus profonde
    n'est pas d'être inaptes.

    Notre peur la plus profonde
    est d'avoir un pouvoir incommensurable.

    C'est notre propre lumière,
    non pas notre noirceur,
    qui nous effraie le plus."

    Nous nous demandons :
    - qui suis-je
    pour être
    brillant, formidable, plein de talents, fantastique ?

    En réalité,
    pourquoi ne pourrions-nous pas l'être ?

    Nous sommes enfants de Dieu.
    Nous déprécier ne sert pas le monde.

    Ce n'est pas une attitude éclairée
    de se faire plus petit qu'on est
    pour que les autres
    ne se sentent pas inquiets.

    Nous sommes tous conçus pour briller,
    comme les enfants.
    Nous sommes nés pour manifester
    la Gloire de Dieu qui est en nous.

    Cette gloire n'est pas dans quelques-uns.
    Elle est en nous tous.

    Et si nous laissons notre lumière briller,
    nous donnons inconsciemment aux autres
    la permission que leur lumière brille.

    Si nous sommes libérés de notre propre peur,
    notre seule présence
    libère automatiquement les autres
    de leur peur.

     

     Extrait du livre "un retour à l'amour" de Marianne Williamson
    (page 188) publié aux Editions AMRITA,
    sous le n° ISBN 1-904616-97-7.

    Une fausse rumeur répandue sur Internet prétend
    que l'original en anglais
    (in "Return to Love", 1992)
     aurait été cité par Nelson Mandela
    lors de son intronisation à la présidence
    de la République de l'Afrique du Sud
    en 1994.

    La Lumière qui brille en chacun de nous

    Conte de Lumière

     

    Il était une fois . . .

    Il était une fois Lumière qui,
    de son Cosmos,
    souhaitait que sa clarté grandisse.

    Elle souhaitait même éclairer
    une parcelle de cette planète
    que le monde appelle Gaïa.

    Cette Lumière,
    qui brille depuis la nuit des temps,
    avisa alors un homme de Gaïa,
    susceptible de lui permettre de grandir.

    Puis elle porta son choix sur une femme de Gaïa
    et les fit se rencontrer.

    Fût-ce le coup de foudre
    ou une union passagère ?
    Personne ne le sait.

    Mais une chose est sûre :
    c'était pour Son bien,
    et pour celui
    de l'homme et de la femme de Gaïa.

    Dans le ventre de la femme de Gaïa
    se développa alors
    l'hôte de la Lumière.

    Durant toute cette période,
    Lumière resplendit de Joie,
    et constata combien cette Joie
    était partagée avec
    l'homme et la femme de Gaïa.

    C'était l'Unité,
    c'était l'Amour.

    Plein d'Amour !

    La transcendance de l'Être
    permettait déjà à Lumière
    d'éclairer Gaïa !

    L'Amour rend aveugle,
    dit-on.
    Il n'y avait donc
    plus de Gaïa, ni d'homme, ni de femme.

    Il y avait l'Unité, le Tout,
    et tout était en Amour.

    Un jour, toutefois,
    un événement important
    marqua
    l'hôte de la Lumière.

    En effet,
    cette petite créature
    fut projetée dans le vide.

    Le premier vide ressenti fut alors celui,
    tout naturel,
    de ses poumons.

    Heureusement, l'hôte de la Lumière
    se retrouva dans des mains bienveillantes.

    Mais il ne fallait
    pas tarder à combler ce premier vide.

    Un cri se fit entendre
    et l'air indispensable
    emplit alors les poumons
    de l'hôte de la Lumière.

    Comme il était bienvenu
    cet air qui du vide fait le plein
    et
     alimente la flamme de la vie
    de l'hôte de la Lumière !

     Cette première expérience,
    qui à terme ne peut être qu'un bienfait,
    ne resta pas sans conséquence
    pour l'hôte de la Lumière.

    Dans un premier temps,
    l'hôte de la Lumière
    a enregistré qu'il a été séparé de sa mère.

    Ce traumatisme laissera donc des traces.

    Dorénavant, il y aura toujours
    lui et sa mère.

    Il a donc passé
    du Un au deux,
    de l'Unité à la dualité.

     Durant toute sa vie,
    il ne cessera
    de chercher à retrouver
    son passé
    et l'Unité qu'il a quittée.

    Dans ce but,
    il imaginera donc
    retourner dans le ventre de sa mère.

    Fusionner avec elle,
    voilà la solution,
    pense-t-il.

    Ainsi,
    avec la naissance
    naît l'illusion.

    Une illusion qui est le fruit
    de la pensée divisée.

    Une illusion que l'hôte de la Lumière
    va entretenir longtemps
    et de mille et une manières.

    Mais en attendant,
    l'hôte de la Lumière
    est adorable.
    On dit même
    qu'on le mangerait !

    Il sourit et répand autour de lui
    la Joie.

    C'est vraiment un ange !

    Cependant,
    l'ange n'est plus au Ciel
    mais sur Gaïa.

    Ainsi donc,
    petit à petit,
    après sa première expérience,
    il en a d'autres.

    Parfois, il a faim,
    mais ce n'est pas l'heure de manger.
    Parfois, il voudrait s'ébattre,
    jouer ou simplement chanter,
    mais c'est l'heure de dormir.

    Ainsi,
    expérience après expérience,
    l'hôte de la Lumière
    devient,
    subtilement,
    égotique.

    Dans son coeur
    rempli de la Lumière,
    il laisse l'ego prendre place.

    Et,
    comme l'ego est ravageur et dément, 
    celui-ci va se développer
    à sa manière
    au fil des nouvelles expériences
    que fera l'hôte de la Lumière.

    Ainsi,
    voyant ses parents,
    rayonnants en habit de fête
    ou renfrognés en tenue de travail,
    l'enfant développera des croyances.

    Puis son sens tactile
    lui fera découvrir
    les risques et le danger.

    Il entendra :
    ne touche pas, ça brûle,
    et il se brûlera.

    L'âge de raison venant,
    voilà que surviennent
    de nouvelles expériences
    dont l'ego se régalera.

    L'hôte de la Lumière
    entend :
    fait ceci,
    ne fais pas cela,
    c'est bien, c'est mal,
    etc.

    Il en entendra,
    il en verra
    et il en sentira
    bien d'autres encore ...

    Ainsi, 
    l'hôte de la Lumière
    met en place
    un système sournois
    de croyances
    et de pensées égotiques.

    Il va commencer à
    ménager la chèvre et le chou
    en oubliant Lumière
    et en s'accommodant de l'ego.

    Dans la fleur de l'âge,
    l'hôte de la Lumière,
    risque même d'oublier
    qu'Elle est présente en lui,

    et se laissera guider
    de plus en plus par l'ego.

    Il donnera aux choses
    une signification

    qu'elles n'ont pas.

    Pour ne citer qu'un exemple :
    le soleil qui se lèverait chaque matin
    alors qu'il ne se couche jamais.

    Il en va de même
    de la perception
    qui n'est qu'un rêve
    illusoire,
    fruit de l'interprétation
    personnelle.

    Ainsi va le monde,
    depuis la nuit des temps
    pré-araméens, égyptiens
    grecs et romains,
    jusqu'à nos jours,
    en passant par le Graal,
    les Aztèques et bien d'autres.

    Tous ont cependant la conviction
    qu'existe
    Un Principe Spirituel.

    Chacun lui donne alors une identité
    à sa convenance,
    et accorde la primauté
    à ce substitut du UN.

    De cette erreur,
    qui est à rectifier,
    naît la culpabilité,
    notamment celle d'usurper
    le pouvoir du Principe Spirituel
    en ne reconnaissant pas
    que nous sommes son Fils
    et tous Frères
    dans la Trinité
    de l'Esprit Saint.
     

     Ne l'oublions pas !

                                                                                                                                                           Charles Christen

    La Lumière qui brille en chacun de nous

    De la durée de l'illusion

    Il existe un tunnel obscur dans la lumière infinie.
    On le nomme  « Temps ».

    Lorsqu'un être humain entre dans ce tunnel,
    on appelle cela  « Naître ».

    Lorsqu'un être humain marche dans ce tunnel,
    on appelle cela  « Vivre ».

    Lorsqu'un être humain sort de ce tunnel,
    on appelle cela  « Mourir ».

    Considérer que vivre se réduit à évoluer dans le tunnel obscur,
    cela s'appelle  « Illusion ».

    Percer des trous dans le tunnel obscur,
    cela s'appelle  « Science ».

    Savoir que la lumière est autour du tunnel,
    cela s'appelle  « Foi ».

    Voir la lumière dans le tunnel obscur,
    cela s'appelle  « Amour ».

    Voir la lumière à travers le tunnel obscur,
    cela s'appelle  « Sagesse ».

    Éclairer le tunnel obscur de sa propre lumière,
    cela s'appelle  « Sainteté ».

    Confondre le tunnel obscur et la lumière,
    cela est au-delà des mots.

    http://www.connais.org/lumiere.htm#Conte


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