• 7 scientifiques anunnaki en stase se réveillent

    Les géants anunnaki endormis sont de retour par Michel Salla

    Le 1er novembre, ma source de l’armée américaine JP a révélé qu’un autre roi géant dans une chambre de stase avait été trouvé en Irak.

    Selon d’autres sources, le géant fait partie d’un groupe de 12 scientifiques laissés par une faction des Anunnaki qui s’en allaient.

    JP a donné des détails sur l’emplacement du géant endormi comme étant quelque part sous les vestiges de la ville sumérienne de Nippur, qui était l’ancienne capitale du chef de la flotte spatiale Anunnaki, Enlil, et de son fils Ninurta.

    L’emplacement de Nippur comme l’un des endroits où un géant endormi pouvait être trouvé était très important car cela signifiait qu’une partie de l’ancienne technologie spatiale Anunnaki était presque certaine d’être trouvée cachée dans les ruines enfouies.

     

     

    Dans mon article précédent traitant de la mise à jour de JP, j’ai mentionné comment Thor Han Eredyon avait révélé l’identité du géant à Elena Danaan comme étant Arunna, l’un des enfants d’Enlil. Afin d’en savoir plus sur Arunna et d’autres géants endormis, Elena a demandé à Enki (alias Prince Ea) l’identité des Anunnaki endormis qui avaient été laissés derrière lui lorsqu’il avait quitté la Terre après le Grand Déluge (vers 9700 avant JC).

    Ce qui suit sont les réponses d’Enki aux questions d’Elena, où il discute d’un total de 12 scientifiques Anunnaki qui avaient été laissés pour compte, chacun possédant des connaissances ésotériques uniques et des secrets technologiques :

    [Enki] Mon équipage a décidé de rester, enfin, la plupart d’entre eux. D’autres ont décidé de quitter la Terre avec moi. Ils voulaient rentrer chez eux. Mais ceux qui sont restés ont pris la mission et la responsabilité d’être les Gardiens de la Connaissance. Chacun d’eux, voyez-vous, est un activateur clé de la technologie. Non seulement la clé de fréquence génétique de leur corps est nécessaire, mais elle doit être couplée à leur conscience personnelle. Vous voyez, la conscience est la clé.

     

    [Elena] Combien sont-ils, les Anunnaki endormis en stase ?

     

    [Enki] Ils étaient douze, mais quatre corps ont été détruits, et un est sous la garde de l’ennemi. Sept restent intacts; quatre sont en cours d’activation.

     

    [Elena] Kukulkan est l’un des quatre ?

     

    [Enki] Ningishzida, oui.

     

    [Elena] Qui sont les autres ?

     

    [Enki] Connaître leurs noms fait partie du processus d’activation, je ne peux donc pas divulguer leurs vrais noms. Vous comprenez? Certains ne sont pas encore prêts.

     

    [Elena] Je comprends. Thor Han m’a dit que celui sous Nippur s’appelle Arunna. Est-ce correct?

     

    [Enki] Comment le connais-tu ?

     

    [Elena] Notre ami qui est dans les programmes militaires secrets de la Terre nous l’a dit. Il peut y aller en mission.

     

    Elena fait ici référence à JP, qui a été le premier à avoir reçu des détails sur un nouveau géant endormi situé en Irak et a transmis les coordonnées géographiques de l’endroit où il a été trouvé. JP avait déjà été témoin d’un géant endormi dans une caverne de Floride que Thor Han a identifié comme étant Ningishzida, également connu sous le nom de Kukulcan, Quetzacoatl, Viracocha, etc.

    Le processus d’activation de Ningishzida a reçu un coup de pouce lorsqu’il a été identifié lors d’une grande conférence à Orlando avec plus de 900 participants qui ont participé à une cérémonie d’activation dirigée par un chaman aztèque Quetza Sha.

    Elena a ensuite soulevé la question des technologies que l’on pourrait trouver à Nippour, et Enki a poursuivi en élaborant sur leur nature avancée et leur sophistication :

    [Elena] Thor Han a dit qu’Arunna est une ingénieure scientifique spécialisée dans les engins spatiaux.

     

    [Enki] Le maître constructeur de navires. La technologie qu’il protège a un grand pouvoir. Avec les navires sont également les moteurs de base et une technologie bien plus grande : les sources d’énergie. Les conteneurs sont toujours là, mais personne sur la planète Terre ne sait comment les activer. Les Terriens ont même peur de manipuler ces conteneurs. Ils attendent donc les clés pour comprendre comment cela fonctionne. La clé est la conscience du génome.

     

     

    [Elena] Est-ce que quelqu’un incarné sur Terre, qui a la même génétique, peut activer cette technologie ?

     

    [Enki] Comment pensez-vous qu’ils ont choisi les soldats et les gens pour ces missions ? Tous ont le génome. Et vous savez, sinon, ils ne pourraient pas accéder aux lieux. Les boucliers de fréquence les arrêteraient.

     

    Par « Genome-Consciousness », Enki fait référence à des individus tels que JP et Radu Cinamar, décrits dans la série de livres Transylvania Sunrise, qui portent la bonne génétique à la fois pour accéder aux emplacements où les technologies anciennes sont cachées, passer à travers des barrières de fréquence protectrices sophistiquées, et enfin activer ces technologies anciennes. Dans des articles précédents, j’expliquais comment JP activait des technologies lorsqu’il pénétrait dans des arches spatiales enterrées.

     
     

     

     

     

    Au cours des deux dernières années, JP s’est vu confier davantage de responsabilités dans les missions vers des arches spatiales cachées et d’autres technologies extraterrestres anciennes. Il a dirigé des missions et instruit d’autres personnes, ce qui corrobore ce qu’Enki a révélé à propos de ceux qui ont la bonne conscience du génome comme étant les clés pour trouver et activer ces technologies anciennes avancées.

    De même, Radu Cinamar a été autorisé à effectuer des missions sur diverses technologies anciennes associées à une salle des archives enterrée dans les monts Bucegi en Roumanie, qui relie des salles similaires en Égypte, au Tibet et en Irak.

    Dans ses livres, Cinamar explique comment la conscience du génome est la clé pour accéder aux technologies anciennes, qui sont d’origine extraterrestre ou humaine.

    En réponse à une autre question d’Elena, Enki décrit ensuite l’existence d’une porte des étoiles cachée sous Nippour et sa centralité dans un réseau plus étendu qui se connecte au reste de la galaxie.

    [Elena] Thor Han a mentionné une porte des étoiles.

     

    [Enki] Là, sous la zone de Nippur à l’extérieur de la ville antique, se trouve la porte principale qui reliait autrefois cette planète au réseau des grandes routes de cette galaxie. Elle est désactivée mais c’est la clé centrale reliant toutes les autres portes entre elles. Ce portail central relie des portails mineurs dans d’autres lieux anciens où les archives et la technologie sont secrètement conservées.

     

    J’ai commencé à écrire sur la porte des étoiles de l’Irak en 2003 et c’était la vraie raison de l’invasion de l’Irak par l’administration Bush. Depuis lors, de nombreux auteurs ont écrit sur l’existence des portes des étoiles et sur les efforts déployés pour les contrôler.

    Les réponses d’Enki aux questions d’Elena Danaan ont donné beaucoup plus de détails sur les incroyables technologies et informations qui peuvent être trouvées aux endroits où différents scientifiques Anunnaki se sont cachés dans des chambres de stase.

     

     

    Selon les informations de JP, ces scientifiques étaient de stature physique géante  et étaient considérés comme des rois par les premiers humains.

     

    Au fur et à mesure que les scientifiques Anunnaki se réveilleront, nous en apprendrons davantage sur la technologie et les connaissances qui sont restées enfouies avec eux pendant des millénaires et sur la manière dont leur publication contribuera à propulser l’humanité vers un nouvel âge d’or.

    Michael Salla, Ph.D.

    Un grand merci à Elena Danaan pour l’autorisation d’utiliser des extraits de sa communication avec Enki/Prince Ea et ses illustrations. Son site Web est : elenadanaan.org

    exopolitics.org

     

    Source: https://elishean777.com/7-scientifiques-anunnaki-en-stase-se-reveillent/


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  • Le photographe mexicain

     

    Adir a réussi à capter une image extraordinaire de quelques petits êtres élémentaires à bord d'une libellule. Le 15 juillet 2022, l'étudiant en photographie effectuait une séance dans un terrain ouvert dans un État du sud du pays du Mexique, car sa mission visait à capter les insectes et les fleurs qu'il y trouvait. Il a été attiré par une libellule qui passait plusieurs fois près de lui en le retournant encore et encore. Il a commencé à essayer de capter l'insecte jusqu'à ce qu'il obtienne une prise, en agrandissant l'image, il a pu voir ses petits membres d'équipage et était stupéfait, mais la libellule avait disparu, elle avait pris sa retraite. Le photographe ne voulait pas dire lieu exact et nom réel car il craint que l'habitat de ces êtres soit envahi pour rechercher des preuves de leur existence et leur générer un mal. Il a aussi fait remarquer que les habitants ont vu des lumières descendre du ciel la nuit. Il ne fait aucun doute que les êtres élémentaires existent et étant aussi des êtres dimensionnels ils parviennent à rester dans notre 3D pour soutenir la conservation et la prise en charge des zones naturelles et des animaux en extension. · ·


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  • Les mystères du mont Kailash : pourquoi personne ne l’a jamais escaladé ?

     

     

    Le mont Kailash est situé dans une région reculée du Tibet occidental et ce lieu est peut-être l’un des endroits les plus mystérieux de la planète Terre. Peu importe les efforts des chercheurs, les secrets de la montagne restent incompréhensibles…

     

    L’altitude du Kailash est de 6666 mètres. Quatre rivières principales de l’Inde y prennent leur source. Cependant, les principaux mystères de l’eau sont deux lacs. Ils sont situés à une altitude de 4650 mètres. Séparés l’un de l’autre par un mince isthme de pierre, ils sont une véritable merveille du monde.

     

    Le premier – Manasarovaras, Mapam Jumco (« lac d’eau vive ») garde son calme par tous les temps, même les plus défavorables. Vous pouvez boire sans risque son eau douce la plus pure. Certains remarquent même l’effet curatif et rajeunissant du Manasarovar.

     

    Les eaux salées du second réservoir sont constamment en tempête. Même s’il n’y a pas de brise sur la rive, la surface du lac est toujours en ébullition. Le lac Rakshastal (« lac mort » ou « lac du démon ») est constamment en mouvement. Son eau n’est pas si impropre à la consommation, elle est simplement dangereuse pour les humains. Parmi les pèlerins, il existe une interdiction sacrée de visiter cet endroit.

     

    Des éclipses solaires et lunaires sont visibles dans ces deux lacs. On ne sait toujours pas si ces lacs ont été formés naturellement ou artificiellement. Toutes les rivières prennent leur source au mont Kailash : 4 rivières prennent leur source dans les 4 directions du mont Kailash – Brahmapoutre, Indus, Sutlej et Karnali. Le Gange, la Saraswati et d’autres fleuves de Chine prennent également leur source dans ces rivières.

     

    Ce n’est pas la chose la plus surprenante qui se passe sur la mystérieuse montagne. La rumeur veut que le temps s’y comporte différemment. Il s’écoule parfois en douceur, parfois il s’étire, mais le plus souvent il court comme s’il sautait. De plus, ce phénomène ne s’applique qu’aux espèces biologiques.

     

     

    Certains voyageurs ont remarqué qu’à en juger par la façon dont les cheveux poussent, 12 heures passées sur la montagne peuvent être assimilées à deux semaines ordinaires complètes.

     

     

     

    Mais tout le monde n’est pas capable de s’approcher de cette montagne. Pour une raison quelconque, les pensées du voyageur sont confuses, et voilà qu’il ne fait que monter gaiement l’escalier, et la seconde d’après, il manque de le descendre en courant. D’ailleurs, beaucoup ont remarqué que la prise de conscience du changement de direction se fait déjà au pied.

     

    Aucun alpiniste n’a encore réussi à conquérir le sommet du mont Kailash.

     

    En 1926, Hugh Ruttledge a étudié la face nord, qu’il estimait « totalement infranchissable » et a pensé à une ascension de l’arête nord-est, mais il a manqué de temps. Ruttledge avait exploré la région avec le colonel R. C. Wilson, qui se trouvait sur l’autre versant de la montagne avec un sherpa nommé Tseten.

     

    Wilson a dit que Tseten lui a dit : « ‘Sahib, nous pouvons grimper là !’… car il voyait lui aussi que cela [la crête SE] représentait une route praticable vers le sommet ». Wilson poursuit en expliquant que, bien qu’il ait voulu sérieusement escalader le Kailash, il s’est heurté à des difficultés inattendues : « Au moment où j’ai découvert une marche facile vers le sommet de la montagne, une neige abondante s’est mise à tomber, rendant l’ascension impossible. »

     

    Herbert Tichy était dans la région en 1936, tentant d’escalader la montagne. Lorsqu’il a demandé à l’un des Garpons de Ngari si le Kailash pouvait être escaladé, le Garpon a répondu : « Seul un homme entièrement libéré du péché pourrait escalader le mont Kailash. »

     

    Outre les anomalies au sol, la montagne est remarquable par son emplacement. Elle est située directement en face de l’île de Pâques. Mais de l’autre côté de la planète. L’île est également connue pour ses mystères.

     

    Les voyageurs ont effectué un certain nombre de mesures. Il s’est avéré que Stonehenge est exactement à 6666 kilomètres de Kailash. Le pôle Nord est exactement à la même distance, et le pôle Sud est deux fois plus éloigné.

     

     

    Tous ceux qui étudient le mont Kailash affirment unanimement qu’il a une forme pyramidale. De manière surprenante, ses faces sont strictement orientées vers les points cardinaux. Les chercheurs sont également certains qu’il existe de vastes vides à la base et au milieu de la montagne.

     

    Cela suggère directement la conclusion qu’il s’agit d’un bâtiment artificiel. Mais qui et pourquoi a érigé une telle structure cyclopéenne reste également un mystère.

     

    Enfin, le mystère le plus intéressant du mont Kailash est le soi-disant sarcophage de Nandi qui s’y trouve. Il s’agit de l’un des lieux les plus sacrés.

     

    Apparemment, cette forme spéciale est nécessaire pour la concentration de l’énergie cosmique dans le temple. Il a été prouvé que de telles formes ne se trouvent plus au Tibet. Cependant, on ne les trouve nulle part ailleurs sur la planète.

     

     

    Si nous utilisons l’analogie avec les temples russes et indiens, alors il y a des raisons de croire que le sarcophage n’est que le sommet d’un ancien sanctuaire souterrain.

     

     

    Correspondance des formes du Mont Nandi avec le Mausolée de D.M. Pozharsky dans le Monastère de Spaso-Euthymius (Suzdal, Russie) et le Temple de Navadevi (fin du 6ème – début du 7ème siècle, Jogeshvari, Etat)

     

    Le temple lui-même est beaucoup plus bas.

     

    Voici comment cet endroit est décrit dans les textes tibétains :

     

    « [Au sud], dans une zone ouverte, devant ces sanctuaires funéraires dorés se dresse une colline rocheuse connue sous le nom de Palais du saint bouddhiste Angaji (gNas-brtan Yang-lag-byung-kyi Pho-brang), et sur les pentes de la montagne [à l’est], qui semble attachée à un rideau de soie blanche, vit l’assemblée divine de Yeshes Gonpo… ».

     

     » Assemblée divine  » – apparemment, cela signifie que le sarcophage cache pour l’instant au monde tous les grands maîtres qui ont été envoyés sur terre. Il est probable que Krishna, Bouddha, Zoroastre et peut-être même Jésus s’y trouvent, dans un état de samadhi (une méditation très profonde dans laquelle le corps peut subsister pendant des milliers d’années).

     

    Le mont Kailash est aussi beau qu’il en a l’air, il est aussi mystérieux. Cette montagne renferme de nombreux secrets en son sein. Elle est mentionnée comme Kailas Khand dans le Shiva Purana, le Skanda Purana, le Matsya Purana, etc.

     

    La mythologie dit qu’il y avait un ancien trésor de Kubera près du mont Kailash. Cependant, son emplacement exact n’est pas encore connu. Aujourd’hui, nous allons vous révéler les secrets et les mythes liés au Mont Kailash, sachant que vous serez choqués. Selon les scientifiques, le mont Kailash est le centre de la Terre.

     

    On prétend que le Mont Kailash est souvent vu brillant dans le ciel avec 7 types de lumières. Selon les scientifiques de la NASA, cela pourrait être dû à la force magnétique qui règne ici.

     

    Bien sûr, ce ne sont que des rumeurs. Et seule l’expédition pourrait confirmer ou infirmer ces théories. Malheureusement, pour des raisons qui nous sont inconnues, le gouvernement chinois a interdit les expéditions dans ces lieux.

     

    SOURCE:  https://www.astrounivers.com/les-mysteres-du-mont-kailash-pourquoi-personne-ne-la-jamais-escalade/


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    ... Comment l'Ormus connecte l'esprit avec la matière ?

    Les éléments ORMUS sont des éléments en métal précieux, dans leur forme naturelle non métallique.
    Sous cet aspect, ils sont beaucoup plus ordinaires qu'ils ne le sont dans leur forme métallique.
    Les éléments ORMUS sont des minéraux nutritifs essentiels à toute forme de vie.
    De nombreux témoins attestent de l'amélioration de leur état suite à la prise des éléments ORMUS dans leur forme concentrée.

    Ces éléments ont aussi d'étranges propriétés. Parfois ils disparaissent, lévitent ou traversent des parois solides. Ils ressemblent aux matériaux utilisés anciennement par les alchimistes. Ils ont été associés aux "manna" bibliques, "shewbread", à l'or du Roi Salomon et aux "mfktz" égyptiens, relatés par Laurence Gardner dans son livre " Lost Secrets of the Sacred Ark ". Les textes anciens, hindous et chinois, font allusion à des matériaux similaires possédant des propriétés identiques.Beaucoup de consommateurs affirment que les éléments ORMUS accroissent les facultés psychiques et spirituelles.

    Les éléments ORMUS proviennent de l'air, de l'eau et de la terre.
    Leur relative abondance les rend facile à extraire et leur mise en concentration requiert des méthodes chimiques et mécaniques plutôt simples. Les matériaux d'ORMUS sont apparemment des élément chimiques traditionnels ayant adopté une structure atomique différente. Ainsi, il s'agirait d'un 4e état possible de la matière, mis à part le solide, liquide, et gaz que nous connaissons déjà. Il existe un lien important, voir majeur, entre ce"nouvel" état de la matière, connu depuis des millénaires par les alchimistes, et le phénomène d'énergie d'orgone.
    Nous sommes sur le point de faire le lien entre la matière et l'éthérique…

    Concernant l'eau, nous savons qu'elle contient beaucoup plus que des atomes d'hydrogène et d'oxygène.
    Un gallon d'eau triple distillée pèse 8 livres, alors qu'un gallon d'eau synthétisée en laboratoire à partir d'oxygène et d'hydrogène pèse 7 livres. Lorsque nous apprenons que les éléments à l'état m sont solubles à l'air, et qu'ils ont la capacité de se cacher à l'intérieur des molécules, il devient possible d'imaginer que ces particules " nouvelles " n'aient jamais été découvertes par les scientifiques traditionnels mais qu'elles constituent une composante bien essentielle de l'eau. Ceci pourrait aussi expliquer les effets de "mémoire" et de programmabilité de l'eau.

    UN PEU D'HISTOIRE...

    Tout au long du siècle dernier et particulièrement depuis l’époque d’Albert Einstein, les scientifiques ont poursuivit une quête du Saint Graal de la physique moderne : "la théorie unifiée du tout". Ceci a débouché sur des découvertes inouïes et l’émergence d’un tout nouveau langage qui inclut les supercordes, les quarks et la supraconductivité, ainsi que la conscience de plans d’existence, inconnus jusqu’ici, au-delà de notre propre espace-temps familier.

    Dans le domaine de la physique quantique, les scientifiques ont récemment confirmé que la matière peut en effet se trouver à deux endroits simultanément. Nous savons maintenant que, à cause de "l’enchevêtrement" quantique, des particules qui se trouvent à des millions d’années-lumière l’une de l’autre peuvent être en relation sans contact physique. L’espace-temps peut être manipulé, la téléportation devient une réalité, on annonce des matériaux échappant à la gravité pour les transports aériens, et la science virtuelle nous offre une meilleure compréhension des environnements hyperdimensionnels.

    Lorsque, dans La Genèse des Rois du Graal, j’abordais les attributs de l’or monoatomique et des métaux platiniques, j’observais qu’il ne faudrait guère de temps avant qu’il ne soit question des potentialités de ces métaux nobles en vue de la conception de piles à combustible respectueuses de l’environnement. Je suggérais que celles-ci supplanteraient les combustibles fossiles pour les transports et d’autres applications pratiques. Par la même occasion, j’évoquais leur utilisation future en médecine, et particulièrement dans le traitement du cancer. Plus particulièrement, j’examinais les attributs antigravitationnels de ces poudres blanches exotiques et leurs pouvoirs supraconducteurs de nature à dévier l’espace-temps.

    Ce qui est vraiment étonnant au sujet de cette énigmatique poudre blanche d’or, à spin élevé, et des métaux platinoïdes, c’est que leur découverte n’est en fait pas récente. Les anciens Mésopotamiens l’appelaient shem-an-na et les Egyptiens la désignaient par mfkzt (la traduction des hiéroglyphes omet les voyelles), tandis que les Alexandrins la vénéraient comme un don du Paradis, et plus tard des chimistes, tel Nicolas Flamel, l’appelèrent la Pierre Philosophale.

    A toutes les époques de l’histoire, la "poudre de projection" sacrée était réputée posséder d’extraordinaires pouvoirs de lévitation, de transmutation et de téléportation. On disait qu’elle produisait une lumière brillante et des rayons mortels, tout en étant la clef d’une longévité physique active. Dans le monde actuel, l’Institut des Etudes Avancées (Austin, Texas, USA) a décrit cette substance comme "matière exotique", et sa supraconductivité (une de ses caractéristiques principales) a été déclarée par le Center for Advanced Studies (Université de l’Illinois, USA) comme étant "la propriété physique la plus remarquable de l’univers".

    « L’histoire raconte que Moïse prit le veau d’or, le brûla au feu et le transposa en une poudre dont il nourrit les israélites. »

    Cependant d’antiques documents montrent clairement que les attributs de supraconductivité et d’affranchissement gravitationnel étaient connus, si non compris, dans le monde cultuel lointain de la lévitation, de la communication divine et du pouvoir phénoménal de l’eletrikus. Dans la mythologie grecque, la quête de cette substance était au centre de la légende de la Toison d’Or, tandis qu’en termes bibliques c’était le domaine mystique de l’Arche d’Alliance, le coffre en or que Moïse ramena du Sinaï et qui fut ensuite conservé au temple de Jérusalem.

    Nonobstant tout cela, la première référence historique de la poudre mfkzt est probablement la plus significative. Elle apparaît sous une forme très spécifique dans les textes des pyramides égyptiennes; des écrits sacrés qui ornent la tombe pyramidale du roi Unas, de la Vème dynastie, à Saqqara. Il y est décrit le lieu où le roi est réputé vivre éternellement avec les dieux et ce lieu est nommé le Champ de Mfkzt, un site éthérique associé à une dimension d’outre-monde nommée le Champ des Bénis. Etant donné que les processus mystérieux associés à l’or possèdent une connotation alchimique, et puisque la poudre de projection monoatomique, bien que constituée de métaux nobles, est classée en tant que "pierre", examinons les écrits du XVIIème siècle de l’alchimiste Eirenaeus Philalèthe [Ndt : orthographe française incertaine]. Ce philosophe britannique réputé, admiré par Isaac Newton, Robert Boyle, Elias Ashmole et d’autres contemporains, publia, en 1667, un ouvrage intitulé Secrets Revealed [les Secrets Révélés]. Dans ce traité, il analyse la nature de la Pierre Philosophale, supposée pouvoir transmuer un métal vulgaire en or. Mettant les choses au point, Philalèthe conclut que la Pierre était elle-même constituée d’or et que l’art du philosophe consistait à perfectionner le processus.

    Notre Pierre n’est rien que de l’or affiné au plus haut degré de pureté et de subtile fixation... Notre or, n’étant plus vulgaire, est le but ultime de la Nature. Dans un autre traité intitulé A Brief Guide to the Celestial Ruby [Guide Sommaire vers le Ruby Céleste], Philalèthe déclare : On la nomme Pierre à cause de sa nature fixe ; elle résiste à l’action du feu aussi bien que n’importe quelle pierre. En l’espèce, c’est de l’or, plus pur que le plus pur, elle est fixe et incombustible comme la pierre, mais en apparence c’est une poudre très fine. Quelques temps plus tôt, au XVème siècle, l’alchimiste français Nicolas Flamel écrivit dans son Dernier Testament, daté du 22 novembre 1416, que lorsque le métal noble était parfaitement réduit et séché il devenait une "fine poudre d’or", qui est la Pierre Philosophale.

    « On la nomme Pierre à cause de sa nature fixe ; elle résiste à l’action du feu aussi bien que n’importe quelle pierre. En l’espèce, c’est de l’or, plus pur que le plus pur, elle est fixe et incombustible comme la pierre, mais en apparence c’est une poudre très fine. »

    Cette histoire a longtemps laissé les théologiens perplexes, car l’exposition de l’or au feu ne produit évidemment pas une poudre blanche, mais de l’or fondu. Plus loin dans le récit cependant, on explique que cette fine poudre pouvait être rassemblée avec de l’encens et transformée en gâteaux de pain blanc, que l’ancienne Bible des Septante appelle le "pain de la présence".

    « C’est à Karnak que, vers 1450 av. J.-C., Thoutmès III fonda sa fraternité de Maîtres Artisans métallurgistes. Ils se réclamaient de la Grande Confrérie Blanche, un nom issu, dit-on, de leur activité en relation avec une mystérieuse poudre blanche de projection. »

    Tout cela est mélangé et confondu avec des récits de feu sur la montagne et l’importance soulignée de l’Arche d’Alliance, le coffre en or au couvercle surmonté d’un chérubin, entre les ailes duquel sortaient de mortels éclairs. En rapport avec le pain de la présence, ces traits de lumière de l’Arche étaient également désignés en tant que "la présence" (apparemment la présence de Dieu), et les Grecs l’appelaient electrikus. Dans l’ancienne Babylone, la poudre blanche énigmatique à haut spin était appelée an-na qui signifiait "pierre à feu", et lorsqu’elle était formée en gâteaux coniques c’était shem-an-na, dénotant des pierres à feu coniques ou de haute valence. Selon la Bible, les Israélites désignaient la poudre de pain comme manna, qui a une consonance similaire. Dans son Antiquités des Juifs, au premier siècle, Flavius Josèphe explique que le mot manna était en fait une question : "qu’est-ce ?", et le livre de l’Exode confirme ceci : "ils l’appelèrent manna parce qu’ils ne savaient pas ce que c’était".

    Ceci est entièrement compatible avec les révélations du mfkzt dans le Livre des Morts égyptien (appelé aussi papyrus d’Ani). Ce rouleau de la XVIIIème dynastie, de Thèbes, acquis par le British Museum en 1888, est très illustré et mesure plus de 23 mètres de long. Dans cet ancien ouvrage ritualiste, le pain de la présence est associé à un pharaon qui cherche ‘Tillurnination finale" et, à l’issue de chaque étape de son voyage, pose sans cesse la question : "Qu’est ce ?" D’autres textes similaires remontent au IIIme millénaire avant J.-C., et il ressort clairement des bas-reliefs du mont Serâbit au Sinaï que les rois égyptiens ingéraient la blanche manne d’or dés environ l’an 2180 avant J.-C. Cependant, les seuls à connaître le secret de sa fabrication étaient les adeptes des écoles de mystères (Maîtres Artisans), et le futur Grand Prêtre de Memphis portait le titre de Grand Artificier.

    " L’illumination finale", (ou, comme les Grecs l’appelaient : la gnose), était une quête perpétuelle idéale. Car, outre le corps physique, on était censé posséder un "corps de lumière", qui, lui aussi, devait être nourri et soigné afin de se développer. Le "corps de lumière" était appelé le ka et, bien que ce fût essentiellement une forme de vie intangible, il était réputé demeurer actif dans l’Après-vie. L’aliment du ka était la lumière, qui générait l’illumination et la substance productrice de lumière était le mfkzt, la blanche poudre d’or.

    Gardant à l’esprit cette information et nous souvenant que tous les aspects de pareilles découvertes ont toujours été des sources d’interrogation pour les historiens, les théologiens et même les scientifiques, nous allons maintenant nous rapprocher du temps présent.

    LA POUDRE D’OR BLANCHE REDECOUVERTE

    Quittant le Moyen Orient, notre histoire se poursuit en Amérique où, tout à fait par hasard, les mystères de cette science depuis longtemps oubliée ont été redécouverts très récemment. Non seulement le mfkzt a refait surface pour prendre place au premier rang de la recherche en physique quantique, mais les histoires de l’Arche d’Alliance, les récits mettant en scène éclairs de lumière, lévitation et autres attributs divins des textes anciens, sont soudainement devenus des réalités scientifiques modernes.

    L’histoire de cette première découverte a été relatée en 1996 dans des articles de NEXUS par l’agriculteur David Hudson de Phoenix, Arizona. Il expliquait que sa terre souffrait d’un taux élevé de sodium qui durcissait la surface et la rendait étanche à l’eau. Pour corriger cela, (en 1976), il injecta de l’acide sulfurique dans le sol afin de rompre cette croûte et de lui donner une consistance malléable. Mais en analysant les composants qui n’avaient pas été dissous par l’acide, il découvrit qu’un des matériaux avait des propriétés inhabituelles. Chauffé par le soleil de l’Arizona, ce composant s’enflammait en un grand éclat de lumière blanche et disparaissait complètement. Cependant, à l’analyse spectroscopique, cette substance se révéla être "du pur rien" !

    Après des essais infructueux à l’université de Cornell, un échantillon fut envoyé aux laboratoires Harwell, dans l’Oxfordshire en Angleterre, pour une analyse d’activation neutronique, mais même cela ne permit pas une indentification valable. Finalement, moyennant l’assistance de l’Académie des Sciences Soviétique, on parvint à la conclusion que cette mystérieuse matière blanche brillante était entièrement composée de métaux platinoïdes sous une forme jusque-là inconnue de la science.

    Au fil de la poursuite de ces recherches, le matériau fut régulièrement chauffé et refroidi, ce qui eut pour effet une fluctuation de son poids gravitationnel. On observa également qu’à une certaine température, la perle blanche se désagrégeait pour devenir une poudre monoatomique (un seul atome) et qu’à ce stade son poids diminuait de façon spectaculaire à 56% du poids d’origine. Une montée en température jusqu’à 1160°C transformait cette substance précieuse en un verre merveilleusement clair, tandis que son poids retrouvait les 100% d’origine. Cela semblait impossible, mais l’expérience fut répétée nombre de fois !

    Complètement perplexes, les scientifiques poursuivirent leurs investigations. En chauffant et en refroidissant de façon répétée, sous des gaz inertes, ils découvrirent que la phase de refroidissement portait l’échantillon à un poids incroyable égal à 400 fois sa valeur d’origine; mais en le chauffant à nouveau, le poids diminuait à moins que rien, une valeur largement négative. Lorsqu’ils retirèrent l’échantillon du plateau, ils s’aperçurent que celui-ci était plus lourd que lorsque le matériau s’y trouvait et que la substance possédait la propriété de transférer son apesanteur à l’objet qui le contenait. En d’autres termes, même le plateau était en lévitation ! Ceci correspondait exactement à l’ancien texte alchimique alexandrin qui, 2000 ans plus tôt, disait de la Pierre en or du Paradis que : "la matière surpasse en poids sa quantité d’or d’origine, mais une fois transformée en poudre, elle ne fait pas le poids en balance avec une plume".

    Il fut établi aussi que la substance était un supraconducteur naturel à champ magnétique nul, repoussant également les pôles magnétiques nord et sud, tout en ayant le pouvoir de lévitation et d’emmagasiner n’importe quelle quantité de lumière et d’énergie.

    Parvenu à ce stade, David Hudson rencontra le Dr Hal Puthoff, Directeur de l’Institut des Etudes Avancées à Austin, Texas. Dans sa recherche sur l’énergie et la gravité au point zéro en tant que force fluctuante de point zéro, Puthoff avait établi que, lorsque la matière commence à réagir en deux dimensions (comme le faisaient les échantillons d’Hudson), elle devait théoriquement perdre environ 4 neuvièmes de son poids gravitationnel. Cela représente environ 44%, précisément le chiffre résultant des expériences sur la poudre blanche.

    Hudson fut donc en mesure de confirmer, par la pratique, la théorie de Puthoff, selon laquelle lorsque la poudre monoatomique passe à un état de supraconductivité, elle n’accuse que 56 % de son poids d’origine ; et aussi que lorsqu’elle est chauffée elle peut parvenir à un état gravitationnel inférieur à zéro, si bien qu’à ce point le plateau pèse moins que lorsqu’il est vide... Finalement moyennant l’assistance de l’Académie des Sciences Soviétique, on parvint à la conclusion que cette mystérieuse matière blanche brillante était entièrement composée de métaux du groupe platinique sous une forme jusque-là inconnue de la science

    En chauffant et en refroidissant de façon répétée, sous des gazinertes, ils découvrirent que la phase de refroidissement portait l’échantillon à un poids incroyable égal à 400 fois savaleur d’origine ; mais en le chauffant à nouveau, le poids diminuait à moins que rien, une valeur largement négative. Lorsqu’ils retirèrent l’échantillon du plateau, ilss’aperçurent que celui-ci était plus lourd que lorsque lematériau s’y trouvait et que la substance possédait lapropriété de transférer son apesanteur à l’objet qui le contenait.···

    Comme la gravité détermine l’espace-temps, Puthoff conclut que la poudre était une "matière exotique", capable d’infléchir l’espace-temps.

    Cependant la poudre mfkzt devait alors (selon la théorie) entrer en résonance dans une autre dimension, dans quel cas elle devait devenir complètement invisible. Hudson confirma une fois de plus que c’était exactement le cas : l’échantillon disparaissait en effet à la vue tandis que son poids s’annulait.

    Ce dont il était question, ce n’était pas simplement la disparition visuelle de la substance, mais qu’elle était littéralement transportée dans un plan alternatif parallèle, une cinquième dimension de l’espace-temps. La démonstration en fut faite lorsqu’on tenta de là remuer et de la ramasser avec une spatule, de telle sorte que, lorsqu’elle réapparaîtrait à la vue, sa position soit différente. Mais cela ne se produisit pas, toute la substance réapparut exactement dans la même position et la même forme qu’au départ. Rien n’avait été dérangé pendant la période d’invisibilité, parce qu’il n’y avait plus rien eu de présent dans le plateau. Bref, la substance n’avait pas été invisible, elle avait en fait modifié son état physique et était passée dans une autre dimension.

    Le Dr Puthoff expliqua que c’était analogue à la différence entre un avion furtif, qui ne peut être détecté par les radars, et un aéronef qui serait carrément passé dans une autre dimension.

    Ceci donc, est la dimension supraconductrice de l’Orbite de la Lumière ou, comme il est écrit sur les tombes égyptiennes, Du Champ de Mfkzt.

    Au début des années 1990, des articles concernant les atomes furtifs et la supraconductivité commencèrent à être publiés très régulièrement dans la presse scientifique. L’Institut Niels Bohr à l’université de Copenhagen, ainsi que les Argonne National Laboratories à Chicago et le National Laboratory Oak Ridge, au Tennissee, dépendants du Département US de l’Energie, confirmèrent tous que les éléments découverts par Hudson existaient certainement en l’état monoatomique. Ceux-ci incluaient l’or et le groupe des métaux platiniques : l’iridium, le rhodium, le palladium, le platine, l’osmium et le ruthénium.

    En déposant ses brevets, Hudson fit classer les substances en tant qu’Eléments Monoatomiques à Réarrangement Orbital (EMRO) [Ndt : ORME en anglais], et la terminologie scientifique décrivant le phénomène monoatomique est : "haut-spin déformé assymétriquement". Ces substances sont supraconductrices parce que les atomes à haut-spin peuvent transmettre l’énergie de l’un à l’autre sans aucune perte.

    GAUCHIR L’ESPACE-TEMPS AVEC DE LA MATIERE EXOTIQUE

    La manipulation de l’espace-temps acquit un intérêt particulier, qui produisit une annonce étonnante dans le journal Classical and Quantum Gravity [Gravité Classique et Quantique] en mai 1994. Son auteur, le scientifique mathématicien mexicain Miguel Alcubierre, déclara : " Nous savons maintenant qu’il est possible de modifier l’espace-temps de manière à permettre à un vaisseau spatial de voyager à une vitesse arbitrairement élevée simplement par une expansion locale de l’espace-temps en arrière du vaisseau et une contraction opposée en avant ; un mouvement plus rapide que la vitesse de la lumière, évocateur de la propulsion gauchie de la science fiction".
    Ceci fut suivi quelques mois plus tard d’un article dans le American Scientist (Hypersurfing sur l’Espace-Temps" vol. 82, pgs. 422-3, octobre 1994). Dans cette étude, Michael Szpir montra que le concept d’Alcubierre ne violait pas la théorie d’Einstein, selon laquelle aucun objet ne peut se déplacer plus vite que la lumière. Il expliquait que, lorsqu’il était en mode gauchi, le vaisseau ne voyageait en fait pas du tout. L’accélération théorique serait énorme, mais l’accélération réelle serait nulle.

    Comme la gravité détermine l’espace-temps, Puthoff conclut que la poudre était une "matière exotique", capable d’infléchir l’espace-temps.Hudson confirma une fois de plus que c’était exactement le cas : l’échantillon disparaissait en effet à la vue tandis que son poids s’annulait.

    Nous avions ici un mode de voyage à la vitesse de la lumière qui ne demandait qu’un temps minimal et un carburant minimal... mais seulement que la quantité idoine d’espace-temps se soit ostensiblement déplacée depuis l’avant du vaisseau pour se resituer en arrière, grâce, respectivement, à une contraction et une expansion.
    Mais quel dispositif cela nécessitait-il ? L’article d’Alcubierre expliquait qu’une "matière exotique serait requise pour générer une distorsion de l’espace-temps".

    Subséquemment, l’éditeur scientifique de la BBC News britannique, le Dr David Whitehouse, rapporta : L’idée repose sur le concept que, pour les physiciens, l’espace n’est pas vide... L’espace possède une forme qui peut être déformée par la matière... Le vaisseau spatial reposerait simplement dans une bulle gauchie entre deux distorsions de l’espace-temps. Quelle était donc cette "matière exotique" à laquelle Alcubierre faisait allusion ? C’est de la matière dont l’attraction gravitationnelle est inférieure à zéro. Szpir la décrivit comme "une matière douée de la curieuse propriété d’une densité énergétique négative, contrairement à la matière normale (dont sont faits les gens, les planètes et les étoiles), dont l’énergie est positive." Le dispositif exotique nécessaire est un supraconducteur actif; et Hal Puthoff avait déjà expliqué que, à cet égard, le mfkzt de Phoenix était une matière exotique ayant la propriété de dévier l’espace-temps.

    LA SCIENCE MODERNE RENCONTRE L’ANCIENNE ALCHIMIE

    Revenons au début, nous pouvons jeter un autre regard aux ORMES et à leur ingestion régulière par les pharaons égyptiens et les rois babyloniens, pour voir exactement comment ces éléments monoatomiques étaient utilisés pour alimenter leurs corps de lumière, avec des résultats étonnants.

    Dans un article du numéro de mai 1995 du Scientific American, les effets du métal ruthénium, du groupe platine, étaient abordés en relation avec l’ADN humain. On y observait que lorsqu’un unique atome de ruthénium était placé à chaque extrémité d’un brin d’ADN court, ce brin devenait 10000 fois plus conducteur. Il devenait en fait un supraconducteur. Depuis quelques temps les chimistes se doutaient que le double hélicoïde pourrait créer, dans l’axe de la molécule, un chemin hautement conducteur, et nous en avions ici la confirmation.

    Pareillement, la Platinum Metals Review a régulièrement publié des articles concernant l’utilisation du platine, de l’iridium et du ruthénium dans le traitement des cancers (qui sont provoqués par une division anormale incontrôlée des cellules du corps). Lorsque l’état d’un ADN est modifié (ce qui est le cas dans un cancer), l’application d’un composé de platine entrera en résonance avec la cellule déformée, provoquant la détente de l’ADN et sa rectification. Un tel traitement n’implique aucune chirurgie ; il ne détruit pas les tissus environnants par des radiations et n’agresse pas le système immunitaire, comme le font la radiothérapie et la chimiothérapie.

    La profession médicale s’intéressa au haut-spin lorsque la division de recherche biomédicale de la compagnie pharmaceutique Bristol-Myers Squibb annonça que les atomes de ruthénium interféraient avec l’ADN, corrigeant la malformation de cellules cancéreuses. (L’or et les métaux monoatomiques du groupe platine sont en fait des "atomes furtifs", et il est à présent établi que les cellules du corps communiquent entre elles par l’intermédiaire des atomes furtifs à travers un système d’ondes lumineuses). Ce que la nouvelle science découvre, c’est que le ruthénium monoatomique entre en résonance avec l’ADN, démonte l’hélicoïde court et le reconstruit correctement ; exactement comme on démonte et reconstruit un bâtiment en mauvais état.

    On sait que l’iridium et le rhodium ont tous deux des qualités anti-vieillissement, tandis que les composés de ruthénium et de platine interagissent avec l’ADN dans le corps cellulaire. On sait également que, dans leur état monoatomique à haut-spin, l’or et le platine peuvent activer le système glandulaire endocrinien au point de porter la conscience, la perception et les aptitudes à des niveaux extraordinaires. A cet égard, on estime que la poudre d’or à haut-spin a un net effet sur la glande pinéale, augmentant la production de mélatonine. Pareillement, la poudre d’iridium monoatomique a un effet similaire sur la production de sérotonine de la glande pituitaire, et réactiverait "l’ADN-rebut" ainsi que les zones du cerveau imparfaitement exploitées, ou pas du tout.

    Il est particulièrement important que, nonobstant toute la recherche actuelle coûteuse et étendue dans ce domaine, les secrets des pierres à feu de haut spin étaient connus de nos ancêtres il y a des milliers d’années. Ils connaissaient l’existence des supraconducteurs propres au corps humain: éléments de la conscience individuelle qu’ils appelaient le "corps de lumière" (le ka). Ils savaient que le corps physique et le corps de lumière devaient être nourris pour augmenter la production hormonale, et l’ultime aliment pour ce dernier était appelé shem-an-na par les Babyloniens, mfkzt par les Egyptiens et manna par les Israélites.

    La poudre magique de projection était fabriquée par les prêtres Maîtres Artisans des temples (les Gardiens de la Maison de l’Or) dans le, but précis de déifier les rois... et elle fait sa réapparition aujourd’hui en tant que nouvelle substance primordiale dans des domaines allant du traitement du cancer à l’avion furtif. Elle pourra même fournir la "matière exotique" essentielle au voyage spatial vers des dimensions d’espace-temps inaccessibles jusqu’ici.

    Dans Lost Secrets of the Sacred Ark, l’histoire du mfkzt monoatomique est retracée en détail depuis les temps les plus reculés jusqu’à ce jour, avec des références spécifiques à l’importance de l’Arche d’Alliance biblique. De nombreux mystères sont attribués à ce coffre énigmatique, le moindre d’entre eux n’étant pas le mode de sa création au mont Horeb.

    Le livre de l’Exode explique que, lorsque Moïse détruisit le veau d’or des Israélites, Dieu donna des instructions précises interdisant la fabrication d’images représentant n’importe quelle créature vivante sur Terre ou au Ciel. Mais immédiatement après, Dieu donna apparemment l’ordre à l’artisan Bezaleel de fabriquer l’Arche d’Alliance, précisant (en contradiction complète avec l’interdiction précédente) que deux chérubins en or devaient en surmonter le couvercle. Si ce n’étaient pas des anges, comme on le pense en général, qu’étaient donc ces chérubins ésotériques ? D’où tenaient-ils le pouvoir de produire cet "arc lumineux de la présence", qui fit plus tard tant de ravages sur les champs de batailles ?

    Selon notre compréhension actuelle des éléments à haut-spin, il apparaît que l’Arche biblique (ainsi que des dispositifs similaires en Egypte et à Babylone) était directement impliquée dans la fabrication scientifique de la pierre à feu monoatomique (le shem-an-na), tout en offrant à la substance son propre moyen de confinement, d’où les pouvoirs de lévitation et de supraconductivité de l’Arche. Depuis l’époque de Moïse, on peut retracer l’histoire de l’Arche jusqu’au temple de Jérusalem. Là, ainsi qu’il est écrit dans les Septante, le roi Salomon utilisa son pouvoir "pour fournir du pain à la maison du roi de Tyr", qui réciproquement offrit des navires, des chevaux et des chars pour la Maison Royale de Judah.

    Par la suite (et nonobstant les écrits contradictoires), l’Arche peut être suivie pendant encore 2000 ans jusqu’au rôle étonnant qu’elle joua dans l’histoire des Chevaliers du Temple en Europe. La dernière référence historique nous vient du XIVème siècle, et ce sera la mention de sa dernière demeure qui n’aura jamais été comprise avant l’ère actuelle de la physique quantique et de la recherche sur les propriétés supraconductrices des éléments monoatomiques à haut-spin.
    Barry Carter fait des recherches sur les éléments ORMUS depuis 1989 et il donne des conférences dans le monde entier. Lors de ses conférences et de ses ateliers, Barry détaille tous ces concepts et bien plus encore. Il nous montrera aussi comment extraire les éléments ORMUS à partir de sources naturelles.

    Si vous souhaitez être informé de ses prochains séminaires et conférences en France et en Europe, contactez-nous : barbara.bharmony@gmail.com

    SOURCE : http://www.b-harmony.com/calendrier/barry_carter.htm

     

     L'Ormus  ou or monoatomique est un composé de très haute vibration stimulant les cellules et les différents canaux énergétiques composant le corps physique.


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  • Echanges entre le Docteur Michael SALLA et Peter MOON. A l’intérieur des montagnes BUCEGI, une grande anomalie est révélé par un radar à pénétration de sol américain. Merci à toutes et tous pour votre bienveillance.

    https://eveilhomme.com/2022/03/28/lancienne-salle-des-etres-de-lintraterre-decouverte-en-roumanie-est-gardee-secrete-depuis-2003/

     

     


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