• LES ESPRITS DE LA NATURE

    MAGIE ET FEERIE : http://virtuellife.eklablog.com/

     

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    Ici et là  dans ses écrits Max Heindel nous donne quelques informations sur
    les esprits de la nature, les petits êtres  avec lesquels il a eu des
    expériences intéressantes.

    Les
    esprits de la nature incluent les êtres éthériques reliés aux quatre éléments.
    Les Gnomes et les Elfes, ou Fées, sont les esprits de la terre. Les
    Ondines, qui habitent les ruisseaux, les rivières, les lacs et les océans, sont
    les esprits de l’eau.  Les Sylphes, qui résident dans les brumes des
    fossés et des marais et généralement dans l’atmosphère, sont les esprits de
    l’air. On ne dit pas grand chose au sujet des Salamandres, esprits de
    feu, en grande parie parce qu’ils se voient moins facilement  par les
    gens qui ont la « seconde vue ».  Au bas de certaines cheminées en Europe, on
    peut voir une salamandre gravée sur une plaque de fer.

     

    La plupart
    des gens  considèrent maintenant les histoires populaires  comme des
    superstitions, mais en fait, celui qui est doté de la vision éthérique peut voir
    des gnomes fabriquer la verte chlorophylle dans les feuilles des plantes et
    donner  aux fleurs la multiplicité de teintes délicates qui ravissent nos yeux. 

     

    Les gnomes
    également coupent  les cristaux en minéraux et en font les gemmes précieuses 
    qui scintillent dans les colliers et les diadèmes dorés.  Sans ces lapidaires et
    métallurgistes, il n’y aurait pas de fer pour nos machines ni or pour les
    parures et le travail de l’art.

     

     NAINS GNOMES FARFADETS TROLLS

     

    Les gnomes
    sont partout et l’abeille proverbiale n’est pas plus occupée. A l’abeille,
    cependant est donné crédit au travail qu’elle accomplit, alors que les petits
    esprits de la nature qui jouent un rôle si immensément important dans l’œuvre du
    monde sont inconnus sauf pour quelques soi-disant rêveurs.

     

    Au
    solstice d’été les activités physiques de la nature sont à leur zénith. Par
    conséquent « La Nuit du Solstice » est le grand festival des Fées qui ont forgé
    l’univers matériel, nourri le bétail, entretenu le grain et acclamé avec joie et
    gratitude l’apogée de  la force  qui est leur outil  dans la formation des
    fleurs en une étonnante variété de formes délicates venues de leurs archétypes
    et en les colorant d’innombrables nuances, qui sont le délice et le désespoir de
    l’artiste. Lors de cette nuit la plus grande de toutes les nuits de cette
    heureuse saison d’été ils viennent en masse des marais et des forêts, des
    vallées et des collines, au Festival des Fées.  Ils fabriquent et cuisent
    vraiment leurs nourritures éthériques et ensuite dansent dans des tumultes de
    joie, la joie d’avoir accompli et servi leur dessein important dans l’économie
    de la nature.

     

     

     

    Au moment
    du Solstice d’Hiver, l’Esprit Christ naît à la terre et commence à fertiliser
    les millions de germes que les Fées entretiennent pour que nous puissions avoir
    de la nourriture physique.  Mais l’homme  ne vivra pas seulement de pain. Le
    travail des Fées est important, mais il devient plus insignifiant comparé  à la
    mission de Christ qui annuellement fournit la nourriture spirituelle nécessaire 
    pour nous faire avancer sur le sentier du progrès. La Nature a un travail à
    faire et  requiert le travail de tous ceux qui justifient leur existence et
    continuent  en tant que partie d’elle-même.  Ceci s’applique à la plante et à la
    planète, à l’homme et à l’animal, aussi bien qu’aux Fées.  Ce sont des gens
    occupés et leurs activités sont la solution à de nombreux mystères multiformes
    de la nature.

     

     FEES

     

    Certaines
    personnes qui peuvent voir les Fées disent qu’elles font environ un pied de
    haut. Elles semblent être jeunes (15 ans) et elles sont évidemment adorables. 
    Elles sont en général plusieurs ensemble.  Lorsqu’elles ne peignent pas les
    fleurs et les rendent toutes choses aussi belles que possible, elles peuvent
    être vues riant et parlant joyeusement, s’enlaçant le cou les unes les autres.
    Elles aiment glisser le long des feuilles ou des branches d’arbre plus que des
    enfants en train de jouer. Elles peuvent sembler être  à la fois des filles ou
    des garçons.  Elles semblent être revêtues de draperies brillantes qui les
    habillent de façon plus attractive. Leurs corps paraissent délicats, gracieux,
    et presque transparents. Les Fées travaillent sous la direction des Grandes
    Intelligences. Certaines personnes se réfèrent  aux esprits de la Nature en tant
    que Devas mais Max Heindel évite cette terminologie Orientale.

     

     

     

    Les Fées
    demeurent dans les régions chaudes en hiver parce que la croissance de la plante
    est lente ou freinée sous les climats froids  à cette époque, aussi n’ont-elles
    pas de travail.

     

    Il y a
    quelques années,  une femme demanda à Elizabeth Kübler Ross de venir voir son
    jardin. Elizabeth fit des remarques sur les merveilleuses roses. La femme
    demanda, « Est ce tout ce que vous voyez » ? Sur quoi elle prit une photo d’une
    fleur choisie par sa visiteuse qui fut surprise d’y  voir une gracieuse Fée.

     

    Corinne
    Héline, en conversation avec une Fée, dit ceci à propos des ailes
    d’ange :

     

    « Les
    photos  de Fées que j’ai vues montrent des Fées avec des ailes, et vous n’en
    avez pas ».

     

    « Il n’y
    en a aucune dans notre Royaume qui en ait », répondit la Fée.

     

    « Qu’est
    ce qui donne aux artistes l’impression que les Fées ont des ailes », demanda
    l’auteur.

     

    « C’est
    notre de voir de purifier l’air pour l’homme  lorsque nous accomplissons notre
    travail », répliqua la Fée, « et lorsque nous bougeons et respirons, nous
    envoyons un air sucré qui s’échappe de notre dos sur nos épaules, et cette force
    venant de nous à l’apparence des ailes ».

     

     

     

    Certaines
    personnes ont vu des Fées avec des enfants malades. Environ vingt Fées  de
    toutes tailles entourent le lit. Elles peuvent grimper sur l’enfant, ou
    s’asseoir sur ses épaules sachant qu’il a du plaisir à les voir.

     

     

     

    Un de mes
    amis me dit avoir été à moitié endormi lorsqu’il vit un petit gnome sur une
    étagère de livres, à Toulouse, en France. Le gnome portait des sandales. Ses
    yeux brillaient comme des diamants. Il avait des joues roses, une petite bouche
    et un petit corps bien fait. Puis il se leva et glissa  des
    étagères.

     

    Un autre
    jour une de mes amies revenait du travail. Elle était  très fatiguée. Elle
    quitta l’autoroute et conduisait  sur une route étroite dans la campagne. Après
    être passée sur un petit pont,  elle sentit le besoin de s’arrêter et prit un
    peu de repos. Elle s’assit sur l’herbe à côté du pont, et à sa grande surprise,
    elle vit une Femme Gnome. La créature semblait haute de deux pieds. Elle avait
    de larges traits, et un long nez. Elle semblait très âgée et sérieuse. Elle
    ressemblait beaucoup  aux nombreuses illustrations de gnomes que des artistes
    ont peintes pour illustrer les livres d’enfants.

     

    Mon amie
    dit, « Je décidai de ne pas bouger pour rester aussi longtemps qu’elle demeurait
    là ». Mais la Femme Gnome répondit comme si elle pouvait lire ses
    pensées : « N’ayez crainte, revenez demain après le travail. Je serai encore
    ici ».

     

    Le jour
    suivant mon amie vit la Femme Gnome au même endroit et se sentit très heureuse 
    de penser que la Femme Gnome l’appréciait.

     

    Comment
    pouvons nous devenir amis avec les Fées ?

     

    D’abord,
    on doit développer se véhicules supérieurs car les Fées vivent et   ne peuvent
    seulement être vues que dans la partie éthérique du monde physique. On doit être
    sans préjugés. Il ne doit y avoir aucune haine, malice ou envie dans le cœur. On
    doit avoir la volonté de traiter chacun comme on  souhaite qu’il nous traite
    Ceci est la chose la plus importante.

     

    Max
    Heindel avait une merveilleuse histoire à propos d’une petite fille très malade
    qui vint à Mount Ecclesia avec sa mère.  Durant la nuit il emmena la fillette
    vers le Monde des Fées où elle vit la Reine des Fées.

     

    Nous
    savons qu’il y a des agents invisibles derrière toutes les manifestations de la
    nature—intelligences de différents degrés de conscience, constructeurs et
    destructeurs—qui jouent des rôles importants dans l’économie de la nature.
    Jusqu’à ce que ces intermédiaires soient reconnus et leurs fonctions étudiées,
    nous ne pourront jamais avoir une conception adéquate de la manière dont les
    forces de la nature oeuvrent, dont nous appelons les effets extérieurs chaleur,
    électricité, gravité, action chimique etc.

     

     FEERIE

     

    SYLPHES ET ONDINES

     

     

     

    Nous expliquons
    studieusement comment la chaleur du soleil fait évaporer l’eau des rivières et
    des océans, provoquant son ascension  vers les régions plus froides où il
    condense l’air pour former des nuages qui finalement deviennent si saturés
    d’humidité qu’ils gravitent vers la terre en pluie pour renouveler la terre et
    la mer et recommencer le cycle. C’est parfaitement simple, un processus clair en
    perpétuel mouvement automatique. Mais est ce tout ? N’y a t il pas un bon nombre
    de  lacunes dans cette théorie ? Une explication plus poussée requiert la
    connaissance  de l’action semi-intelligente des sylphes qui élèvent les
    particules de vapeur d’eau finement divisées  préparées par les ondines à la
    surface de la mer et les portent aussi haut qu’ils le peuvent  avant que la
    condensation partielle n’aie lieu et que les nuages ne soient formés.  Ils
    maintiennent ces particules d’eau jusqu’à ce qu’ils soient forcés par les
    ondines à les libérer. Lorsque nous disons qu’il fait tempête, des batailles
    sont menées à la surface de la mer et dans l’air, quelquefois avec l’aide des
    salamandres pour éclairer le flambeau de l’hydrogène et l’oxygène séparés et
    envoyer son rayon impressionnant se brisant en zigzag à travers l’obscurité
    d’encre, suivi par les grondements de tonnerre qui se réverbèrent dans
    l’atmosphère clarifiée, alors que les ondines triomphantes projettent  les
    gouttes de pluies salvatrices vers la terre  afin qu’elles puissent renouveler
    l’union avec leur élément mère.

     

     FEES

     

    Certaines
    personnes appellent les ondines les Fées de mer et les sylphes Fées de l’air.

     

    Il est
    établi dans  la littérature Rosicrucienne que la faculté de perception de
    l’espace est reliée  à l’ajustement délicat des trois canaux semi-circulaires
    dans l’oreille, pointant vers les trois dimensions de l’espace
    (2Q&RA, p 207).

     

    Dans la
    Cosmogonie, Max Heindel explique  la relation entre l’organisation de ces
    canaux semi-circulaire et le processus qui conduit à la conscience de la
    quatrième dimension. Alors que la hauteur, la largeur et la profondeur sont les
    dimensions de l’espace dans le monde physique, il y a dans les éthers ce que
    nous pouvons appeler « passage à travers ». Il semblerait que les esprits de la
    nature et les élémentaux aient cette conscience quadridimentionnelle.

     

     

     

    Avec la
    vision éthérique nous  pouvoir voir dans et à travers une montagne. Avec un
    corps éthérique tel que possèdent les esprits de la nature nous pouvons marcher
    à travers le granit le plus dur.  Il offre même moins de résistance que ne le
    fait l’air pour notre progrès ici.

     

     

     

    Les
    esprits de la nature ont différents grades de conscience, correspondant  au type
    d’éther qu’ils désignent. Les corps des gnomes sont principalement faits d’éther
    chimique et donc  ils sont de la terre ; c’est à dire,  qu’on ne peut les voir
    voler comme le font les sylphes. Ils peuvent brûler dans le feu. Ils vivent
    vieux d’une manière très peu différente des êtres humains.

     

    Les
    ondines d’eau et les sylphes d’air sont également sujets  à la mortalité, mais
    leurs corps, étant composés respectivement d’éther vital et d’éther lumière, 
    les rendent bien plus endurants, aussi alors que les gnomes ne vivent pas plus
    d’une centaine d’années, les ondines et les sylphes peuvent vivre un millier
    d’années ou davantage. Les salamandres, dont les corps sont essentiellement
    composés  du quatrième éther, l’éther réflecteur, sont dits vivre plusieurs
    milliers d’années.

     

     

     

     

     

    LA GUERRE DES ELEMENTS

     

     

     

    La
    conscience qui construit et donne âme à ces corps élémentaux appartient à
    un nombre de hiérarchies divines qui par là même acquièrent  une expérience
    supplémentaire. Les formes  qui sont construites de matière et ainsi
    animées  ont atteint un degré  de conscience de soi. Durant leur vie elles ont
    le sentiment de leur propre existence transitoire  et c’est à la rébellion
    contre cet état de choses que la guerre des éléments, notamment, le feu, l’air
    et l’eau, est due. S’imaginant qu’elles sont  maintenues en esclavage, elles
    cherchent la libération de la bride par la force, et n’ayant aucun sens  pour
    les guider elles-mêmes, elles se déchaînent de manière destructive, qui de temps
    en temps amène de grandes catastrophes.  La conscience des gnomes est trop
    lourde pour prendre une initiative, mais il n’est pas rare qu’ils deviennent
    complices des autres esprits de la nature en ouvrant des passages, ce qui
    favorisent les explosions de roche.

     

     

     

    Bacon
    remarquait que la nature et Dieu diffèrent seulement comme l’empreinte et le
    sceau. La nature est le symbole visible de Dieu, bien qu’aujourd’hui nous soyons
    aussi capables de penser à la nature en tant qu’auto génération et auto
    existence. Derrière chaque force (électricité, magnétisme, et expansion en
    vapeur) et forme (minéral, plant, et animal) réorganisée par les sciences
    physiques, se trouve l’activité des Intelligences.  Les esprits de la Nature
    construisent les plantes, forment les cristaux de la roche, et avec de
    nombreuses autres hiérarchies, créent et maintiennent ce que nous appelons
    nature.

     

     

     

     

     

    L ‘ESPRIT DE LA TERRE ET LES FORCES DE LA TERRE

     

     

     

    Que nous
    dit la Cosmogonie sur la constitution de la Terre ? Pour l’occultiste le
    monde est loin d’être « mort ». Au contraire, chacun de ses recoins et crevasse
    est pénétré par l’esprit, qui est le levain causant les changements dans et sur
    la planète.  A la vision clairvoyante entraînée de l’Initié avancé, la terre
    apparaît être construite en strates, un peu comme un oignon, une couche ou
    strate sur une autre, comme illustré par le diagramme 18 de la Cosmo. Les
    propriétés des 6ème et 7ème strates, telles que décrites
    par Max Heindel, relèvent de notre sujet.

     

     

     

    La sixième
    strate ou strate ardente est possédée de sensation. Plaisir et chagrin,
    sympathie et antipathie ont ici leur effet sur la terre. Le scientifique
    occulte, lorsqu’il observe la moisson du grain mûr et la récolte  des fruits 
    des arbres à l’automne, ou la cueillette des fleurs,  connaît le plaisir
    expérimenté par la terre elle-même.  Il est similaire au plaisir ressenti par la
    vache  lorsque ses mamelles pleines  doivent être libérées  par le veau tétant.
    La terre ressent le délice d’avoir procuré nourriture à sa progéniture de formes, ce délice atteignant son point culminant au moment des récoltes

     

    D’un autre
    côté,  lorsque les plantes sont tordues aux racines, il est connu du 
    scientifique occulte que la terre sent le dard du chagrin. Pour cette raison il
    ne mange pas les plantes qui poussent sous la terre. En premier lieu elles sont
    pleines des forces de la terre et déficientes en forces solaires, et sont en
    outre empoisonnées en étant poussées par les racines. La seule exception à cette
    règle est qu’il peut utiliser modérément la pomme de terre, qui originellement
    poussait  à la surface de la terre, et pousse seulement  depuis des temps
    comparativement récents  sous le sol. Les occultistes s’efforcent de nourrir
    leurs corps avec des fruits qui poussent sous le soleil, parce qu’ils
    contiennent davantage  de force solaire supérieure, et n’ont pas causé de
    douleur à la terre.

     

     

     

    Il peut
    être supposé que les opérations de minage seraient très douloureuses pour la
    terre, mais c’est le cas inverse. Chaque désintégration de la dure croûte
    provoque une sensation de délivrance et chaque solidification est une source de
    douleur. Là où un torrent de montagne brasse le sol et l’emporte vers les
    plaines, la terre se sent plus libre.  Là où la matière désintégrée est à 
    nouveau déposée, comme un barrage à l’extérieur de l’embouchure d’une grande
    rivière, il y a un sentiment correspondant de désagrément.

     

    Comme la
    sensation chez les animaux et les hommes est due à leurs corps vitaux séparés,
    ainsi le sentiment de la terre est particulièrement actif dans la sixième
    strate, qui correspond au Monde de l’Esprit de Vie. Pour comprendre le plaisir
    ressenti lorsque des opérations de minage désintègrent la roche dure, et la
    douleur  lorsque les dépôts sont rassemblés, nous devons nous rappeler que la
    terre est le corps dense d’un Grand Esprit, et pour nous fournir un
    environnement dans lequel nous pouvons vivre et accumuler de l’expérience, elle
    a du cristalliser ce corps dans sa condition solide actuelle.

     

     

     

    Comme
    l’évolution suit son processus, cependant, et l’homme apprend les leçons 
    appartenant à cet apogée de concrétion, alors  la terre deviendra plus tendre et
    son Esprit  de plus en plus libéré. C’est ce que Paul voulait dire lorsqu’il
    parlait  de la création entière gémissant et en travail, attendant le jour de sa
    libération.

     

     

     

    La
    septième strate ou strate de réfraction de la terre correspond au Monde de
    l’Esprit Divin. Il y a en science occulte ce que nous appelons Les Sept Secrets
    Indicibles.  Pour ceux qui ne sont pas familiers avec ces secrets, ou n’ont pas
    au moins une vague idée de leur signification les propriétés  de cette strate
    doivent sembler particulièrement absurdes et grotesques.  En elle toutes les
    forces, qui sont connues de nous en tant que Lois de la Nature, existent en tant
    que forces morales, ou plutôt immorales. Dans les commencements de la course
    consciente de l’homme elles étaient  plus mauvaises qu’à présent. Alors que
    l’humanité fait des efforts vers des idéaux plus élevés et évolue moralement,
    ces forces deviennent  de façon correspondante moins amicales à l’homme, 
    puisque chaque erreur  dans la morale a une tendance  à libérer ces Forces  de
    la Nature et de faire qu’elles entraînent des ravages sur la terre.

     

     

     

    Les forces
    dans cette strate sont ainsi, de tout temps, un reflet exact de l’état moral
    existant dans l’humanité. Du point de vue occulte, la « main de Dieu » qui
    frappe Sodome et Gomorrhe n’est pas folle superstition, car aussi sûrement qu’il
    y a une responsabilité individuelle  à la Loi de Conséquence, qui apporte à
    chaque personne les justes résultats de ses actes, qu’ils soient bons ou
    mauvais, ainsi il y a également une communauté et une responsabilité nationale,
    qui apportent aux groupes d’hommes correspondant les résultats  de leurs actes
    collectifs. Les Forces de la Nature sont les agents généraux d’une telle justice
    rétributive, causant  des inondations, des tremblements de terre,  ou la
    formation bienfaisante de pétrole ou de charbon pour des groupes divers, selon
    le type de désert.

     

    Les
    Manichéens, un Ordre encore plus élevé spirituellement que les Rosicruciens,
    étudient à présent  le problème du bien et du mal. Une idée  de la condition
    anticipée  lorsque l’humanité sera dans la Période de Jupiter peut être acquise
    d’un court résumé de la légende  des Manichéens : Il y a deux royaumes, celui
    des Elfes de Lumières, et celui des Elfes des Ténèbres. Les derniers attaquent
    les premiers, sont vaincus et doivent être punis. Mais comme les Elfes de
    Lumière sont totalement aussi bons que les Elfes des Ténèbres sont mauvais, ils
    ne peuvent infliger de mal sur leurs ennemis, aussi ils doivent être punis
    avec le bien
    . Par conséquent, une partie du royaume des Elfes de Lumière est
    incorporée à celui des Elfes des Ténèbres et de cette manière le mal est au
    moment voulu maîtrisé.  La haine, qui ne sera pas soumise à la haine, doit
    succomber  à l’Amour !

     

    Nous
    approchons à présent de l’Equinoxe d’Automne et la lumière Christ commence à
    nouveau à pénétrer la Terre. En outre, nous sommes à la cime d’une nouvelle
    vague millénaire de lumière et de vie spirituelle. Nous savons que ceux qui
    souhaitent marcher dans la lumière de Christ doivent aussi apprendre à générer
    cette lumière.  Nous devons remercier pour ceci  Celui qui est notre Esprit de
    la Terre, dont  la vie en tant qu’humain fut donnée pour que tous les humains et
    leur planète puissent avoir la vie en abondance.

     

     

     

    RAYS 
    SEPTEMBRE/OCTOBRE 2002      DANIELLE CHAVALARIAS

     

     

     

    Traduction
    Chantal Duros


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