• TUBBES DIVERS

     

     

     



    Chaque humain
    agit librement. Chacun est libre de ses choix. Il peut se délecter  dans
    la passion débridée ; il peut choisir de vivre, comme le fait la majorité,
    d’attirer à lui des quantités aveugles de substance désir, élevé ou bas…ou il
    peut suivre le sentier Spirituel.



    Depuis le temps de l’Atlantide, lorsqu’il reçut le maillon de l’Esprit, l’homme
    a eu l’opportunité  de concentrer les pouvoirs de celui-ci. Mais
    malheureusement, il l’utilisa pour satisfaire sa nature désir. La pensée,
    l’esprit, est un agent créatif ; où qu’il soit concentré, il manifestera
    son pouvoir.



    L’humanité du
    début prouva cette vérité, lorsqu’en fermant son esprit au spirituel et en
    l’ouvrant au désir sensuel, l’homme devint adepte de magie malfaisante qui
    finalement détruisit la civilisation Atlantéenne tout entière, y compris le
    continent lui-même. DIEU est Esprit, Eternel, totalement bon. Il peut être
    cherché et connu à travers la réussite spirituelle. L’homme a été crée à
    l’image  et à la ressemblance de Dieu. Mais en liant son esprit avec le
    désir au lieu de l’unir avec le spirituel, il tomba de sa haute condition. Il
    peut se relever à nouveau, pourtant, en suivant les Enseignements de la Sagesse
    et en faisant des efforts contre le mal—l’existence de ce qui a permis que
    l’homme puisse exercer son libre arbitre et ainsi cultiver le discernement. La
    peine, le chagrin, et le mal, sont une  partie d’un plan salutaire, le but
    ultime de ce qui est perfection.



     En soi,
    l’homme est un être libre et intelligent. Pour qu’il puisse devenir pleinement
    conscient de son pouvoir créatif divin, il doit alors apprendre à discerner
    entre le bon et le mauvais, le bien et le mal, et exercer le divin en lui en
    faisant de bons choix. Son actuel héritage de maladie, pauvreté et mort, est le
    résultat de ses violations de la Loi Cosmique. S’il mène sa vie en conformité
    avec cette loi, il s’élèvera au-dessus de ces limitations.



    “ Tout
    ce qui est au Père est mien ”, a déclaré le Christ, et dans ces mots, Il
    révélait la plénitude qui est offerte à l’homme lorsqu’il vit vraiment selon la
    Loi Divine. Nous avons tous connu la peur sous quelque forme. La peur est une
    émotion au pouvoir négatif qui agit de façon adverse dans l’organisme humain
    entier. La peur est d’origine primitive.



    La peur est
    venue dans le monde au commencement de la vie, et l’homme comme chaque autre
    créature vivante a hérité d’elle  en descendant à travers les âges de
    l’existence”, écrit le psychologue Stanley G. Hall.



    “Le cerveau
    de l’homme est divisé en deux parties, l’ancien et le nouveau, le cervelet et
    le cerveau. Le dernier, le siège de l’intellect, est le nouveau cerveau. Le
    premier, le cervelet, est l’ancien cerveau. Ici sont stockés tous les
    instincts primitifs et animaux, dont la peur est un. La peur paralyse
    l’intellect et réveille et libère tous les pouvoirs  endormis  dans
    le vieux cerveau, ce qui explique pourquoi il n’est pas possible de dire ce
    qu’une personne peut faire lorsqu’elle est totalement effrayée. Il en est de
    même pour l’animal qui, sous l’effet de la peur, peut devenir fou, parfois même
    mourir.



    Alors que
    leur nature désir était forte et leur esprit faible, les hommes pouvaient
    seulement être gouvernés par la peur. Les dix commandements contiennent une
    devise : la peur de Dieu est le commencement de la Sagesse. Le mot peur
    dans la Bible a le sens de respect. La peur est le principal élément de dissuasion
    pour l’aspirant, le rendant inapte à servir les plans intérieurs comme un Aide
    Invisible conscient. Fréquemment elle  interdit l’accès à l’endroit ou à
    la personne le plus dans le besoin, et tend à retirer un ego en service dans
    son corps.


    En piétinant
    le sentier ascendant, chaque esprit doit passer à travers les régions
    inférieures du Monde du désir (Purgatoire), où les esprits humains et sous
    humains  de la plus indésirable nature sont réunis pour attendre la
    purification et la correction avant la libération. Ils incluent les gens terre
    à terre, les suicidés dont le terme  de la vie n’a pas encore expiré,
    et  des élémentaux de types variés. Seul le courageux peut entrer dans ce
    monde et rester à l’abri de toutes ses influences.


    a peur est
    le produit d’un sens erroné de séparativité. Au degré que nous réalisions notre
    unité fondamentale avec Dieu—de qui nous sommes une partie et en qui nous
    vivons littéralement, et bougeons et avons notre existence—nous sommes libres
    de la peur.


    Etre un en
    conscience avec Dieu (bien) nous identifie avec le tout, ne laissant ainsi rien
    en séparation de laquelle le mal peut venir. La contemplation des qualités
    positives de caractère, avec simultanément une culture persistante de la
    confiance et du courage, mènera finalement à la conquête de toute peur.


    Les attributs
    de l’âme de foi et d’amour sont représentés par Jean et Pierre, les deux plus
    importants disciples. La guérison la plus noble rapportée dans le Nouveau
    Testament est accomplie en leur présence. Cultiver la foi et l’amour est de la
    plus haute importance. Si nous persistons dans nos efforts à développer ces
    vertus en face de la peur et du découragement, le jour viendra où nous saurons
    au-delà de toute difficulté que “l’amour parfait bannit la peur”, et révèle la
    porte secrète ouvrant sur la libération.


    La conscience
    peut être définie comme la voix de l’âme ; et l’âme est  le produit
    de l’évolution, le fruit du voyage de l’égo assimilant l’expérience à travers
    les nombreuses incarnations. L’homme primitif était virtuellement vide de
    conscience. La croissance de la conscience est continue d’incarnation en
    incarnation. Plus ancien et plus riche est le développement de l’âme d’un
    individu, plus claire est la voix de la conscience et plus volontiers il écoute
    et agit sur sous sa guidance. Sachant ceci, les occultistes regardent avec
    compassion plutôt qu’avec censure les individus plus jeunes et moins évolués.



    La conscience
    est acquise à travers la souffrance faisant partie du processus
    purgatoriel  suivant la mort physique. Plus profonde est l’impression de
    péché, plus sévère doivent être les mesures de purification. En conséquence,
    plus forte et plus claire sera la conscience relative à cela ; et plus
    insistante sera l’avertissement de sa voix, quand, dans les vies futures,
    l’individu est tenté de répéter l’erreur. Pour cette raison, St Paul déclara
    que “plus grand est le pécheur, plus grand est le saint“.


    Le mental est
    le serviteur le plus important de l’esprit. Lorsque l’homme apprend à le
    désengager des chaînes du désir et l’unit entièrement à l’esprit, alors il
    obtient la clef du Royaume et réalise l’accomplissement de la promesse du
    Maître : “Tout ce que vous demanderez en Mon nom au Père, Il vous le
    donnera”.


    Ce fut par le
    pouvoir de Son nom (mental lié à l’esprit) que les disciples étaient capables
    d’accomplir de soi-disant miracles. Pour cette raison Paul enseignait à ces
    suiveurs que la première marche vers le développement spirituel est la pensée
    Christique : “Laissez cette pensée être en vous, elle était aussi en
    Christ Jésus”.



    La pensée
    fondée sur le cerveau est une acquisition comparativement récente et,
    lorsqu’elle est fortement entraînée, tend vers l’égotisme. Elle est encline à
    être enflée dans son propre vanité. Lorsqu’il devient uni à l’esprit, le mental
    n’est pas contraint matériellement et démontre des pouvoirs au-delà de toute
    chose connue aux logiciens académiques.


    La tâche
    suprême évolutionnaire de l’humanité est la spiritualisation ou la
    Christianisation du mental. Lorsque ceci arrivera, le mental reflètera l’esprit
    éternel au lieu  du monde extérieur transitoire comme actuellement. En
    conséquence, la sagesse cosmique irradiera la conscience humaine et l’homme ne
    sera plus un simple homme, mais un super homme.



    L’intellect
    représente le développement principal du mental conscient ; la mémoire, du
    subconscient ; l’intuition, du supraconscient. L’intuition est la voix de
    la supraconscience ou mental spiritualisé. Cette faculté est développée de plus
    en plus tandis que le mental devient un canal plus parfait pour le travail de
    l’esprit. L’intuition est quelquefois assimilée à la voix de l’âme, et
    aussi  comme le sixième sens de l’homme. Cette faculté donnera sa pleine
    expression durant l’Age du Verseau.



    Les
    instructions ésotériques les plus profondes ne sont jamais données ni en parole
    ni en écrit, mais sont projetées mentalement par les Grands Etres et sont
    reçues dans le silence par les perceptions intuitives du néophyte qui est
    suffisamment sensibilisé pour établir le contact.



    Le
    mental subconscient ou mémoire se corrèle aux forces intérieures de la terre et
    peut être considéré comme étant relié aux cycles de vie du passé immédiat et du
    présent. Le mental conscient est en corrélation avec la lune et est relié à
    l’expérience présente de la terre uniquement. Le mental supraconscient 
    est en corrélation avec le soleil et produit l’illumination connue comme
    Initiation, qui donne l’aptitude pour lire les rapports cosmiques traitant du
    passé, du présent et du futur.


    Il y a un
    sentier défini d’évolution pour le mental et un autre pour l’âme ;
    néanmoins, les deux lignes se développent simultanément et harmonieusement.
    Plus complètement le mental devient un canal pour l’expression de l’esprit,
    plus l’individu devient proche de l’âme. Bien qu’une personne étudie chaque
    livre  concernant des sujets spirituels, la connaissance en tant que telle
    ne la stimulera que mentalement. La connaissance en elle-même ne produit jamais
    la croissance de l’âme. Alors qu’un caractère développé est nécessaire à la
    croissance de l’âme, il n’est pas suffisant en lui-même.


    Lorsque nous
    vivons une vie de service aimant aux autres, nous attirons dans notre corps
    vital un ardent et glorieux éther doré de la nature de la force du Christ.
    C’est l’éther lumière spiritualisé. Bien que nous en  possédions déjà un
    noyau à travers l’amour qui s’écoule en service, nous pouvons attirer une 
    abondance semblable de l’aura du Christ Cosmique, comme si nous respirions une
    atmosphère dorée coulant de l’espace cosmique. A l’intérieur de cet éther
    ardent, apparaît un bleu céleste qui n’est généralement pas manifesté en dehors
    du corps physique, excepté chez les grands saints et les Initiés. Chez ceux-ci
    il peut être vu dans la forme d’un soleil bleu brillant autour et à travers le
    visage humain en son centre. C’est l’éther réflecteur spiritualisé, l’éther
    réflecteur du Bien, du Vrai et du Beau.


    Le mental
    joue une part importante dans l’évolution de l’âme depuis qu’il est le maillon
    entre le corps et    l’esprit. Ce maillon donne la
    possibilité  à l’Esprit de travailler dans le corps triple et
    d’extraire  l’essence pour l’âme triple. Ce travail de l’âme, par
    conséquent, peut uniquement être accompli à travers le mental. C’est pour cette
    raison que beaucoup de textes occultes se réfèrent au mental comme le “Le
    sentier”, et est aussi expliqué par la déclaration de St Paul “Etre préoccupé
    par le sensuel est le mort, mais être préoccupé par le spirituel est la Vie
    Eternelle”.



    Etapes de préparation



    Que le mental
    devienne un canal pour l’esprit et rien d’autre que l’esprit nécessite un
    entraînement long et soigné. En rapport avec cela, l’Ecole Rosicrucienne
    énumère 7 étapes d’une importance spéciale.



    La Concentration est fondamentale et par
    conséquent se situe en premier. C’est un exercice strictement mental qui vise
    à  rendre le mental centré sur un seul point, pour rejeter toute
    distraction extérieure à la volonté et pour maintenir le mental fermement fixé
    sur le sujet en considération. Cette pratique ardue et exigeante est la cause
    de l’abandon de plusieurs étudiants, ayant du mal à fournir davantage d’efforts
    pour discipliner le mental.



    La Persévérance est la seconde condition
    requise.  C’est la qualité manquant tristement chez la majorité des
    aspirants, en dépit du fait que sans elle rien de réelle valeur ne peut être
    accompli dans toute voie de l’effort. La maîtrise de tout sujet ne peut se
    réaliser que par l’effort continu et la patience.



    La troisième qualité nécessaire au développement est
    le Discernement. L’absence de
    cette attitude mentale a conduit à plus de désillusion et d’échec sur le
    sentier qu’aucune d’autre. Sa culture est d’une importance supérieure,  et
    pourtant la majorité des étudiants occultes ne prêtent que peu d’importance à
    son acquisition. Peut-être la définition la plus correcte du discernement peut
    être trouvée dans l’ancien avertissement occulte :



    Apprends à
    connaître le faux du vrai, et le réel de l’irréel, l’éphémère de l’éternel.



    Les trois
    premiers stades du développement personnel sont de nature mentale ; ils
    sont les outils permettant à l’ouvrier de changer la pierre grossière du
    mental  en Cube Parfait du Maître.



    Les quatre
    étapes supérieures appartiennent  au domaine de l’esprit et sont
    développées après que le mental a été consciencieusement discipliné.



    La première
    de celles-ci est la Dévotion,
    qui est centrée dans le cœur. Le mental et l’esprit ne peuvent être unis
    seulement que par le chemin du cœur, quand la dévotion nécessaire a été
    éveillée.



    La Méditation est le moyen essentiel
    pour un renouvellement du mental. C’est un processus spirituel facilitant
    l’activité mentale de concentration. Ici, un effort mental moindre est demandé,
    puisque la pensée a maintenant été entraînée  à obéir à la plus importante
    impulsion de l’esprit. A travers la concentration, on arrive à être en contact
    avec l’aspect forme de la matière ; la méditation transcende la forme pour
    arriver à l’âme des choses.



    La Contemplation est l’étape
    suivante ; ici, le mental et le cœur sont en rapport. Rien de relatif au sujet n’est dissimulé. Passé,
    présent et futur sont comme un livre ouvert.



    L’Adoration est le stade final par
    lequel l’étudiant obtient “d’être un avec” le sujet ; en fait, l’adoration
    peut faire monter l’esprit jusqu’au véritable trône de Dieu.



    Ces quatre
    étapes supérieures peuvent être atteintes seulement après que l’étudiant ait
    appris à élever sa conscience  à des degrés spécifiques de développement.
    En adoration, un octave entier de conscience est franchi et la Conscience
    Christique, l’ultime but  de l’évolution humaine, est atteinte.



    Ainsi, chaque
    personne progresse à travers les grades successifs dans l’école de vie de
    l’évolution ; elle apprend ses leçons par un ou deux courants cosmiques de
    conscience—de la tête et du cœur. De plus en plus, pourtant, elle doit
    équilibrer les deux. C’est une tâche ardue, requerrant de nombreuses vies pour
    son achèvement. Néanmoins, une grande partie peut être accomplie dans une seule
    incarnation si l’étudiant est disposé à se dévouer à l’accomplissement d’idéaux
    exaltés.



    Le mental est
    comparativement une acquisition récente de l’Ego, dont l’orgueil juvénile peut
    tendre vers l’arrogance et la vanité. Ce sont ces caractéristiques qui
    distinguent une jeune âme inexpérimentée d’une “vieille” âme mûre en sagesse.
    La raison est la principale faculté à s’être développée durant  le cycle
    actuel de la cinquième race. Il est évident que dans cette ère, le mental de
    l’homme est ascendant et son cœur  a été relégué à une condition 
    secondaire.



    Lorsque
    l’aspirant commence à vivre la vie spirituelle de façon sérieuse l’essence
    spinale s’éveille graduellement et monte vers la tête. Si l’individu est de
    tempérament mental, cette force sera principalement positive dans le cerveau et
    négative dans le cœur. Si, d’un autre côté, il est de type mystique  ou un
    émotionnel, le contraire se vérifiera ; la polarité positive dans le cœur,
    négative dans la tête. Le centre positif représente la force dynamique soit du
    mental ou du cœur et travaille au détriment de la fonction opposée. Ainsi,
    quand une personne qui est centrée mentalement commence l’étude occulte, elle
    est apte à cultiver le pouvoir intellectuel aux dépens de sa nature
    dévotionnelle, à moins qu’un effort spécial ne soit fait pour contrebalancer
    cette tendance.

     

    Le mental est
    séparatif, divisionnaire, et disruptif dans son mécanisme. Beaucoup de ceux
    qui  ont suivi le sentier mental à l’exclusion du cœur deviennent
    froidement analytiques, incapables de découvrir la sagesse de l’âme qui les a
    stimulés un moment au début de leur quête. Ils deviennent désillusionnés et
    beaucoup retournent vers des buts matérialistes. Ceux qui suivent le sentier du
    cœur exclusivement manquent tous trop souvent de persistance, de constance, et
    de discernement pour se piloter elles-mêmes le long des buts élevés du sentier.
    Ainsi, ils peuvent revenir vers les chemins du monde dans le découragement,
    parfois le désespoir.



    Le chemin
    sain est de travailler de façon efficace vers un véritable équilibre entre les
    deux. Le mentaliste doit apprendre à calmer son mental et écouter les
    directives de son cœur. Le mystique doit apprendre à contrôler ses émotions et
    tenir compte de la voix de la raison claire.



    Si cette
    procédure est suivie, les courants spirituels montant dans le corps
    effectueront un équilibre de pouvoir entre le cœur et la tête ; et plus le
    développement du plus faible se fera, plus la tâche s’accomplira facilement.
    Dieu est la Première  et Eternelle Flamme. Les esprits Vierges (notre
    humanité actuelle)sont des étincelles de cette flamme. Le but des cycles
    répétés de renaissances est d’attiser ces flammes jusqu’à ce qu’elles
    deviennent comme leur flamme mère. Après avoir été si longtemps captivés dans
    l’illusion de la matière, la mémoire de l’esprit de son origine céleste est
    devenue sombre. A travers la souffrance et la peine, elle déchire le voile de
    l’illusion et découvre son inhérente divinité : alors commence le long et
    ardu voyage vers sa maison céleste. Une fois que l’esprit est totalement
    éveillé, aucun obstacle ne peut entraver son progrès.



    La Parabole
    du Fils Prodigue devient une expérience spirituelle actuelle. Las d’avoir si
    longtemps partagé les déchets avec les pourceaux (vivant entièrement en dehors
    du monde objectif), l’étincelle retourne au foyer, où la réunion avec le père
    donne occasion à une grande réjouissance, comme cela est relaté dans la
    parabole—une parabole qui est applicable non seulement  à un seul individu
    mais aussi bien à la race humaine tout entière.



    Chaque
    activité de l’homme oppose son impression  sur l’enveloppe psychique de la
    Terre. Cela s’applique à la pensée, à la parole, et aux actes physiques. Si ces
    activités sont constructives, leurs émanations  sont absorbées par l’Ame
    du monde et en deviennent un des composants. Si au contraire, ces activités
    sont négatives et destructives, leurs émanations deviennent de sombres et
    sinistres courants et restent dans les domaines astraux jusqu’à ce que l’Ego
    responsable de ces créations accomplissent la tâche de liquidation. C’est
    seulement si nous réalisons  la pleine importance  de l’étape
    précédente que nous commençons  à comprendre le sens réel de la
    transmutation  et son immense signification en relation avec notre
    “bien-être”. Nous sommes individuellement responsables de la réaction sur
    terre, de chacune de nos pensées, paroles et actions. Bibliquement, cette
    vérité est donnée dans l’Evangile de Matthieu : “Par vos paroles vous
    serez justifiés, et par vos paroles, vous serez condamnés”.



    Le pouvoir
    transmutatoire à l’intérieur de l’homme se situe dans les forces d’imagination,
    d’inspiration et d’intuition. C’est par l’utilisation constructive de la
    faculté de former des images, unie au souffle de l’intuition à travers la voix
    (pouvoir) de l’esprit que le miracle de la transformation peur être
    effectuée ; un miracle qui clarifie notre tissu karmique et ainsi accélère
    considérablement notre évolution spirituelle.



    Dotés de ces
    pouvoirs, nous faisons un progrès graduel sur le sentier spirituel. Nous
    apprenons à transformer le mal en bien, la haine en amour, le sombre en
    lumineux. La transmutation est la merveilleuse clef qui ouvre la porte au
    “devenir un” avec cette Lumière qui est la Lumière du Monde. A travers la
    transmutation, nous atteignons ce sommet qui est le gardien suprême de la vie
    terrestre : pour “Marcher dans la Lumière comme Il est dans la Lumière, et
    être en communion les uns avec les autres ”.


    RAYS  JANVIER FEVRIER 
    1996                    
         Barbara Joiner

    Traduction Chantal Duros




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  • Image du Blog virtuellife.centerblog.net



    Parmi les
    nombreuses déclarations des Enseignements de la Sagesse Occidentale qui portent
    des fruits spirituels  lorsqu'elles sont considérées en méditation,
    celle-ci est particulièrement significative: "L'usage de mots pour
    exprimer la pensée est le plus grand privilège humain  et peut être exercé
    seulement par une entité raisonnante, pensante, telle que l'homme".
     



      



    "L'usage
    de mots pour exprimer la pensée". Quel privilège en effet, Comme l'apôtre Jacques
    nous le dit: "Par elle (la parole) nous bénissons Dieu notre Père; par
    elle,  nous  maudissons les hommes qui sont faits  à l'image de
    Dieu". Vraiment la parole est une épée à double tranchant, et c'est notre
    privilège et notre responsabilité de motiver nos paroles par une pensée logique
    et raisonnée afin que leur plus grand pouvoir puisse être libéré.
     



      



    Ralph Waldo
    Emerson nous rappelait que "la parole est pouvoir : la parole est faite
    pour persuader, convertir,  contraindre".  Inspiré par la sagesse
    initiatique Rosicrucienne, Shakespeare nous laissa un trésor de paroles et de
    mémorables aphorismes sur les mots, tels que :"On ne sait pas combien une
    parole malheureuse peut empoisonner le goût", et "Ces mots sont des
    rasoirs pour mon cœur offensé". Percy Bysshe Shelley,  d'une
    conscience de poète éclairé, disait "Nous ne savons pas ce que nous
    faisons lorsque nous parlons". Cicéron,  courageux orateur de l'ère
    pré-Chrétienne à Rome, disait "Nous devrions être aussi soigneux dans nos
    paroles que dans nos actions, et aussi éloignés de la parole mauvaise que de
    l'acte mauvais". John Dryden, un poète anglais du dix septième siècle,
    nous donna ce joyau :
     



      



    La parole est la lumière, le matin
    de l'esprit;
     



    Elle répand de belles images de tous
    côtés,
     



    Ou bien qui demeurent enroulées et
    enveloppées dans l'âme.
     



      



    Il n'y a
    certainement aucun pouvoir exercé par l'Esprit humain qui ait plus directement
    une origine spirituelle ou qui ait une plus destinée que ce verbe parlé, et en
    conséquence il n'y a pas de leçon plus essentielle pour l'aspirant spirituel
    que d'apprendre l'usage de ses paroles de façon constructive.
     



    Il n'y a
    également probablement aucun pouvoir aussi libre et étourdiment mal utilisé que
    le verbe parlé. De nombreuses personnes dissipent cette force par un bavardage
    sans intérêt sur des choses triviales; d'autres  la pervertissent par
    recherche consciente, comme dans le cas du calculateur Iago dans la tragédie de
    Shakespeare Othello,  afin
    de souiller le 'bon nom" d'un autre :
     



      



    Le bon nom en l'homme et la femme,
    mon cher Lord,
     



    Est le joyau immédiat de leurs âmes; 



    Qui dérobe ma bourse dérobe des
    détritus; c'est quelque chose, rien
     



    C'est la mienne, c'est la sienne, et
    a été esclave de milliers;
     



    Mais celui qui l a chipé de moi le
    bon nom
     



    Me dérobe ce qui ne peut l'enrichir 



    Et fait de moi vraiment un pauvre. 



      



    La critique,
    elle –même  une épée à double tranchant, est probablement le mésusage le
    plus librement pratiqué des pensées et des paroles dont les êtres humains sont
    coupables.
     



    Concernant la
    valeur et le préjudice de la critique, Max Heindel écrit que "La critique
    constructive, qui met l'accent sur les imperfections et les moyens d'y
    remédier, est une base de progrès, mais la critique destructrice, qui démolit
    sauvagement le bon et le mauvais de la même façon sans viser un accomplissement
    supérieur, est un ulcère du caractère et doit être éradiqué". Il
    ajoute  également que "bavardage et  colportage de  rumeur
    sont entraves et obstacles", et que nous devrions éviter les pensées
    grossières non seulement parce qu'elles nous font du mal, mais parce qu'elles
    forment des formes pensées  telles des flèches, qui, passant hors de nous,
    "percent et obstruent  l'influx de bonnes pensées irradiées
    constamment par les Frères Aînés et attirées par les hommes bons".
     



      



    L'étudiant
    des Enseignements de la Sagesse Occidentale apprend que "dans l'ancienne
    Lémurie le langage était  quelque chose de sacré. Ce n'était pas un
    langage comme le nôtre—un simple arrangement de sons. Chaque son  exprimé
    par le Lémurien avait un pouvoir sur la Nature autour de lui. Par conséquent,
    sous la guidance des Seigneurs de Vénus,  qui étaient les messagers de
    Dieu—les agents des Hiérarchies Créatrices—le pouvoir de la parole était
    utilisé avec grande révérence, comme quelque chose de sacré…Il n'était jamais
    abusé ou dégradé par le bavardage ou la conversation ordinaire".
     



      



    Plus tard, en
    Atlantide, les rudiments d'un langage vinrent à l'existence. Les Atlantéens
    "développèrent des mots et ne firent plus usage de simples sons, comme le
    faisaient les Lémuriens. Ils formaient encore une race spirituelle et leurs
    pouvoirs de l'âme étant comme les forces de la Nature, ils ne nommaient pas
    seulement les objets autour d'eux, mais dans leurs mots se trouvait le
    pouvoir  des choses qu'ils nommaient. Comme les derniers Lémuriens, leurs
    sentiments  en tant qu'Esprits…les inspiraient, et aucun mal n'était
    jamais  fait sur un autre. Pour eux le langage était sacré, la plus élevée
    et la plus directe expression de l'Esprit. Le  pouvoir ne fut jamais abusé
    ou dégradé  par bavardage ou conversation banale. Par l'usage d'un langage
    défini l'âme dans sa race devenait d'abord capable de contacter l'âme des
    choses dans le monde extérieur".
     



      



    Puisque
    l'évolution procède en spirale, les conditions et facultés qui ont existé dans
    le passé sont constamment en réapparition, bien que toujours dans une forme
    supérieure. Ceci est vrai quant à la parole. Le pouvoir du verbe parlé utilisé
    par les lémuriens a été perdu  durant notre descente dans la
    matière,  avec son cortège d'égoïsme et de cruauté.  Cependant, un
    des objets de notre évolution est que nous récupérons le verbe de  pouvoir
    son usage consciemment et indépendamment de créer.
     



      



    Durant la
    première partie de notre actuel Grand Jour de Manifestation, alors que la Terre
    était encore une partie du Soleil, l'homme était alimenté par les forces
    solaires de toute la nourriture nécessaire, "et il irradiait
    inconsciemment le surplus dans le but de propagation. Lorsque l'Ego entra en
    possession de ses véhicules il devint nécessaire d'utiliser une partie de cette
    force à la construction du cerveau et du larynx…Ainsi la force créatrice duelle
    qui travaillait jusque là dans une seule direction dans le but de créer un
    autre être,  devint divisée. Une partie fut dirigée vers le haut afin de
    construire le cerveau et le larynx, au moyen duquel l'Ego fut capable de penser
    et de communiquer  des pensées aux autres êtres".
     



    Pourtant, le
    cerveau, au mieux, n'est  seulement qu'une méthode indirecte d'acquisition
    de la connaissance, et est destiné à être remplacé par une connaissance
    intérieure bien plus élevée que la conscience  du cerveau actuel. Lorsque
    ce stade sera atteint, tel qu'il l'a été par les Adeptes, le larynx
    spiritualisé et perfectionné de l'homme prononceront à nouveau "le verbe perdu",
    le "Fiat Créateur", qui, sous la guidance des Grands Maîtres; était
    utilisé dans l'ancienne Lémurie dans la création des plantes et des animaux.
     



      



    La parole de
    l'homme est ainsi une manifestation microcosmique du même pouvoir qui est
    exprimé par le Macrocosme, Dieu, en créant  un univers. C'est une
    expression du Pouvoir Créateur divin inhérent en chaque être humain. Nous
    sommes faits à Son image spirituelle, et bien évidemment les potentialités
    développées d'un tel pouvoir ne sont pas confiées  à celui qui voudrait
    les utiliser  égoïstement ou de façon destructrice. Donc seuls ceux qui se
    montrent dignes de la possession de ce pouvoir en l'utilisant de manière
    constructive durant leur période d'entraînement pendant leur vie sur Terre
    peuvent  atteindre son plein développement. Nous pouvons marquer un arrêt
    lorsque nous  réalisons combien nous considérons avec légèreté cette force
    potentiellement puissante que nous possédons en tant  que dieux en
    devenir, et combien nous révélons notre véritable statut spirituel et la
    manière dont nous l'utilisons.
     



      



    L'aspirant
    sage, pleinement conscient de l'origine divine de la parole, la reconnaît comme
    moyen le plus pratique pour obtenir le développement spirituel. Il choisit ses
    mots soigneusement, et s'efforce de parler uniquement dans un but altruiste
    afin que ses paroles soient imprégnées du pouvoir du Christ—le pouvoir
    Amour-Sagesse de Dieu.
     



    Il nous est
    enseigné que "Dans la Période de Jupiter, un élément de nature spirituelle
    sera ajouté (aux quatre existant déjà: feu, terre, ait et eau), qui s'unira à
    la parole afin que les mots portent invariablement avec eux la
    compréhension—non  l'incompréhension, comme c'est fréquemment le cas de
    nos jours. Par exemple,  lorsqu'une personne dit 'maison', elle  peut
    vouloir parler d'un cottage, alors que l'auditeur peut  comprendre
    'appartement dans un immeuble'.
     



      



    "Lorsqu'un
    homme de la Période de Jupiter dira 'rouge' ou prononcera le nom d'un objet,
    une reproduction claire  et exacte  de forme particulière  du
    rouge  auquel il pense, ou de l'objet auquel il fait référence, se
    présentera à sa vision intérieure et sera également visible à celui qui
    l'écoutera.  Il n'y aura aucun malentendu quant à la signification 
    des mots parlés".
     



      



    L'autodiscipline
    est le mot de passe de chaque aspirant sincère, et puisque la parole dissipe
    l'énergie, il se discipline lui-même pour maintenir la modération de celle-ci,
    conservant par là son énergie. Il se discipline particulièrement à être
    silencieux en présence de circonstances douloureuses. Ni le mal, ni la
    persécution, ni la souffrance ne le conduisent à des paroles excessives.
     



      



    L'aspirant
    vigilant ne gaspille pas de temps en plaintes verbales et démonstrations
    navrantes, mais envoie son énergie d'amour venant du cœur à ceux qui l'entourent,
    s'efforçant toujours de parler et d'agir seulement si cela peut être utile. En
    exprimant la foi, la confiance, et l'appréciation aux autres, il les encourage
    sur le Sentier,  par-dessus tout, il est joyeux lorsqu'il sert
    volontairement, ignorant la critique des autres, dans l'oubli de soi et la
    confiance dans le Dieu intérieur.
     



      

    Image du Blog virtuellife.centerblog.net

    Finalement,
    le temps viendra où il rejoindra aussi les rangs de ces êtres illuminés qui ont
    atteint les hauteurs spirituelles de la Divinité  qui se manifeste au
    moyen du Verbe de Pouvoir.
     



      



    RAYS MARS
    AVRIL 2004   PERL AMELIA WILLIAMS
    Traduction Chantal Duros




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  • http://bibleetdecouvertes.free.fr

    Zacharie 11:16 Car voici, je susciterai dans le pays un pasteur qui n'aura pas souci des brebis qui périssent; il n'ira pas à la recherche des plus jeunes, il ne guérira pas les blessées, il ne soignera pas les saines; mais il dévorera la chair des plus grasses, et il déchirera jusqu'aux cornes de leurs pieds


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    LES GEANTS ANCIENS



    Partie n°I



    Traduit en partie des sites http://stargods.org/creation.html et http://hope-of-israël.org/giants.ht








    Il y avait des géants sur la terre en ces jours.







    A. L'homme moderne de nos jours a une taille moyenne d'environ 1mètre 80, + ou - plusieurs cm




    B. Un squelette humain de 4mètres 57 a été trouvé dans la vallée de l'Euphrate, au sud-est de la Turquie, dans les années 50. Pendant la construction d'une route. Beaucoup de tombeaux contenant des géants ont été découverts là-bas. Ceci concerne l'image du fémur humain géant et du monsieur barbu 'Joe' à sa gauche




    C. Maximinus Thrax Ceaser de Rome en 235-238 après J-C, avait un squelette de 2mètres 59




    D. Goliath était grand d'environ 2 mètres 75 + ou - quelques cm. Voir 1 Samuel 17




    E. Le Roi Og, cité dans le Deutéronome 3:11 dont le lit en fer mesurait approximativement 4 mètres 30 de long et 1mètre 80 de large. Le Roi Og devait mesurer au moins 3 mètres 60




    F. Un squelette humain de 5 mètres 94 a été trouvé en 1577, Après J-C, sous un chêne déraciné dans le canton de Luzerne




    G. Un squelette de 7 mètres a été trouvé en 1456, Après J-C, près d'un fleuve vers valence, en France




    H. Un squelette de 7 mètres 90 environ, a été trouvé en 1613, Après J-C, près du château de Chaumont en France. Ce squelette, est décrit comme étant presque complet




    I. Incroyable et presque au-delà de la compréhension, fut la trouvaille de deux restes humains (distincts) de 11 mètres chacun, découvert par des Carthaginois quelque part entre 200-600 Av J-C








    D'autres découvertes.







    1. Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans une mine de houille italienne. Source le : « Dinosaure , par Dr. Carl Baugh » (254) 897-3200




    2. Un squelette humain de 2 mètres 64 a été récupéré sous un monticule en pierre, dans un tombeau, à Brewersville, en Indiana, en 1879. Source: Nouvelles D'Indianapolis, le 10 novembre 1975. Cité dans « reader digest, mystères de l'expliqué », essayez également vers Renee et Peter Schissel @ rue de 9985 W. 208th Lakeville, Manganèse 55044. Leur numéro de téléphone est 612-469-4060




    3. Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans le lit du lac Humbolt (nanovolt) en juin 1931. Source: Revue De Lovelock - Mineur 19 Juin 1931




    4. Un squelette humain de 3 mètres 66 a été trouvé par des soldats dans le ranch de Lompoc, Califorina en 1883. Source: Le non expliqué par Dr. Karl Shuker p. 1515. Certains insectes géants, comme les sauterelles, mesuraient dans le passé 61 cm




    5. Ce sont quelques unes des nombreuses empreintes de pas d'humain et de dinosaures géants trouvées côte à côte dans tout le Paluxy Riverbed à Glenn Rose, dans le Texas. Voir le www.creationevidence.org et www.omniology.com. Homme et dino




    6 Une humanoïde de 2 mètres 14 et plusieurs autres de ces mamans ont été trouvées en Chine dans les années '96'. Du livre de Joe (mont blanco) « Faits et Imaginations Fossiles » www.mtblanco.com




    7. Des chameaux grands de 6 mètres 10 et des humains géants ont été trouvés. Ils ont été trouvés dans le Texas, en Arizona, en Ohio, en Europe, et particulièrement au Moyen-Orient












    Tous ce qui contredit la « religion » d'état disparaît systématiquement. Lorsqu'un géant est trouvé le musée ou tout autre organisme l'ayant trouvé reçoit bourse, argent pour une étude avec le système gouvernemental




    Tout est soigneusement catalogué, photographié, empaqueté, mis en caisse et puis tout à disparus plus de preuves. Sauf si vous êtes encore indépendant. Mais les pressions sont énormes, dans ces cas là. Et lorsque vous écrivez pour vérifier certaines découvertes ou pour les étudier, elles sont ignorées, perdues, jetées, introuvables








    Traces de pieds humains et de dinosaures, « fossilisées » ensembles. Pourtant, 65 millions d'années devraient les séparer, d'après certaines théories




    La preuve d'un mensonge !? Remarquez la taille équivalente voir supérieur du pied humain. L'homme de cette empreinte était très grand, très, très grand
























    Ci dessous, remarquez la différence de taille, entre ces humains !







    Photo n°3, l'image en bas à droite, a été publié en 1895 ( dans strand magasine ). Un géant découvert dans le Comté d'Antrim en Irlande. Plus haut que le wagon sur lequel il est appuyé. Cet homme monstrueux passe pour avoir été déterré par un Mr. Dyer qui prospectait pour trouver du minerai de fer dans le Comté d'Antrim. Les principales dimensions sont: La longueur totale de 12 pieds 2 . La circonférence de sa poitrine, 6 pieds 6 . Sa longueur de bras, 4 pieds 6. Il avait six orteils au pied droit. Son poids « brut » est 2 tonnes. ( Un pied = égal 30,48 cm. Un pouce = 2,54 cm.




    Mr. Dyer, après avoir montré le géant à Dublin, est venu en Angleterre avec sa découverte bizarre et l'a exposé à Liverpool et Manchester demandant six pence par visite. Ensuite Mr Dyer a payé un certain Kershaw pour s'occuper de l'affaire et la trace du géant a ensuite disparue


    Photo n°1



    Photo n°2



    Photo n°3

    géant



    Géant



    Géant



    Photo n° 2 voir liens et texte suivant,

    Cliquez sur le lien: Découverte de deux squelettes géants en Arabie Saoudite et en Ira




    En 2004, on a découvert en Arabie Saoudite un squelette humain aux proportions extraordinaires




    Cette découverte retentissante a été faite par le Aramco Exploration team, l'équipe de prospection de la compagnie pétrolière Saoudienne Aramco. La photo ci-dessus a été prise par l'hélicoptère d'Aramco




    Les Saoudiens pensent qu'il s'agit là des restes du peuple d'Aad, des géants anciens dont on parle dans le Coran. La zone a été sécurisée par l'armée Saoudienne et l'information aurait dû rester secrète, mais cette photo a pu filtrer sur Internet




    Fait troublant, un deuxième squelette vient d'être mis à jour en Iraq, dans la partie Kurde au nord du pays




    Ces découvertes semblent être la confirmation de l'existence des Titans, ces géants dont on parle dans la Genèse.....,etc.....




    http://www.bibliotecapleyades.net/sumer_anunnaki/anunnaki/anu_11.htm



    http://friskodude.blogspot.com/2004/06/mysterious-giant-human-ske_108818267252410645.html



    http://info.org.il/irrelevant/item.php/108914260885387921



    http://www.shweir.com/middle_east.htm







    Quelques internautes (paz..an entre autre) m'ont écrit pour me dire que la photo n° 2 est un "faux"




    Comme on ne peut guère se fier au système car beaucoup nous mène en galère (romaine), on pourrait considérer qu'elle est fausse




    Mais sur certains sites, il est précisé que le survol de la zone "de photo de ce géant" est devenu difficile, voir impossible, certainement après la mise en ligne sur le net de photos concernant cette zone. On peut imaginer, que les autorités locales ne voulaient plus que des photos soient prises. Pourquoi




    Et ceux qui auraient voulu aller sur place pour vérifier n'auraient certainement pas pu demander verbalement aux autochtones la confirmation que la découverte "de géants" était bien réel. Il y a des sujets que l'on veut cacher au plus grand nombre




    La création de faux étant réalisable autant dans un sens que dans l'autre, il est aussi possible que cette photo soit vraie. Comme un doute subsiste il serait dommage de supprimer cette photo




    Ne pouvant actuellement aller vérifier sur place. Mais, comme les proportions qu'elle suggère quant à la taille du géant est bien mise en évidence, je la garde pour cette raison. Merci aux internautes qui veulent séparer le bon grain de l'ivraie




    ils doivent avoir raison.



    Un autre internaute, Serge M..., m'a fait une remarque pertinente sur le sujet...! Voici son commentaire




    Voici la photo dite originale. Vous pouvez voire sur le deuxième poteau en bois, sur la droite que l'ombre correspond à l'ombre de la tête dans la photo fake de la tête du géant




    Cependant, il est intéressant de noter dans la "vraie photo", des problèmes d'ombres. Certaines ombres ne sont pas orientées dans la même direction. Si des éclairages avaient été rajoutés, alors chaque poteau aurait plusieurs ombres. Là où se trouve le bassin du squelette sur la photo fake, il y a une ombre en forme de poteau sur la "vraie photo alors qu'on ne voit pas de poteau. Dans tous les cas, pour en avoir le coeur net, utilisez également la "vraie photo" dans votre blog et demandez peut-être l'avis d'un spécialiste pour savoir à quelle espèce d'animal pourrait appartenir les ossements de la "vraie photo"




    Il a raison ...! Mais c'est toujours pas évident d'être sur à 100% de la bonne photo




    Voici cette photo

    Photo dite "vraie"











    CES GEANTS ANCIENS.







    Note: 6000, 5000, 4000, 3000, 2000 ans d'histoire sont passés, l'histoire est devenue une légende, puis la légende est devenue un mythe, mais la pierre nous rappelle le témoignage de nos pères, de notre Père




    L'histoire et les légendes antiques, aussi bien que la bible, certifient le fait que par le passé les GÉANTS étaient sur la terre (hommes de dimensions, de volume et de taille impressionnante!). Le fait est que ces hommes colossaux commencent à apparaître après la naissance des femmes? Le fait de leur existence est associé aux péchés des « anges déchus » qui ont cohabité avec des femmes? Ce pourrait-il que de tels événeGilgamesh.ments incroyables, époustouflants, se reproduisent encore à la fin des temps?




    A droite ci contre, Gilgamesh, souverain d'Ourouk vers 2900 av J-C. Né d'un père humain et d'une déesse. Sa taille en comparaison du lion est surprenante. Dans le livre de la genèse nous y lisons un rapport succinct et catégorique




    Genèse ch 6 verset 1 à 4



    1 Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées




    2 les fils de Dieu [ anges ] virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu'ils choisirent




    4 Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants: ce sont ces héros qui furent fameux dans l'antiquité




    Les géants étaient sur la terre en ces jours; et également après. Quand les fils de Dieu ont connus les filles des hommes [ont des relations sexuelles avec elles], ils ont fait des ENFANTS, qui sont devenus des HOMMES PUISSANTS, qui étaient renommés, fameux, des héros dans l'antiquité (Gen.6:1-4).




    Qui étaient ces "géants", ces hommes de grande renommée, ces héros ? Que nous indique la bible à leur sujet ? C'est une histoire fascinante, une histoire qui doit être étudiée!




    Que se produit-il, lorsqu'un esprit devient, ou apparaît comme un être de chair, et qu'il s'unit à une femme mortelle, et que leurs deux graines se joignent (le sperme du mâle et l'oeuf de la femelle)?




    C'était une union que Dieu avait interdite pour de bonnes raisons. La progéniture qui en a résulté, était non seulement fière, insolente, arrogante, et égocentrique, mais elle était également extrêmement adroite. Et dans certains cas, elle était parfois COLOSSALE dans sa stature! Elle a perturbé l'écologie et l'équilibre entier de la vie du monde avant le déluge.




    Qui étaient alors ces géants ou (Nephilim) ? Le seul autre passage où l'on retrouve ce mot est dan




    Nombres ch 13 verset 33



    33 et nous y avons vu les géants, (Nephilim) enfants d'Anak, de la race des géants (Nephilim): nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles




    Nephilim signifie clairement géants, étant dérivé . . . des racines mutuellement relatives de trois verbes, rapportant l'idée fondamentale de TAILLE ÉNORME et EXTRAORDINAIRE. On ne peut considérer cela incroyable dans l'âge antédiluvien, car il existe des restes de quadrupèdes et d'autres animaux inférieurs dans les musées. Et nous constatons qu'ils étaient d'une taille immensément plus grande que le standard de notre époque.




    L'archéologie et ses expositions, les fables traditionnelles des poètes classiques, aussi bien que l'existence de monuments colossaux, nous prouvent, qu'il y avait dans des périodes lointaines, des gens de FORCE CYCLOPÉENNE. Et si ceci, était la caractéristique particulière d'une certaine classe seulement, ces diverses circonstances contribuent à la justification de la conclusion, qu'ils étaient là dans le monde, avant l'inondation. Des Titans distingués par leur stature et leur énergie corporelle loin au-dessus de l'échelle actuelle.




    Mais bien que l'idée de la PUISSANCE COLOSSALE soit à la base du langage sacré de l'historien, le terme « Nephilim » semble contenir une signification plus profonde. Et si l'étymologie peut nous guider, elle décrit une classe d'homme, sans valeur morale et en même temps de caractère violent. Il apparaît que le Nephilim maraudait, volait les nomades et qu'il était un homme violent, de caractère anarchique. Qu'il maltraitait grâce à sa puissance corporelle afin d'obtenir ce qu'il voulait et qu'il était extrêmement égoïste ! Qu'il était un nomade, constamment d'un endroit à un autre à la recherche de pillage, et il attaquait les propriétés et prenait la vie des hommes en émergeant soudainement de sa retraite de sa cache.(Commentaire expérimental critique, vol.1,p 89)








    Il y avait aussi des géants APRÈS le déluge !







    Des hommes de stature colossale sont également mentionnés comme existant après la pléthore du temps de Noé. Quand les enfants d'Israël ont envoyé des espions dans la terre de Canaan, pour se préparer à envahir cette terre, ils étaient consternés de trouver des géants qui demeuraient encore sur cette terre. Consternés, ils ont donné à Moïse et au peuple un état effrayant de la situation qui les attendait




    Nombres Ch 13 verset 28 à 33



    28 Mais le peuple qui habite ce pays est puissant, les villes sont fortifiées, très grandes; nous y avons vu des enfants d'Anak




    29 Les Amalécites habitent la contrée du midi; les Héthiens, les Jébusiens et les Amoréens habitent la montagne; et les Cananéens habitent près de la mer et le long du Jourdain




    30 Caleb fit taire le peuple, qui murmurait contre Moïse. Il dit: Montons, emparons-nous du pays, nous y serons vainqueurs




    31 Mais les hommes qui y étaient allés avec lui dirent: Nous ne pouvons pas monter contre ce peuple, car il est plus fort que nous




    32 Et ils décrièrent devant les enfants d'Israël le pays qu'ils avaient exploré. Ils dirent: Le pays que nous avons parcouru, pour l'explorer, est un pays qui dévore ses habitants; tous ceux que nous y avons vus sont des hommes d'une haute taille




    33 et nous y avons vu les géants, enfants d'Anak, de la race des géants: nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles




    Nombres Ch 14 verset 1



    1 Toute l'assemblée éleva la voix et poussa des cris, et le peuple pleura pendant la nuit




    2 Tous les enfants d'Israël murmurèrent contre Moïse et Aaron, et toute l'assemblée leur dit: Que ne sommes-nous morts dans le pays d'Égypte, ou que ne sommes-nous morts dans ce désert


    3 Pourquoi l'Éternel nous fait-il aller dans ce pays, où nous tomberons par l'épée, où nos femmes et nos petits enfants deviendront une proie? Ne vaut-il pas mieux pour nous retourner en Egypte




    Le mot pour des "géants", est le même mot utilisé dans la genèse 6:4 « Nephilim. ». Évidemment, donc, certains d'entre eux auraient vécu après le déluge








    Une deuxième irruption des géants.







    D'où est-ce que sont venus ces géants? Puisque tout le pré-monde des géants a été détruit par, ou avant le déluge. Ceux-ci doivent être nés d'anges désobéissants qui ont cohabité avec des femmes peu après le déluge.




    La bible nous dit en Nombre ch 13 verset 33:



    33 et nous y avons vu les géants, enfants d'Anak, de la race des géants: nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles




    Nous lisons dans ce texte, géant* (* Nephilim ):



    « et nous y avons vu les géants, enfants d'Anak, de la race des géants »



    Au temps de Moïse, (enfants d'Anak, de la race des géants ), on se demande, comment cela peut-être possible, s'ils avaient tous été détruits pendant le déluge?. La réponse est contenue dans Gen.6:4, où nous lisons




    « Les géants étaient sur la terre en ces temps-là (c.-à-d., aux jours de Noé); après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants: ce sont ces héros » Héros en hébreux gibbor: héros, puissant, vaillant, vaillants hommes, bravoure, guerrier, richesse, homme, chefs, tyran)




    « qui furent fameux » (C.-à-d. en hébreux « shem » qui furent fameux, nommée, appelé, on t'appellera, les mêmes (noms) un nom et étaient renommés pour leur ).




    « dans l'antiquité » (En hébreux « twot » longue durée, antiquité, le futur, pour toujours, jamais, éternel, perpétuel, vieux, ancien, monde ».On comprend que leurs noms, leur renommée, leur ont été donné pour toujours. Race de géant les Nephilim.




    De sorte, qu'après cela, c.-à-d. après que le déluge, il y eut une deuxième irruption de ces anges déchus, puisque appelé du même nom. Évidemment, en plus petit en nombre et davantage limité dans une zone, parce qu'ils étaient pour la plupart confiné dans la région de Canaan, et en fait ils ont été connus comme « la nation de Canaan ». Dieux, était pour la destruction de ces derniers puisque non prévu dans son plan et d'une génétique modifiée. C'est pour cela que l'épée d'Israël était nécessaire, car le déluge était passé. Dieu ayant promi




    Genèse ch 9 verset 13 à 15



    13 j’ai placé mon arc dans la nue, et il servira de signe d’alliance entre moi et la terre


    14 Quand j’aurai rassemblé des nuages au-dessus de la terre, l’arc paraîtra dans la nue


    15 et je me souviendrai de mon alliance entre moi et vous, et tous les êtres vivants, de toute chair, et les eaux ne deviendront plus un déluge pour détruire toute chair




    Quant à la date de cette deuxième irruption, elle eut lieu évidemment peu après qu'il soit devenu notoire que la graine du Messie devait venir par Abraham, lorsqu'il sortit de Charan, et qu'il fut entré dans Canaan




    livre Genèse ch12 verset 6 à 7



    6 Abram parcourut le pays jusqu'au lieu nommé Sichem, jusqu'aux chênes de Moré. Les Cananéens étaient alors dans le pays




    7 L'Eternel apparut à Abram, et dit: Je donnerai ce pays à ta postérité. Et Abram bâtit là un autel à l'Eternel, qui lui était apparu








    Note: Abram et Abraham sont bien la même personne, mais l'origine du changement du nom et lié à la lignée engendrée par Abraham avec sa femme Sara lorsqu'il se conforme à la volonté de Dieu qui vient de faire Alliance avec lui




    livreGenèse ch 17 verset 5 à 6



    5 On ne t’appellera plus Abram; mais ton nom sera Abraham, car je te rends père d’une multitude de nations


    6 Je te rendrai fécond à l’infini, je ferai de toi des nations; et des rois sortiront de toi




    livreGenèse ch 17 verset 15 à 16



    15 Dieu dit à Abraham: Tu ne donneras plus à Saraï, ta femme, le nom de Saraï; mais son nom sera Sara


    16 Je la bénirai, et je te donnerai d’elle un fils; je la bénirai, et elle deviendra des nations; des rois de peuples sortiront d’elle




    Pas lorsqu'il s'appel encore Abram et qu'il se laisse influencer par sa femme Saraï pour enfanter avec Agar et qu'il eut habité à Canaan depuis 10ans




    livreGenèse ch 16 verset 3



    3 Alors Saraï, femme d’Abram, prit Agar, l’Egyptienne, sa servante, et la donna pour femme à Abram, son mari, après qu’Abram eut habité dix années dans le pays de Canaan




    Le fait significatif énoncé est : « Les Cananéens étaient alors (c.-à-d. déjà) dans le pays




    Et, dans



    Genèse ch 14 verset 5



    5 Mais, la quatorzième année, Kedorlaomer et les rois qui étaient avec lui se mirent en marche, et ils battirent les Rephaïm à Aschteroth-Karnaïm, les Zuzim à Ham, les Emim à Schavé-Kirjathaïm




    Ils étaient déjà connus en tant que « Rephaïm » et « Emim » ( géants, Rephaïm ou Raphaïte, une race dans le pays de Canaan. les Emim aussi sont regardés comme des Rephaïm, de même que les enfants d'Anak ) et s'étaient établis au lieu Aschteroth-Karnaïm et Schavé-Kirjathaïm




    Satan a su que le Messie promis viendrait par la descendance d'Abraham. Satan a adopté une stratégie de préemption et a multiplié plus de géants pour occuper la terre promise, pour empêcher que les Israélites s'y installent








    Une race de géant les Anakim.







    Exode ch 17 verset 9



    9 Alors Moïse dit à Josué: Choisis-nous des hommes, sors, et combats Amalek; demain je me tiendrai sur le sommet de la colline, la verge de Dieu dans ma main




    Exode ch 17 verset 10



    10 Josué fit ce que lui avait dit Moïse, pour combattre Amalek. Et Moïse, Aaron et Hur montèrent au sommet de la colline




    Exode ch 17 verset 13



    13 Et Josué vainquit Amalek et son peuple, au tranchant de l'épée.



    Josué ch 11 verset 21



    21 Dans le même temps, Josué se mit en marche, et il extermina les Anakim de la montagne d'Hébron, de Debir, d'Anab, de toute la montagne de Juda et de toute la montagne d'Israël; Josué les dévoua par interdit, avec leurs villes




    Josué ch 11 verset 22



    22 Il ne resta point d'Anakim dans le pays des enfants d'Israël; il n'en resta qu'à Gaza, à Gath et à Asdod




    Cependant son plan s'est interrompu, quand les Israélites sous Moïse et Josué ont conquis les habitants de la terre, et ont détruit l'Anakim restant. (une race de géants, descendants d'Anak, qui demeuraient en Canaan du sud )








    Un autre type de géant que le Rephaïm, « l'Emim »







    Dans le livre de Deutéronome, Moïse écrit de la terre de Moab.



    Deutéronome ch 2 verset 10 à 11



    10 Les Emim y habitaient auparavant; c'était un peuple grand, nombreux et de haute taille, comme les Anakim




    11 Ils passaient aussi pour être des Rephaïm, de même que les Anakim; mais les Moabites les appelaient Emim




    On retrouve ici des liens entre tous ces noms, nous précisant leur caractéristique commune de géant




    L'Emim était une autre lignée de géants que Le Rephaïm, et certains ont existé, vécu après le déluge








    Un autre type de géant que le Rephaïm et que l'Emim, «Le Rapha ».



    Avec une caractéristique génétique non négligeable, vingt-quatre doigts.







    2 Samuel ch 21 verset 16



    16 Et Jischbi-Benob, l'un des enfants de Rapha, eut la pensée de tuer David; il avait une lance du poids de trois cents sicles d'airain, et il était ceint d'une épée neuve




    2 Samuel ch 21 verset 18



    18 Il y eut encore, après cela, une bataille à Gob avec les Philistins. Alors Sibbecaï, le Huschatite, tua Saph, qui était un des enfants de Rapha




    2 Samuel ch 21 verset 20



    20 Il y eut encore une bataille à Gath. Il s'y trouva un homme de haute taille, qui avait six doigts à chaque main et à chaque pied, vingt-quatre en tout, et qui était aussi issu de Rapha




    2 Samuel ch 21 verset 22



    20 Ces quatre hommes étaient des enfants de Rapha à Gath. Ils périrent par la main de David et par la main de ses serviteurs




    1 Chroniques ch 20 verset 4



    4 Après cela, il y eut une bataille à Guézer avec les Philistins. Alors Sibbecaï, le Huschatite, tua Sippaï, l'un des enfants de Rapha. Et les Philistins furent humiliés




    1 Chroniques ch 20 verset 6



    6 Il y eut encore une bataille à Gath. Il s'y trouva un homme de haute taille, qui avait six doigts à chaque main et à chaque pied, vingt-quatre en tout, et qui était aussi issu de Rapha




    1 Chroniques ch 20 verset 8



    8 Ces hommes étaient des enfants de Rapha à Gath. Ils périrent par la main de David et par la main de ses serviteurs








    Moïse nous indique d'autres géants dans la terre de Moab les « Zamzummim »







    Deutéronome ch 2 verset 20



    20 Ce pays passait aussi pour un pays de Rephaïm; des Rephaïm y habitaient auparavant, et les Ammonites les appelaient Zamzummim




    21 c'était un peuple grand, nombreux et de haute taille, comme les Anakim. L'Eternel les détruisit devant les Ammonites, qui les chassèrent et s'établirent à leur place




    Un autre géant, Og, roi de Basan, battu par Moïse et les Israélites.



    lors de leur entrée dans la terre promise. Il était un de ces géants.







    Deutéronome Ch 3 verset 11



    11 Og, roi de Basan, était resté seul de la race des Rephaïm. Voici, son lit, un lit de fer, n'est-il pas à Rabbath, ville des enfants d'Ammon? Sa longueur est de neuf coudées, et sa largeur de quatre coudées, en coudées* d'homme




    * c.-à-d., La coudée pour un homme, (pas un ange), mesure entre 44 et 52 cm. La terre d'Og, était appelée "la terre des géants




    Deutéronome chapitre 3 verset 13



    13 Je donnai à la moitié de la tribu de Manassé le reste de Galaad et tout le royaume d’Og en Basan: toute la contrée d’Argob, avec tout Basan, c’est ce qu’on appelait le pays des Rephaïm




    Joe Taylor en photo. D'autres photos sont visibles sur le site www.mtblanco.com



    1 mètre 80 au dessus du chapeau.



    De Joe Taylor au sujet du fémur de la photo ci-dessus à droite



    M. Jack Wagner m'a envoyé l'article suivant, en 1996 et m'a demandé de sculpter un fémur d' être humain de la taille de celui trouvé au Moyen-Orient. Comme guide pour ce modèle, j'ai utilisé le fémur de l'une des femmes de l'homme de Malachite




    (Ce que nous savons de cette découverte est tiré d'une lettre adressée par l'homme qui a trouvé l'os original.




    L'article:



    Chers amis chrétiens, je suis né et j'ai vécu dans le Moyen-Orient de 1938 à 1968. J'étais Ingénieur travaillant sur des chantiers traitant les eaux de Ain-Tell et de l'Euphrate. J'étais très intéressé par l'archéologie et l'histoire, et je suis arrivé à quelques conclusions très intéressantes, dont certaines peuvent sembler incroyable. J'ai apporté avec moi quelques pointes de flèches en silex, etc, provenant du lieu du même du champ de bataille où les armées du roi Nabuchodonosor et du Pharaon Nékao ont combattu. Et que dire des géants mentionnés dans la Genèse? Dans le sud-est de la Turquie dans la vallée de l'Euphrate et dans la région de Homs et à Uran-Zohra, des tombes d'environ quatre mètres de long existaient autrefois, mais maintenant, les routes et autres travaux de construction ont entraîné la destruction des sites. À deux endroits, lors des travaux de construction on a découvert, des os de cuisse mesurant 120 cm (47 pouces). Cela paraît incroyable. J'ai vécu avec ma famille à Ain-Tell pendant plus de 14 ans à l'endroit même où le roi Nebucadnetsar avait son quartier général après la bataille de Charcamish. A cet l'endroit, j'ai creusé, fouillé les tombes des officiers des rois, et j'y ai trouvé leurs squelettes qui étaient d'apparence spongieuse. Ces squelettes se transformaient en cendre blanche dès qu'on les touchait. Et, reposant à côté des corps, se trouvait des lances, des outils de silex, d'obsidienne et des munitions








    On parle aussi de Og dans



    Josué ch12 verset 4



    4 Og, roi de Basan, seul reste des Rephaïm, qui habitait à Aschtaroth et à Edréï




    l Josué ch13 verset 12



    12 tout le royaume d'Og en Basan, qui régnait à Aschtaroth et à Edréï, et qui était le seul reste des Rephaïm. Moïse battit ces rois, et les chassa








    Des géants, vers la vallée de Hinnom, (Lieu de dépôt d'ordures pour Jérusalem)



    Cette vallée est un "type" du feu final de la géhenne.







    Josué Ch15 verset 8



    8 Elle montait de là par la vallée de Ben-Hinnom au côté méridional de Jebus, qui est Jérusalem, puis s'élevait jusqu'au sommet de la montagne, qui est devant la vallée de Hinnom à l'occident, et à l'extrémité de la vallée des Rephaïm au nor




    livre Josué Ch 18 verset 16



    16 Elle descendait à l'extrémité de la montagne qui est vis-à-vis de la vallée de Ben-Hinnom, dans la vallée des Rephaïm au nord. Elle descendait par la vallée de Hinnom, sur le côté méridional des Jébusiens, jusqu'à En-Roguel












    http://www.mysteriousworld.com/Journal/2003/Spring/Giants/







    Josué ch17 verset 15 mentionne des "Rephaïm," une autre branche de géant, dans une autre région




    15 Josué leur dit: Si vous êtes un peuple nombreux, montez à la forêt, et vous l'abattrez pour vous y faire de la place dans le pays des Phéréziens et des Rephaïm, puisque la montagne d'Ephraïm est trop étroite pour vous




    Ceux-ci ont demeuré dans la région près de Sodome et de Gomorrhe pendant la période d'Abraham




    Genèse ch14 verset 5



    5 Mais, la quatorzième année, Kedorlaomer et les rois qui étaient avec lui se mirent en marche, et ils battirent les Rephaïm à Aschteroth-Karnaïm, les Zuzim à Ham, les Emim à Schavé-Kirjathaïm




    Genèse ch15 verset 20



    20 des Héthiens, des Phéréziens, des Rephaïm,



    I Samuel ch 5 verset 18 à 22



    18 Les Philistins arrivèrent, et se répandirent dans la vallée des Rephaïm.

    19 David consulta l'Eternel, en disant: Monterai-je contre les Philistins? Les livreras-tu entre mes mains? Et l'Eternel dit à David: Monte, car je livrerai les Philistins entre tes mains


    20 David vint à Baal-Peratsim, où il les battit. Puis il dit: L'Eternel a dispersé mes ennemis devant moi, comme des eaux qui s'écoulent. C'est pourquoi l'on a donné à ce lieu le nom de Baal-Peratsim


    21 Ils laissèrent là leurs idoles, et David et ses gens les emportèrent.

    22 Les Philistins montèrent de nouveau, et se répandirent dans la vallée des Rephaïm




    I Samuel ch 23 verset 13



    13 Trois des trente chefs descendirent au temps de la moisson et vinrent auprès de David, dans la caverne d'Adullam, lorsqu'une troupe de Philistins était campée dans la vallée des Rephaïm




    Dans un texte antique des Juifs, nous avons lu une description étonnante sur certains de ces Amoréens (montagnards) colossaux que les Israélites ont battu




    Dans « Tanhuma de Buber , Devarim 7 », le texte nous indique la rencontre d'un Rabin « Johnanan ben Zaccaï » avec l'empereur romain Hadrien. Cet événement s'est produit environ vers 135 a.p J-C. Peu après la victoire romaine dans la guerre "Simon Bar Kochba", quand les juifs se sont rebellés contre les Romains. Le texte nous apprend que:




    "le mauvais empereur Hadrien, qui a conquis Jérusalem, s'est vanté, "j'ai conquis, grâce à ma grande puissance, Jérusalem!". « Rabin Johanan ben Zaccaï » lui dit "ne vous vantez pas!", si cela n'eut été la volonté du ciel, vous ne l'auriez pas conquise. Rabbi Johanan a alors conduit Hadrien dans une caverne et lui a montré les corps d'Amoréens qui ont été enterrés là. L'un d'eux a mesuré dix-huit coudées de taille [ approximativement 8 mètres ]. Il a dit, "quand nous le méritions, nous avons battus de tels hommes, mais maintenant, en raison de nos péchés, vous nous avez battus" (cité dans le judaïsme , édité par Arthur Hertzberg, p.155-156, George Braziller, New York: 1962).




    Environ huit mètres de haut!? Les os de ces hommes existaient toujours pendant la période de Josephus, l'historien juif du premier siècle!




    La Bible compare aussi ces Amoréens aux cèdres. On imagine un oiseau mouche provoquant et un aigle




    Amos ch 2 verset 9



    9 Et pourtant j'ai détruit devant eux les Amoréens, Dont la hauteur égalait celle des cèdres, Et la force celle des chênes; J'ai détruit leurs fruits en haut, Et leurs racines en bas




    Je vous laisse deviner la taille moyenne des ces arbres.(40 mètres).







    L'origine des "démons"







    D'où sont venus "les mauvais esprits" ou les "démons"? Certains pensent, que se sont simplement des anges déchus, qui sont maintenant privés de leurs corps angéliques. D'autres pensent qu'ils n'existent pas. Mais l'apôtre Pierre nous indique que les anges qui pèchent "sont maintenant jetés vers le bas dans l'enfer" [ Grec, tartaroo, signifiant un abîme profond ]








    II Pierre ch 2 verset 4



    4 Car, si Dieu n'a pas épargné les anges qui ont péché, mais s'il les a précipités dans les abîmes de ténèbres et les réserve pour le jugemen




    Si les anges qui pèchent sont actuellement liés dans les chaînes des ténèbres, alors qui sont ces esprits démoniaques qui errent sur la terre?




    Les mauvais esprits ne sont pas la même chose que "les anges déchus" comme on l'a longtemps cru., Puisque des anges déchus SONT MAINTENANT LIÉS DANS LES CHAÎNES de l'obscurité jusqu'au jour de leur jugement, nous devons rechercher une autre explication, conforme aux écritures, pour expliquer l'existence des démons spirituels qui n'ont aucun corps corporel.




    D'où sont venus "les mauvais esprits", ces esprits appelés des "démons" dans les écritures?




    Le livre d'ENOCH (non inspiré) donne l'explication de l'origine de ces mauvais esprits




    livre Énoch ch15 verset 8 à 10



    Et maintenant : Les géants* (*Nephilim), qui sont le prix du commerce de l'esprit et de la chair, seront appelés sur terre de mauvais esprits, et leur demeure sera sur la terre. Ils procréeront à leur tour de mauvais esprit, parce qu'ils tiennent au ciel par un côté de leur être, parce c'est des saints vigilant qu'ils tirent leur origine. Ils seront donc de mauvais esprits sur la terre, et on les appellera esprit du mal. La demeure des esprits célestes est le ciel; mais c'est la terre qui doit être la demeure des esprits terrestres qui sont nés sur la terre




    Que dit ou fait Jésus-Christ à ces démons:



    Pendant tout son ministère, Il a chassé beaucoup de démons hors des hommes. Et, Il a donné cette même autorité à ses apôtres. Tôt dans son ministère, il a rencontré des démons extrêmement violents et super-forts qui demeuraient parmi les tombeaux près de la mer de Galilée




    Mathieu ch 8 verset 28 à 32



    28 Lorsqu’il fut à l’autre bord, dans le pays des Gadaréniens, deux démoniaques, sortant des sépulcres, vinrent au-devant de lui. Ils étaient si furieux que personne n’osait passer par là


    29 Et voici, ils s’écrièrent: Qu’y a-t-il entre nous et toi, Fils de Dieu? Es-tu venu ici pour nous tourmenter avant le temps


    30 Il y avait loin d’eux un grand troupeau de pourceaux qui paissaient.

    31 Les démons priaient Jésus, disant: Si tu nous chasses, envoie-nous dans ce troupeau de pourceaux


    32 Il leur dit: Allez! Ils sortirent, et entrèrent dans les pourceaux. Et voici, tout le troupeau se précipita des pentes escarpées dans la mer, et ils périrent dans les eaux








    Romain.ch 8 verset 9 à 10



    9 Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l’esprit, si du moins l’Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu’un n’a pas l’Esprit de Christ, il ne lui appartient pas


    10 Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l’esprit est vie à cause de la justice








    Nous ne devons pas craindre ou avoir peur de ces esprits démoniaques car l'Esprit Saint de Dieu habite en nous, nous sommes comme des enfants de Dieu. Jésus a donné à ses disciples la puissance et l'autorité Marc Ch 3 verset 15 avec le pouvoir de chasser les démons. Juste comme Lui. Voici un exemple




    Mathieu ch 10 verset 1



    1 Puis, ayant appelé ses douze disciples, il leur donna le pouvoir de chasser les esprits impurs, et de guérir toute maladie et toute infirmité




    Ces missions et ces charges n'étaient pas simplement que pour les disciples et les apôtres initiaux. C'était une mission et un commandement pour l'église de Dieu tout au long des âges! La notification en est faite dans les instructions finales que Jésus-Christ déclare aux disciples




    Marc ch 16 verset 15 à 17



    15 Puis il leur dit: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création




    16 Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné




    17 Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues




    L'existence de ces mauvais esprits, est liée, issue des anges déchus, et de leurs relations avec des femmes. Ceci est un fait que la psychiatrie moderne ne peut pas expliquer. Les psychiatres modernes ne peuvent pas sonder, trouver la vraie explication, des "dédoublement de la personnalité", "des personnalités multiples". Personne habitée par plusieurs personnalités, ou ayant la capacité de parler dans des langues totalement étrangères, langues qu'elle n'a jamais entendues ou n'a jamais apprises. Personne ayant la connaissance de "vies antérieures," ou d'existences différentes. Comment cela est-il possible ? La Bible nous le fait comprendre!.




    La possession et l'influence démoniaque expliquent parfaitement tous ces phénomènes mystérieux qui embarrassent l'esprit humain et les psychiatres! Ce sont les "mauvais esprits" des "géants" décédés qui ont par le passé erré sur la terre!




    D'autre part, il est également possible pour les anges déchus de tromper, et d'occuper les corps des êtres humains (c'est-à-dire, pour les anges déchus qui ne sont pas déjà liés dans les chaînes des ténèbres). Apparemment des millions d'anges ont suivi Lucifer dans sa rébellion initial




    Apocalypse ch 12 verset 3 à 4



    3 Un autre signe parut encore dans le ciel; et voici, c’était un grand dragon rouge, ayant sept têtes et dix cornes, et sur ses têtes sept diadèmes


    4 Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre. Le dragon se tint devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer son enfant, lorsqu’elle aurait enfanté




    Bon nombre d'entre eux occupent toujours de hauts bureaux spirituels sur cette terre, sous la houlette de leur "dieu" Satan, pour preuve




    Ephésiens. ch 6 verset 10 à 18



    10 Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute-puissante.



    11 Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable




    12 Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes




    13 C'est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté




    14 Tenez donc ferme: ayez à vos reins la vérité pour ceinture; revêtez la cuirasse de la justice




    15 mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l'Évangile de paix;



    16 prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin




    17 prenez aussi le casque du salut, et l'épée de l'Esprit, qui est la parole de Dieu




    18 Faites en tout temps par l'Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints




    Ephésiens ch 2 verset 2



    2 dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l'air, de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion




    I Corinthiens ch 4 verset 4



    4 pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l'intelligence, afin qu'ils ne vissent pas briller la splendeur de l'Évangile de la gloire de Christ, qui est l'image de Dieu




    S'il existe des esprits méchants dans les lieux célestes, en Apocalypse, c'est qu'ils ne sont donc pas encore tous liés !?








    Indications pour comprendre:



    Pour comprendre que se sont bien des anges qui ont cohabité avec des femmes avant l'inondation et qui ont engendré des "géants" (ces "héros, ces hommes célèbres)




    Cela semble incroyable à l'esprit, ou presque incroyable. L'enregistrement studieux des écritures, les sources historiques de l'apocalypse, les traditions des juifs, Josephus (l'historien juif du premier siècle), l'existence même des légendes grecques et les mariages de femmes avec des dieux, tout cela combiné ensemble témoigne du fait inattaquable qu'il s'est vraiment produit ce que nous affirme la Bible!




    Pourquoi Satan le diable a-t-il caché cette vérité du monde? Pourquoi toutes les églises chrétiennes professantes, y compris le clergé catholique et les églises protestantes nient-elles ces faites?




    La séduction de Satan doit naturellement tromper toute l'humanité (Apocalyptiques ch12 v9). Il ne veut pas que l'humanité sache qu'il a essayé "de trifouiller" la lignée sanguine, généalogique, de la race humaine. Il ne veut pas que l'humanité sache que lui et ses anges déchus ont essayé DE CONTRECARRER le plan de Dieu, pour empêcher la naissance du Messie.




    En outre, de par sa propre voie diabolique et détournée, il recherche à faire avec la race humaine comme Dieu a fait en faisant l'homme à son image: Lui et ses anges ont projeté de se reproduire par le seul moyen disponible pour eux ( par des relations sexuelles avec les êtres humains). De ce fait ils produisent leurs propres "enfants," leur "famille" leur "progéniture"!




    Satan le diable, dans sa méchanceté c'est détourné de sa voie, il cherche à être comme Dieu. Il n'a jamais cessé de désirer être "comme le Très Haut




    Esaïe ch 14 verset 12 à 14



    12 Te voilà tombé du ciel, Astre brillant, fils de l'aurore! Tu es abattu à terre, Toi, le vainqueur des nations




    13 Tu disais en ton cour: Je monterai au ciel, J'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu; Je m'assiérai sur la montagne de l'assemblée, A l'extrémité du septentrion




    14 Je monterai sur le sommet des nues, Je serai semblable au Très-Haut.



    Dieu a créé la race humaine, à son image selon sa ressemblance. Dieu projette d'avoir des fils appelés enfants de Dieu, beaucoup d'écritures le certifien




    Genèse ch 1 verset 26



    26 Puis Dieu dit: Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre




    Jean ch 3 v 1 à -2



    1 Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, c'est qu'il ne l'a pas conn




    2 Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est




    3 Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur.



    Hébreux Ch 2 verset 6 à 9



    6 Or quelqu'un a rendu quelque part ce témoignage: Qu'est-ce que l'homme, pour que tu te souviennes de lui, Ou le fils de l'homme, pour que tu prennes soin de lui




    7 Tu l'as abaissé pour un peu de temps au-dessous des anges, Tu l'as couronné de gloire et d'honneur




    8 Tu as mis toutes choses sous ses pieds. En effet, en lui soumettant toutes choses, Dieu n'a rien laissé qui ne lui fût soumis. Cependant, nous ne voyons pas encore maintenant que toutes choses lui soient soumises




    9 Mais celui qui a été abaissé pour un peu de temps au-dessous des anges, Jésus, nous le voyons couronné de gloire et d'honneur à cause de la mort qu'il a soufferte, afin que, par la grâce de Dieu, il souffrît la mort pour tou




    Romain ch 8 verset 1 4 à 21.



    14 car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu.



    15 Et vous n'avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: Abba! Père




    16 L'Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu




    17 Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers: héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d'être glorifiés avec lui




    18 J'estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous




    19 Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu




    20 Car la création a été soumise à la vanité, -non de son gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise, (8-21) avec l'espéranc


    21 qu'elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu




    Néanmoins, Satan a projeté d'imiter, de contrefaire, et de reproduire le plan de Dieu. Il veut atteindre, pervertir, et modifier la création, les hommes, par la cohabitation avec des femmes pour produire sa propre mauvaise progéniture!. Ces abductions étranges annoncent-elles une renaissance, à la fin des temps, d'une tentative historique de Satan pour reproduire et contrefaire le plan de Dieu? Satan pourra-t-il aujourd'hui, avoir une "progéniture", dans une tentative globale finale de contrecarrer et arrêter le plan de Dieu?




    Note: Les projets de clonage (révélé en 2003), font-ils parti de ces procédures ? Je pense que OUI, puisqu'elles sont « non prévues » dans le plan de Dieu !


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    1 commentaire


  • L'ouverture d'esprit est dédiée à la
    libération de l'Ego, l'être-Esprit de l'homme, de la souffrance et de
    l'ignorance, la torsion du préjugé et le manque d'amour de la peur et de la
    séparation. Finalement, et peut-être paradoxalement, l'ouverture d'esprit 
    est basée sur la foi et soutenue par l'amour. Elle se  trouve
    elle-même  confirmant continuellement la réalité de la lumière spirituelle
    et l'harmonie du Cosmos—le raisonnement le plus élevé dont l'homme soit
    capable.



     



    Le philosophe déclare que "Dieu
    est la Vérité et la Lumière est Son ombre". L'esprit lui-même est une
    émanation de la Vérité vivante. La substance mentale composant le corps le plus
    dense des Etres évoluant dans la Hiérarchie du Sagittaire, les Seigneurs du
    Mental, irradiait en l'homme durant l'Epoque Atlantéenne. Une des fonctions de
    l'esprit de l'homme est de lui donner une identification consciente avec ses
    Etres d'essence spirituelle, ces Logoï.



     



    L'ouverture d'esprit ne souffre
    aucune restriction dans sa poursuite de sagesse, mais elle doit être revêtue de
    la Vérité progressivement par intuition logique, et expérience de première
    main, à travers l'initiation. La vérité basée sur décret autoritaire ou imposée
    par dureté de pouvoir est un anathème toujours opposé à l'ouverture d'esprit.



     



    Max Heindel est aussi respectueux de
    l'intégrité de chaque personne et de son libre arbitre qu'il est inquiet pour
    sa santé spirituelle et sa révélation. La tension créée par ces deux
    intérêts—son insistance à la détermination personnelle et sa forte impulsion à
    offrir une guidance paternelle—est quelquefois manifeste, sinon amusante. Par
    exemple, Heindel conseille l'aspirant à se confiner lui-même à la Sagesse
    Occidentale, non Orientale, seulement après s'être immergé lui-même dans la
    philosophie de la religion Orientale—afin de pouvoir traduire l'étymologie
    Sanskrite et l'extraire des Upanishadsen refusant la notion de métempsycose (
    Cosmo.
    p. 158). Il discutera de la distinction entre les combats de l'âme Hindous dans
    le lingua shahira, ou du corps
    astral, et de la pénétration du monde du désir par l'Ego Occidental dans son
    corps de l'âme (Lettres aux Etudiants,
    p. 181). 



    Il cherchera à réconcilier
    "l'enseignement apparemment contradictoire de deux œuvres valables"
    telles que La Doctrine Secrètede Blavatsky, et
    Le Bouddhisme
    Esotérique
    de A.P. Sinnett. Il  mettra en garde contre les
    exercices de respiration Orientaux car il les a lui-même pratiqués  et a
    souffert de leurs effets mauvais. Et, pouvons-nous demander, qui l'a mis en
    garde ? Devait-il ou ne devait-il pas, prouver la vérité pour lui-même ?



     



    Eve, c'est à dire, l'âme naïve, fut également
    mise en garde. Et pour quel avantage ? Il semble qu'apprendre en agissant,
    vérifiant et se prouvant à soi-même, sacrifie les profits immédiats et attire
    davantage de souffrance, mais apporte des facultés supplémentaires, le pouvoir,
    et la certitude dans ce long voyage. La Chute de l'Homme, et les chutes
    quotidiennes de l'homme, sont les pierres d'achoppement pour une conscience de
    soi augmentée et finalement divine. L'erreur est parente de la sagesse. Non que
    nous devions faire le mal obstinément, mais nous devons connaître,  et
    connaître  pour nous-mêmes, de première main.



     



    Plus l'expérience que nous avons à
    l'école des coups durs, avec son chapelet de souffrance, plus certains
    deviennent nos pouvoirs de discrimination et plus infaillibles les intuitions
    et les prévisions qui nous rendrons capables de connaître la vérité ou justesse
    d'une action ou  d'une direction ou d'une appréciation de caractère ou
    d'une situation dès le début, nous sauvant plus tard d'un dilemme
    évolutionnaire et de la détresse.



     



    Naturellement, si l'on est mûr pour
    les Enseignements de la Sagesse Occidentale, on aura déjà extrait l'essence de
    la sagesse Orientale et l'aura amalgamée  comme une part de l'Identité
    permanente de l'Esprit. Pour cela, une exposition de la métaphysique Orientale
    est, dans la plupart des cas, simplement une récapitulation d'une acquisition
    antérieure,  qui est suivie par contact avec des enseignements plus
    courants, tels que  formulés par la philosophie Rosicrucienne et,
    généralement, toute science de l'esprit qui prend en compte l'importance
    majeure de l'Evénement  Christ et de l'Impulsion Christ.



     



    Noue n'oublions pas que Max Heindel
    écrivit une excellente synthèse de La
    Doctrine Secrète
     de Madame Blavatsky, si concise et
    cependant  riche, parce que l'auteur avait auparavant appris et largement
    absorbé l'ancienne sagesse mise en avant dans cette œuvre occulte.



    Ce synopsis représente, parmi ses
    membres à la Société Théosophique de Los Angeles, un bref discours d'adieu à un
    certain accomplissement des vies de la vie, antidatant, comme il se doit,
    l'événement le plus important dans l'histoire de l'évolution de la Terre—la
    naissance de Christ en Jésus et puis dans la planète Terre, et, venant de cette
    Présence, le don continuel à l'homme de la sagesse née de Son amour constant et
    du pouvoir né de Son sacrifice perpétuel.



     



    Clairement, toute foi ou secte qui
    cherche à programmer ou censurer le mental de leurs membres, ou de renier la
    vérité centrale d'autres religions est répréhensible pour tout aspirant
    spirituel.



    Toute vérité formulée est relative,
    quelque profonde ou cosmique soit son exposition. Elle est toujours sujette à
    réformation, à approfondissement et élaboration, puisqu'elle reflète le
    discernement avancé et le développement spirituel du connaisseur.



    De peur que nous ne soyons trop
    attachés à la forme de notre
    engagement, trop littéral ou sectaire dans notre allégeance aux apparats
    extérieurs du chemin que nous avons choisi, Max Heindel nous avertit. La
    déclaration suivante de Philosophie
    Rosicrucienne, Q&R
    362-3 peut servir d'exemple :"La Fraternité
    Rosicrucienne n'est pas épaulée par ces enseignants [Frères Aînés] ou inspirés
    par eux; ils donnent certains enseignements à l'auteur à condition qu'il doive
    les répandre au mieux de ses possibilités et annoncer leur bonne volonté à
    aider tous les autres qui  seraient qualifiés pour cette instruction. Les
    étudiants de ces enseignements ont formé ensemble un anneau pour le bénéfice de
    l'étude associée, mais il n'y a pas d'organisation si dure et tenace, ni
    l'intention d'en constituer une, mais le but est de laisser les gens obtenir
    cet enseignement où ils le veulent. Nous préférons qu'ils demeurent dans leurs
    églises".



     



    La vérité est l'intérêt important,
    pas autant l'identité ou le lieu des canaux matériels par lesquels elle se
    transmet. Lorsque l'on transfère le respect correctement adressé à la sainte
    Vérité vivante à ses formes manifestées, qu'elles soient des symboles inanimés
    ou des personnes divinement inspirées, ou des institutions, qui, comme
    l'observait Emerson, sont souvent les ombres prolongées d'individus seuls, on
    se place soi-même au seuil de l'idolâtrie, qui est une forme de suicide
    spirituel.



     



    Les Frères Aînés ne supportent pas
    les organisations en tant que telles,
    sanctifiant l'une ou plusieurs à l'exclusion des autres. Ils ne jouent pas de
    favoris arbitraires. Leur génie se manifestera plutôt là où l'obéissance et les
    aptitudes de l'homme servent leur Grand Plan. Là où le mérite se reconnaît et
    les circonstances le garantissent, ils informeront et assisteront.



    Là où existe le cœur chaste, le désir
    intense et la préparation à connaître, leur influence sera trouvée, leur
    lumière occulte sera dirigée.



     



    Le Christ non plus n'œuvrait pas à
    travers la prêtrise de Son époque, mais à travers la sagesse de l'Esprit de Vie
    avisé, qui est à présent, par la vertu du sacrifice et de l'amour du Christ,
    disponible à tous les chercheurs dans le monde entier du plus profond de leur
    propre âme.



     



    Nous apportons ces observations devant
    vos yeux de l'esprit non pas pour contrarier les partisans d'une autre école
    ésotérique ou pour contredire quelque système métaphysique, mais pour
    encourager et soutenir tout chercheur sérieux de la divine sagesse et du
    Seigneur de l'Amour.



    La sagesse, la pénétration
    spirituelle, et le pouvoir nettoyé de l'égoïsme sont notre droit inné
    spirituel, non la  propriété spéciale du clergé, d'une fraternité occulte,
    ou de quelque groupe choisi. Seul le
    mérite compte
    . Et le mérite signifie que le paiement d'une vérité
    spirituelle et du pouvoir qu'elle confère est inconcevable—en fait, impossible.
    Car l'expiation du Christ a ouvert la porte de la réalisation spirituelle à
    quiconque le désire. Comment ceci peut-il être ? Parce que le mode d'accès pour
    la sagesse et le pouvoir est à présent une opération purement intérieure, non dépendante de quelque
    affiliation extérieure, et de quelque nomination séculaire, quelque cérémonie
    extérieure. L'initiation ne porte plus en elle de conditions organisées. Le
    Christ est présent et attend le cœur de chaque Ego, attendant sa bonne volonté.



     



    La contemplation de soi, la
    stagnation, et les attitudes cristallisées poursuivent rapidement
    l'étudiant  pensant que la sagesse de la vie a une fois pour toutes 
    été donnée, est un livre fermé, trouvé littéralement entre deux couvertures.
    Apprécions s'il vous plaît que rien  n'ait été formulé et n'a été rendu
    disponible sur le plan matériel, rien d'extérieur à lui-même, ne satisfaisait
    les besoins spirituels de Max Heindel. Il demandait une révélation plus pleine,
    plus directe. Notre recherche
    non plus ne doit pas s'arrêter à sesréponses.



     



    Alors que nous-mêmes pouvons
    dédaigner cette notion de vérité finalisée, cependant l'attitude de revenir à
    la sagesse déjà donnée en tant que seul déterminant pour nos actes et croyances
    est aussi tout évidente. Le choix des Frères Aînés pour Max Heindel ne nous
    délègue pas une faveur spéciale simplement parce que nous souscrivons aux idées
    qu'il a communiquées. Et aussi sûrement qu'une nouvelle bible sera écrite pour
    le Nouvel Age maintenant à l'horizon, ainsi des œuvres plus élaborées et
    intensives sur la science de l'esprit seront mises en avant.



    Dans les remarques de la préface de
    la Cosmo, l'auteur décrit son
    travail monumental comme un traité 'élémentaire'.  Alors que le désinvolte
    peut trouver la joie dans cette éventualité de pure iconoclasme, nous sommes à
    présent loin de prendre les enseignements donnés par les Frères Aînés par Max
    Heindel pour des lieux communs ou dépassés. Ils demeurent substantiellement en
    avance sur leur époque.



     



    Ce que nous prenons soin 
    d'accentuer est la qualité vitale qui rend la personne et des écrits de Max
    Heindel aussi dignes que  sont—l'honnêteté, l'humilité et l'ouverture avec
    lesquelles ils donnent de leur sagesse, rappelant à l'étudiant que l'esprit de
    libre recherche, l'absence de dogme, et l'aptitude à maintenir simultanément de
    multiples points de vue, dans une phrase, la culture de l'ouverture d'esprit,
    sont des attributs essentiels à l'aspirant spirituel.



     



    Peut-être même davantage que les
    enseignements eux-mêmes, valables autant qu'ils soient, est l'esprit dans et
    avec lequel ils sont donnés, qui respecte si profondément le libre arbitre
    individuel et sont respectés par la magnitude de la sagesse céleste qui
    s'exprime à travers l'homme et attend toujours sa plus grande compréhension.



    Aucune qualité ne va autant à
    l'encontre du sens général entier de la contribution de Max Heindel que le
    point de vue irréductible, l'arrogance intellectuelle, le cultisme, le déni de
    la pertinence d'idées nouvelles, et la résistance au changement.



     



    Si nous sommes honnêtes et fidèles à
    l'esprit dans lequel Max Heindel conduisit ses recherches et s'exprima
    lui-même, nous nous sentirons contraints à le suivre et à poursuivre sa quête
    du Logos, la Sophia, le sacré, la Sagesse cachée, utilisant comme clef notre
    intérêt pour notre prochain, qui nous pousse à être pleinement présent à chaque
    moment et à raffiner  de son grossier minerai l'or vivant, ce qui en dépit
    de toute fluctuation, a une valeur éternelle.



     



    Nous comprenons que les formes ne
    sont pas l'élément principal dans la fraternité (ce groupe contre ce groupe,
    cette idéologie contre celle-ci). Les formes
    spécifient, séparent et enferment. Nous cherchons plutôt une vie qui s'exprime à travers toutes
    formes, qu'elles soient sociales, culturelles ou religieuses. Nous avons
    témoigné de l'absurde conflit des credos qui prétendent être trouvés dans la
    conscience de Dieu (ou au moins sous la direction de Dieu) et de  l'amour
    fraternel et cependant ont déployé des armées pour prôner une lecture
    préférentielle d'un texte religieux ou simplement de soutenir avec récompenses
    et victoire  les élus de Dieu. La tolérance, la patience, la renonciation
    à soi, et l'honnêteté rigoureuse sont parmi les qualités essentielles associées
    avec un e ouverture d'esprit authentique.



     



    Les interprètes des Enseignements de
    la sagesse Occidentale sont souvent les membres les plus spécialisés
    individuellement de la société, plus dans leurs sois, plus mentaux. Ils peuvent
    requérir une poussée philosophique supplémentaire pour se réajuster  à une
    implication engagée et productive dans leur vie quotidienne. Ceci n'est pas
    nécessairement une cause de réjouissance. Les Enseignements sont en effet
    sublimes, mais leur besoin implique qu'un certain égoïsme doive être dépassé,
    indique qu'un certain isolement de l'expérience doit être établi.



     



    Plutôt que de nous vanter nous-mêmes
    de l'excellence des Enseignements qu'il estde notre privilège de connaître,  nous ferions bien de considérer la force et la pureté intérieures des nombreuses âmes qui ne requièrent pas de schémas cosmiques  pour marcher sur le sentier de la sainteté et de l'utilité; qui refusent à la souffrance personnelle et au bouleversement social d'affaiblir leur foi en Dieu, ou d'abattre une ombre sur la lumière de leur amour, ou de  diminuer leur optimisme. Ces personnes, dans un sens, connaissent déjà les Enseignements, car les Enseignements servent la fonction première de promouvoir une vie vécue dans l'harmonie et l'utilité optimales avec le processus cosmique. Car alors qu'un esprit actif peut certifier et soutenir, il peut également douter et renier; et le doute est le grand tueur de l'action et l'ennemi de  la communauté spirituelle. L'esprit peut raisonner pour l'amélioration. Il peut aussi rationaliser en

    status quo et paralyser. Mais nous sommes ici, sur ce plan
    matériel, pour agir, agir
    sagement, agir bien.



     



    La Philosophie Rosicrucienne nous
    encourage à penser pour notre soi. Nous n'étouffons pas nos compagnons avec des
    restrictions et des prohibitions mais dans une atmosphère d'amour impersonnel,
    nous soutenons la faculté  individuellepour la détermination du bon et du vrai. Comme nous rejetterions  les limites imposées sur nos propres activités mentales, ainsi nous sommes disposés à respecter l'autonomie des autres. Cependant nous nous efforçons d'être toujours prêts à aider lorsque cela semble approprié



     



    Cette non-participation dans le choix
    personnel d'un autre est difficile à développer, car nous sentons souvent le
    désir de joindre l'autre à notrevérité personnelle, pour le persuader de
    notrecourant d'action préféré, ou pour le prévenir que ce que
    nous pensons lui apportera tort ou
    bienfait. Ainsi en effet nous sèmerions, sarclerions et même récolterions son
    jardin psychique et mental pour lui. Habituellement, nous devons simplement
    permettre à nos amis de conduire leur vie comme ils l'estiment convenable, les
    entourant de la lumière de notre intérêt véritable et les libérant par la force
    de nos pensées positives.



     



    L'esprit entier doit œuvrer largement
    au-delà du contexte de la pensée routinière du monde, qui a typiquement sa
    référence et son application aux objets des sens de perception, au monde des formes
    matérielles. L'esprit qui est vraiment ouvert doit et admettra les révélations
    appartenant aux mondes invisibles, et dans cette sphère il n'y a pas d'exemple
    plus subtil que la foi, la vérité et la naïveté manifestées par l'enfant.
    "Quiconque ne recevra pas le Royaume de Dieu comme un enfant ne pourra y
    entrer".



    Il n'y a rien de plus remarquable au
    sujet d'un enfant que l'impressionnabilité de son esprit, qui le rend si aisé à
    instruire, et l'élève qui s'efforce de vivre la vie supérieure devrait tendre à
    maintenir son esprit dans cet état fluide, car aussitôt que nos idées
    deviennent établies et incapables de changement, notre progrès cesse.



     



    Lorsque quelque chose de nouveau est
    présenté à lui, la réponse mentale typique de l'adulte est habituellement
    nuancée de scepticisme. Il craint d'être déçu et d'avoir à changer ses
    conceptions de base. Le petit enfant n'a pas le sens écrasant de sa propre
    connaissance supérieure, et se caractérise plutôt par une complète ouverture,
    par un assentiment spontané et immédiat à la relation, par une ardeur à
    expérimenter le moment présent dans sa plénitude, acceptant tout. Comme
    l'enfant est le père de l'homme, ainsi puisse l'enfant immortel en nous être le
    maître de notre homme mortel extérieur.



    Le grand maître, la vie elle-même,
    est toujours prête à nous instruire à travers l'événement quotidien et
    immédiat, le maintenantfondamental. L'ouverture d'esprit décrit la conscience alerte, équilibrée, patiente, centrée, éveillée à la vérité que la divinité est toujours présente et cherche notre présence d'esprit pour pouvoir nous manifester la lumière et l'amour à travers les myriades de formes et de fréquences de l'événement quotidien



     



    L'ouverture d'esprit, laissée à
    elle-même, tend toujours à fermer, à mesurer, tout comme la forme physique,
    réagissant à  son début, tend graduellement vers la stase et la fixité, à
    moins que des énergies nouvelles ne soient introduites pour retenir la flexibilité.
    Par conséquent, l'esprit maintenuouvert doit sa vigueur juvénile à la volonté exercée consciemment.



     



    La polarité exotérique-ésotérique
    suspend la présence ou l'absence de l'ouverture d'esprit éclairée : L'exotérique décrit toujours la
    tradition, la forme orthodoxe, la pourvoyeuse. Toutes les religions,
    Christianisme inclus, sont exotériques en nature. Elles consistent en
    enseignements et liturgies destinées à mener le chercheur, le pèlerin, dans les
    maisons de culte communal et puis plus tard dans l'église ou le temple de son
    propre être intérieur. Elles le dirigent vers  l'autel de son Soi intime.
    A ce point, cependant, elles le laissent et c'est de ce point que l'aspirant
    cherche à communier avec le Dieu vivant, à participer à la Vie une et à la Vérité
    dont la Réalité est partout et à toutes les époques Une. L'ouverture d'esprit
    voyage sur les grandes routes de l'enseignement exotérique, refusant de
    s'arrêter et de faire commerce avec l'une ou l'autre organisation, ou d'adopter
    une conception de  rituel particulier comme un point final de recherche.



     



    L'aspirant découvre éventuellement
    que toutes les méthodes religieuses, disciplines et systèmes  sont dirigés
    vers un but commun, le même capitole spirituel de multiples déserts qu'il doit
    lui-même traverser—à travers la tempête sauvage des passions, les ténèbres
    profondes du doute métaphysique, et la fausse brillance de l'égoïsme
    intellectuel—les convolutions apparemment sans fin de la rivière de la
    conscience personnelle.



     



    L'Exotérique définit ce qui est extérieurement 
    transmissible. L'Esotérique  pointe
    vers cette Source commune inviolable encore à l'intérieur de chacun de nous,
    cette Shekinah à l'intérieur du Saint des Saints, où la Vie Une de nous tous,
    la Lumière du monde, la Lumière qui éclaire chaque homme, l'intelligence
    suprême, avant toute forme, existe toujours.



    En accentuant la confiance en soi et
    la priorité de notre Etre Intérieur en déterminant la vérité, la Philosophie
    Rosicrucienne s'étend aussi loin vers l'ésotérique véritable et vital que tout
    système formulable de développement spirituel peut le faire, et l'appel est
    spécialement dirigé vers l'esprit. Nous faisons bien de nous souvenir de
    l'admonition de maintenir l'esprit dans une condition équilibrée et de bonne
    volonté calme et élevée, même si nous dédions quotidiennement notre personnes
    extérieure au service du monde et l'amenons devant l'autel le plus Saint.



     



    Chaque jour nous renouvelons nos
    efforts pour construire et être dans l'esprit du Christ, l'esprit entier,
    l'esprit ésotérique, l'esprit de l'humanité telle qu'elle existe en tant
    qu'archétype vibrant.



    Nous ôtons les écorces des
    enseignements partiels ou paroissiaux et convergeons vers des vérités
    germinales, des réalités proverbiales, tout comme les coquilles doivent être dépouillées
    pour exposer le germe vital, le centre de vie.



     



    Avec Dane Rudhyar nous
    réalisons  qu'il peut y avoir ici une seule doctrine ésotérique, tout
    comme il ne peut y avoir qu'un Christ, bien que beaucoup viennent en Son nom.
    Citant Rudhyar, "Toute tradition, qu'elle soit occulte, religieuse, ou
    socioculturelle, ne peut seulement être qu'exotérique…La tradition ésotérique
    seule est une tradition qui ne peut être enseignée et qui n'implique pas de
    technique ou approche particulière. Ceci n'est pas un réductionnisme
    philosophique—simplement une déclaration des limitations des formes verbales en
    ce qui concerne l'expérience de Dieu ou de la Vérité".



     



    Ce que nous pouvons appeler
    proto-ésotérique suggère que ce qui est vécu,
    insiste sur ce qui fait son apparence dans le vêtement du présent éphémère mais
    s'élève dans l'éternel Présent. Génériquement,  l'esprit naît d'une
    identité avec Une Vérité, l'Etre Tout Dieu, dont il s'éveille lentement, comme
    d'un rêve extatique, dans la conscience matérielle. Nous pouvons élargit la
    signification de deux termes utilisés en logique pour esquisser la carrière
    spirituelle de l'homme.



    La déduction décrit une démarche de destruction  du Un dans la
    diversité, une dispersion  de la Vie une en de nombreuse formes. 
    L'itinéraire de l'homme décrit à présent un processus inductif pour atteindre une condition première de spiritualité,
    mais une condition ennoblie à travers la Conscience de Soi. Il œuvre du
    pluralisme du don concret vers la réunion avec son Origine dans la Vie Une existant
    avant toutes autres formes.



     



    La bénédiction d'une ouverture
    d'esprit réside dans son aptitude à appliquer le stéthoscope de la conscience
    spiritualisée sur le présent profond, plus central en ce moment que la pensée
    la plus sublimement articulée ou la plus subtile émotion. Plus élevée l'esprit
    conçoit et reçoit la pensée, plus claire et brillante devient la lumière de sa
    connaissance, plus vide de soi personnel devient le calice de sa conscience, et
    plus qualifié est l'homme d'expérimenter la Présence vivante dans la sainte
    Communion.



     



    Dans le processus de retour vers le
    Royaume de l'Esprit, la vertu de la vérité essence existant dans toutes les
    religions du monde est ratifiée, car elles sont vues comme rayonnant de la même
    Source divine. L'ouverture d'esprit devient une Alexandrie d'information sur
    les religions du monde et la connaissance occulte. Mais cet exposition 
    organisée, le rassemblement et l'activité synthétique de l'esprit, constitue
    une phase relativement précoce dans sa mission générale. Eventuellement elle se
    conforme et confirme son foyer aux conditions de son  champ de conscience
    immédiat et avec un amour croissant, de la patience et l'éveil, elle vit dans
    le présent conscient avec la foi présumée qu'en elle la divinité a sa résidence
    et que par là même la gloire de la vérité vivante coule dans le cœur et
    l'esprit ouverts  de celui qui est prêt à la recevoir.




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  •  Chacun veut ce succès, mais le succès signifie quelque chose de différent pour chacun. Certains critères généraux acceptés à différentes époques changent avec notre évolution.  



            
    Dans l'ancienne Lémurie, les plus précoces étaient instruits en science physique, les arts et métiers. Cet enseignement a fleuri dans notre civilisation occidentale. Tout d'abord au temps où nous étions des Esprits libres non entravés par le temps et l'espace. Mais lorsque l'Ego entra dans le corps dense et devint son esprit intérieur, nous fûmes emprisonnés. A travers la période Atlantéenne entière, et une grande partie de la Période Aryenne cela prenait des mois pour voyager comparativement aux courtes distances sur la surface de la terre. Maintenant (1912), nous avons pratiquement conquis l'espace en maîtrisant les forces de la nature ; le télégraphe, par exemple, a presque annihilé l'espace et le temps.
     



      



    Dans ces âges passés il y avait un critère de succès différent du critère actuel, et dans le futur il y aura encore un nouveau.  



    Alors qu'il est vrai que l'industrie n'a jamais été avant portée à une si grande échelle qu'à ce jour, il est aussi généralement admis que les plus idéales conditions des temps médiévaux ont été sacrifiées, car l'artisan forgeait pour la pure joie de créer. Comme le héros de l'Etrange Histoire, de Bulwer, dont le travail était de soigner, et pour qui les honoraires étaient seulement accessoires, il travaillait non seulement pour le salaire,  mais
    dans chaque pièce de travail, il infusait quelque chose de sa propre individualité, c'était une partie de lui-même. Il travaillait de nombreuses heures, mais il ne geignait jamais car le jour coulait comme son chant joyeux rivalisait avec le chant du marteau sur l'enclume ou son sifflement voyait se noyer le sifflement de sa scie ou de sa lime. Il ne tenait pas compte du temps qu'il prenait pour accomplir sa tâche. Son unique souci était qu'une fois fini, son travail devait être bien fait. Par conséquent, les œuvres d'un maître de tout métier étaient justement admirées par ses concitoyens et étaient objets d'émulation pour les journaliers et les apprentis. Ils atteignaient un critère d'excellence qui appelle encore notre admiration à ce jour.
     



            
     



    Aujourd'hui nous nous sommes égarés loin de ce critère de succès du vieux  temps, c'est à dire  capacité créative et avons établi un nouveau standard—capacité accumulative. Nous avons grandi pour mépriser l'artisan et flatter l'homme qui fabrique un million en un jour en accaparant l'approvisionnement alimentaire du monde. Et l'artisan est devenu fou avec la même maladie ; il ne prend plus soin de son travail ; il le considère comme une affliction. Il travaille pour l'argent et contre le temps et est aussi misérable dans cette voir qu'un homme sont les richesses tiennent dans la balance sur le crédit d'un échange de
    stock. Il hait le riche, le riche le hait ; et tous deux regardent soit en pitié ou méprisent les artistes et inventeurs idéalistes qui travailleront encore longtemps pour l'amour et sans égard pour l'argent.
     



      



    Ainsi il est évident que le critère actuel de succès n'est pas satisfaisant. Il st aussi évident que nous ne pouvons revenir aux anciennes conditions, ainsi la question à résoudre pour le monde est : Dans quelle voie peut on atteindre le succès permanent ? Lorsque nous avons trouvé un nouveau et meilleur critère de succès et commencé à le vivre, alors il y aura un nouvel âge. Le Christ établit un standard de grandeur pour le nouvel âge lorsqu'il dit "Celui qui est le plus grand d'entre vous soit le Serviteur de tous," et en cette époque les hommes lutterons avec chaque autre pour être au service comme ils cherchent maintenant à rivaliser  avec l'autre pour l'acquisition des richesses. C'est par conséquent la raison pour laquelle ce principe de service a été considéré le point crucial du rituel utilisé par la Fraternité Rosicrucienne, car si nous aspirons à être les pionniers d'un ordre plus élevé des choses, nous devons nous mettre à pratiquer les principes essentiels dans quelque mesure au moins.       



    C'est un fait bien connu de nous tous, qu'en toute ligne de comportement nous devons avoir de l'expérience avant de pouvoir servir. Il est par conséquent une question pertinente à poser, quelles qualifications sont nécessaires pour être au service de nos compagnons ?  



    En premier lieu réalisons que cela n'est pas nécessaire pour nous d'aller très loin  chercher qui nous pouvons servir parmi les étrangers. Toute notre recherche sera vaine jusqu'à ce que nous ayons fait le devoir à portée de main.
     



      



    Ne gaspillons pas notre temps dans l'envie de brillants et lointains mondes à conquérir. Notre travail est là où nous sommes. Si nous pouvons aider à rendre les hommes meilleurs, les hommes rendront les conditions meilleures. Pour ce dessein, considérons les outils avec lesquels nous devons travailler—notre corps triples. Certains corps, comme les outils, doivent être  "aiguisés" par le soin que nous leur donnons. Le corps dense est fait de substance  chimique et sa note dominante est inertie. Le corps vital est  fait d'éther chimique, et sa note dominante est rythme. Le corps désir est fait de substance désir et sa note dominante est (é) motion. Pour surmonter l'inertie du corps dense nous devrions chercher à le spiritualiser, pour le construire dans le meilleur et plus léger matériau. En vérité, ce n'est pas ce qui entre dans la bouche qui souille, mais l'état d'esprit qui demande des nourritures grossières, souille.  



            
    Pour accentuer le rythme du corps vital nous devrions utiliser le principe de répétition—prier sans cesse. Ceci est la vérité après l'Affirmation de la Pensée Nouvelle.
     



            
    Alors vient le corps du désir, l'entrepôt de l'énergie qui bouge dans le monde. Lorsqu'elle échappe au contrôle c'est le caractère, destructif souvent au-delà de la mesure. Nous ne devons pas éliminer le caractère, de toute manière, mais le transmuer et diriger son énergie en effort qui valent la peine.
     



            
    Nous voyons le monde à travers notre atmosphère qui colore tout ce que nous voyons. Si nos voisins semblent petits et mesquins voyons s'il n'y a pas quelque mesquinerie en nous, et sur le principe du diapason le mal en nous a fait sortir le mal correspondant en eux.
     



            
    Ceci est le vrai secret de notre succès ou de notre échec dans la vie—nous obtenons ce que nous donnons.
     



            
    L'homme qui est petit et avare appelle ces mêmes traits chez les autres. Il pense que lui-même est abusé et le monde entier mesquin alors qu'il est celui qui a fauté. D'un autre côté l'homme au tempérament ensoleillé regarde à travers son aura de soleil et de joie ; il irradie de gaieté et la provoque en chacun de ceux qu'il rencontre ; ainsi il est une source de joie et de bonne
    volonté, un facteur exaltant dans les Mondes. Le corps désir peut être purifié et le caractère ensoleillé cultivé. Ne critiquons pas et ne trouvons pas les fautes, n'ayons ni souci, ni peur. Estimons nos bénédictions et soyons reconnaissants et ainsi nous les augmenterons.
     



            
     



    Nos vies sont dans nos propres mains ; nous pouvons faire d'elles ce que nous voulons. Mais le moyen pour commencer est de s'efforcer de ne jamais laisser passer un jour dans lequel nous n'avons pas fait quelque chose pour quelqu'un et comme nous faisons ceci nous trouverons que nos opportunités de service croîtront ; ainsi fera notre capacité, et nos vies seront un succès  



    Donc nous pouvons dire que la vie réussie est une vie de service à tous et dans la mesure où nous vivons en accord avec ce critère nous vivons une vie réussie.




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  • Lorsque, dans
    le cours de son développement, l'homme s'éveille d'un rêve d'une  vie
    inconsciente et sans question et commence à exercer sa faculté de
    raisonnement—observant, se souvenant, et discernant—sa relation au monde
    sensible perd sa naïve simplicité. Il devient conscient  de ce qui doit
    être mis en doute.



     



    Les deux
    derniers millénaires de l'existence de l'homme Occidental ont été chargés de
    confusions de semi-vérités, ont témoigné d'une volonté croissance humaine de
    savoir, accompagné d'une frustration grandissante de cette volonté. Le mental
    chercheur contemporain demande dans tout son sérieux, "Y a t-il une base
    inébranlable pour la certitude dont je puisse me faire certains jugements sur
    la vie, son but et sa signification ? Y a t-il un endroit où je puisse me tenir
    et être capable d'expérimenter : Ceci  est vrai"?



     



    Cette
    question n'a pas encore eu de réponse. A une époque, les conditions
    d'expérience de l'homme n'occasionnaient pas le doute dans un sens de
    séparation. Les dieux autrefois illuminaient perceptiblement les éthers de la
    conscience de l'homme. Pour une période, les Etres Célestes étaient vus
    habitant la sphère céleste de la Terre et  le Cosmos était expérimenté
    comme le foyer de l'homme. Que pouvons-nous dire sur cette question que l'homme
    est poussé à poser ? Que signifie t-elle ? Que l'homme se sent lui-même être
    incomplet; en outre, qu'il cherche à confirmer profondément en lui-même quelque
    chose qu'il n'apporte pas de monde de son expérience des sens.



     



    Au
    commencement, l'homme interprétait son spirituel comme  procédant d'un
    désir inaccompli de posséder le monde et d'expérimenter ses multiples délices.
    Mais l'expérience sensuelle n'apaisait pas ce désir, car sa dimension
    réside  au-delà du royaume de l'âme. Au contraire, le monde 
    l'expérience matérielle  tend à aggraver le sentiment  d'isolation de
    l'Esprit : Ce que nous ressentons, n'est  pas finalement, ce que nous
    cherchons.



     



    L'homme
    devait d'abord s'embarquer sur le terrain plat de la conscience de sa carte
    locale. Il se perdit lui-même par delà l'horizon de familiarité et traça le
    cercle de la véritable forme de la Terre, revenant là où il avait débuté,
    enthousiasmé par la découverte de la rondeur de la Terre; mais à son cœur ce
    besoin  de connaître était plus pressant qu'auparavant. Cette figure
    illustre un modèle Tantaléen  que l'homme renforce dans un cadre purement
    matériel lorsqu'il cherche, de son monde sensible, des réponses à une
    hésitation intérieure, pour une condition de l'Esprit. Il trace des cercles
    l'enfermant lui-même. Dans cette démarche, il a l'impression de se rapprocher
    d'une réponse. Il a le sentiment intime d'atteindre son but. Mais il se trouve
    éventuellement en arrière, au point de départ, avancé matériellement,
    peut-être, mais non plus sage spirituellement.



    Le
    questionneur, le chercheur, est rejeté sur lui-même, encore et encore. Son
    identité consciente étant circonscrite par la sphère physique, réduite à la
    disposition de ses formes extérieures, l'homme est conduit vers un mode
    différent de pensée pour déterminer la raison de son existence—et la raison
    pour laquelle il est un étranger dans le monde.



     



    La véritable
    activité de pensée nous dit que la raison et l'intelligence rendent réellement
    possible notre dilemme; que si le Soi, par un acte de l'esprit, ne n'abstrayait
    pas lui-même de l'expérience immédiate, aucun dilemme n'existerait. Mais
    l'esprit peut aussi découvrir les réalités en dessous de l'existence
    sensorielle, parce qu'il a été créé pour les découvrir. L'usage correct du
    mental est théodique : elle démontre  et affirme l'existence et la
    bienveillance de Dieu  face aux ténèbres et au mal apparent.  Par conséquent,
    la devise de Socrate : La vie non vérifiée n'est pas digne d'être vivante. Ou,
    re phrasé, celui qui est ignorant de son identité spirituelle, son identité en
    tant qu'Esprit, n'est pas véritablement vivant.



     



    A travers
    cette compréhension préliminaire que sa souffrance résulte de sa séparation
    d'avec la conscience divine, l'homme réalise que son doute et son angoisse ne
    sont pas uniquement siennes, que c'est la condition commune de l'humanité
    déchue, et que c'est une bénédiction déguisée. Car si notre circonstance actuelle
    était considérée  adéquate, nous ne devrions pas nous soucier d'être
    conscients des réalités spirituelles. L'insatisfaction humaine est un mécontentement divin, qui devient non seulement une impulsion, mais éveille en
    spécialisant des organes  la perception des mondes des plans intérieurs.



    C'est
    particulièrement la croissance de ses pouvoirs mentaux, le besoin croissant de
    justifier l'expérience de façon rationnelle,  de pénétrer le contenu de sa
    conscience par la pensée, qui pose à l'homme ses problèmes et simultanément lui
    maintient sa promesse. Cette situation  décrit la véritable condition pour
    laquelle la Philosophie Rosicrucienne fut formulée et propulsée sur le plan
    matériel—pour qu'elle puisse fournir à l'homme de raisonnables encouragements
    pour ses croyances religieuses et une conduite morale pour laquelle,
    auparavant, l'autorité ecclésiastique et une foi vigoureuse seules suffisaient.
    L'homme a besoin de façon croissante de connaître la raison de sa foi. Moins
    facilement peut-il se donner lui-même déclamer un credo qui ne résonne pas dans
    son âme, ou de décréter des rituels dont la valeur en tant que symboles vivants
    est perdue  à la compréhension de son âme.



    L'antidote à
    l'amnésie contemporaine est un rappel au cœur des vérités spirituelles. Ce que
    les religions orthodoxes apportent au praticien superficiel sont des formes
    virtuellement dépourvues de leur vie véritable et signification originales.
    C'est la voie de toute cérémonie et l'expression machinale qui n'est pas
    continuellement embrasée par l'étincelle de l'inspiration vivante.



    L'homme peut
    approcher le besoin pour la régénération  de la dimension religieuse 
    des deux directions, qui convergent comme une et même activité : Il peut faire
    ressortir l'approche historique, lisant profondément dans les systèmes, visions
    et sémantiques de ses prédécesseurs sur les résumés des vies de saints, glanant
    la sagesse des sages et s'inspirant de la pénétration créative des poètes. De
    ces rares minerais creusés de l'expérience d'âmes exceptionnelles, l'étudiant
    de la connaissance supérieure peut préparer dans le creuset de l'action, par
    une méditation persistante  enflammée par son aspiration spirituelle, une
    substance vitale qu'il est finalement lui-même, devenir ce qu'il cherchait en dehors
    de lui-même dans les paroles et les voies des autres.



     



    Une seconde
    approche  à la renaissance spirituelle, la méthode existentielle ou de
    première main, accentue la valeur de l'expérience immédiate  comme la
    source de ce qu l'on cherche. Le siècle passé a été témoin de l'impatience de
    l'homme individuel avec une éducation formelle, des précédents autoritaires, et
    des priorités historiques. L'impulsion du Verseau avance toujours davantage
    fortement  l'intuition qui peut pénétrer à travers le brouillard de la
    confusion intellectuelle et de l'agnosticisme de la pensée tiède aux réalités
    qui affirment son but et l'instrumentalité dans la création, qui confirment
    expérimentalement  la vérité impliquée dans le point de vue géocentrique
    ou Ptolémaïque du Cosmos : l'humanité est le point focal des efforts de
    myriades d'Etres célestes et de processus cosmiques.



     



    Lorsque
    l'homme emploie sa faculté de pensée seulement pour asservir sa perception des
    sens, il abaisse son statut de Fils de Dieu et devient, en effet, une émission
    du monde minéral. Ses pensées et sentiments, sa vie intérieure entière, sont
    pratiquement hors phase de l'existence, étant uniquement autant une réalité
    que  des ombres  vagues chassées par la lumière au mouvement des
    objets physiques.



     



    D'un autre
    côté, lorsque l'homme emploie ses pouvoirs de pensée pour condenser des
    intuitions élaborées, traduire des images descendant des plans intérieurs, même
    lorsque les perceptions des sens donnent l'évidence du monde matériel, alors
    l'homme est autorisé à élever sa conscience au-dessus d'une stricte
    identification avec le monde physique. Il est béni par la conscience qu'un
    changement de l'attitude commune est correcte—que la vie intérieure des pensées
    et des sentiments est plutôt l'origine de ce que nos sens nous envoient de
    l'espace.



    Plutôt les
    objets matériels prennent  quelque chose de la qualité des ombres,
    phénomènes secondaires, un changement multiple de l'authentique et exacte
    vérité.



     



    La naissance
    du mental dans son rôle correct en tant qu'accoucheuse de réalités spirituelles
    rachète l'homme de l'oppression de la matière. Il découvre qu'il peut 
    être transformé par le renouvellement de son esprit. L'esprit est omnipotent
    pour déterminer pour l'homme exactement ce qu'il cherche. Correctement utilisé,
    utilisé comme un sacrement, l'esprit peut  donner une vie nouvelle et une
    plus grande impulsion à la capacité d'amour. Le mental peut protéger et exalter
    les fonctions du cœur  en tant que récepteur spirituel de l’impulsion de
    la Loi Cosmique, en transmettant et traduisant cette impulsion comme verbe et
    acte pour l’amélioration humaine.



     



    Sommes-nous
    un peu plus près de la réponse à notre question initiale ? Y a t-il
    quelque chose qui puisse amener un homme à découvrir, par la force de ses
    propres facultés, en lesquelles il peut donner tout son accord, étant si
    essentiel au fait ou à l'acte de conscience  que sa réalité se tienne
    au-dessus de ce que de toute évidence le mental lui-même puisse régler pour
    approuver ou désapprouver ? 



    A nouveau,
    pourquoi posons-nous même une telle question ? Parce qu'elle se pose à nous.
    C'est déjà cela. La question nous demande  de la suivre jusqu'à son
    origine. C'est donné par Dieu. Dieu en Christ, notre Réponse incarnée, dit,
    "Ici JE SUIS. Venez à moi, connaissez-Moi". En guise d'incertitude,
    notre question fixe pour nous un fil de lumière que nous devons suivre hors du
    labyrinthe souterrain de la pensée qui est limité aux perceptions des sens. Ce
    fil de lumière est un Fil de Vie qui tombe dans la conscience matérielle de
    chacun de nous par notre propre Soi immortel, notre Soi-Esprit, qui nous pousse
    à tenir bon et grimper jusqu'à la Source de lumière. Notre âme est pêchée par
    notre Ego éternel, tout comme Pierre à travers la sagesse spirituelle
    (institutionnalisée par l'Eglise Catholique) fut chargée de devenir pêcheur
    d'âmes humaines.



    Dans notre
    inextinguible désir de connaître, d'être ce qu'au fond de nos cœurs nous
    sentons être nous-mêmes, nous devenons si avides de nourriture spirituelle,
    pour ce Pain Vivant, que nous saisissons la substance  des 
    impressions de nos sens  et perçons à travers elle l'âme de son
    intériorité et découvrons que l'image qu'elle nous donne en tant que forme
    matérielle est simplement  une fenêtre  vers une vie intérieure, un
    monde physique désignant un monde métaphysique, une porte entrant sur une
    réalité d'un ordre différent, créant en nous, par la construction de notre
    amour pour lui, des organes supérieurs de connaissance et de vision.



     



    Une critique
    devrait rappeler à notre attention le vague mode de  délivrance de notre
    captivité matérielle, nous pourrions citer la table de vibrations, hautement
    suggestive, apparaissant dans La
    Cosmogonie Rosicrucienne
    de Max Heindel. Ce diagramme rend
    merveilleusement claire que la  manifestation de 'existence est une
    fonction d'énergie croissante mesurée par la fréquence de la vitesse vibratoire
    de la substance racine éthérique—ainsi le son, la lumière et les Rayons X sont
    isomorphes sur la même matière de base.



     



    Par analogie,
    autant la soif de désir de connaître la vie progresse, autant le besoin
    impérieux de voir la lumière s'accroît, l'aptitude à discerner la vie et la
    lumière croissant proportionnellement, ou plutôt, géométriquement. De
    façon  phylogénétique, le désir de voir la lumière a construit l'œil pour
    recevoir cette lumière. De la même façon, le désir de voir la lumière de la
    raison  de l'existence  construit l'œil intérieur qui perçoit les
    prototypes spirituels du monde visible. Nous ne décrivons pas  un souhait
    tiède d'avoir une solution occasionnelle temporaire à un problème terrestre.
    L'homme doit brûler d'un feu de désir qui incinère les ingrédients personnels
    en lui, dessèche le petit soi et affaiblit l'élément permanent en son être. Ce
    résidu irréductible et pur peut alors porter une plus lourde charge, peut
    s'enflammer avec le feu central de volonté de connaître, puis avec l'aptitude à
    connaître, et finalement avec la réalité radiante de la connaissance elle-même.



     



    Notre désir
    de connaître est une impulsion sacrée qui une propriété pénétrant tout par la
    vertu de sa grande pureté et de son intensité. C'est une nécessité pour la
    naissance et la montée de la lumière. L'homme apporte sa douleur et sa
    souffrance, son angoisse du doute, à l'autel de son sanctuaire intérieur, à ce
    lieu intime en lui au-delà duquel il ne peut aller. Là il  offre, du mieux
    qu'il peut, l'essence de ses actes et désirs; il fait de sa vie un cadeau, sous
    la forme d'une prière sans forme : Ici je donne mes doutes et mes souffrances
    dans la forme la plus sainte que je puisse accomplir pour elles. Accepte les
    pour allumer Ton feu  afin de m'éclairer dans l'établissement de la
    compréhension de Tes voies.



     



    Qu'il lise un
    livre ou non, le chercheur de Lumière, suffisamment attentif à la découverte, découvrira, sera éclairé. La Lumière et la Vérité le trouveront puisqu'il
    permet à sa quête d'être encouragée et sanctifiée par la foi et l'amour.
    L'amour, parmi ses autres pouvoirs sans nombre, rend l'aspirant pleinement
    capable de tolérer la tension de l'existence dans les ténèbres puisqu'il a la
    parfaite assurance que toute lumière et toute sagesse œuvrent maintenant en
    lui. L'amour transforme la quête potentiellement inhumaine  pour la
    connaissance en une conscience qui vit la vérité.



     



    Ici nous nous
    tenons sur le seuil du plus grand mystère dans l'existence et le devenir de
    l'homme—le  mystère du
    monde. Lorsque l'homme tisse les impulsions spirituelles s'élevant de son cœur,
    de son esprit et de son âme dabs les perceptions qui composent  la
    structure de son expérience quotidienne, lorsque, avec la compassion
    spiritualisée de son désespoir, de ses pertes, et de ses blessures, il lit
    sagement dans le Livre de la Vie, il unit le germe de l'idée mentale avec le
    corps de vie de l'amour : l'idée s'incarne. L'homme contacte dans sa propre
    Personne élevée, le mystère de l'incarnation de la Divinité. Il incarne 
    la réalité d'un Acte accompli pour toute l'humanité par l'Esprit du Soleil qui
    prend forme humaine afin que l'homme individuel puisse ensuite prendre
    consciemment forme divine.



     



    La divinité
    est la source de la mortalité de l'homme. "Homme" et
    "Mortel" sont synonymes seulement pour le matérialiste. Car l'homme,
    pour réaliser pleinement son potentiel humain, doit devenir sujet  aux
    deux formes de mort : l'une, mort au monde supérieur pour  l'incarnation
    physique. La deuxième, mort au plan physique pour quitter son corps matériel
    dense. La divinité de l'homme est consciemment réalisée à travers le sabre et
    les forces de la mort.



    Le cadeau
    cosmique accordé à l'homme par le Christ à travers Jésus était et est le
    pouvoir  d'établir un contact avec la Lumière-Christ en tant que membre
    spirituel ou faculté d'individualité croissante de l'homme. Depuis le Golgotha,
    l'homme peut, sous son propre pouvoir, s'éveiller à sa nature spirituelle, peut
    vivre consciemment à l'extérieur d'un corps matériel dense, peut expérimenter
    la vie au-delà de la tombe.



     



    Un renvoi
    courant de la réalité du Christ, la Présence du Christ, peut être fait sur les
    fondements par lesquels la réalité  des dieux classiques est rejetée.
    Cette opinion est que l'homme peut seulement avoir la connaissance de lui-même
    et que son besoin d'existences supra physiques a simplement pour objet une
    forme de pensée dépendante. L'anthropomorphisme, Dieu fait dans l'image de
    l'homme, va exactement à l'encontre, même du récit traditionnel de la création
    donné dans la Genèse où les Elohim (Dieu) sont décrits comme créant l'homme à Leur  image.



    Le solipsiste
    préférerait cependant la notion irraisonnable que l' le phénomène délicat et
    insondable qu'est l'homme physique prenne son origine bon gré mal gré  des
    combinaisons fortuites d'atomes plutôt que de prendre forme selon des
    archétypes Cosmiques pré-existants et par des processus d'esprits
    intermédiaires.



     



    Comme la
    conception d'un univers centré sur l'homme exclusivement est une illusion
    trompeuse des êtres Lucifériens, ainsi l'idée d'un univers strictement matériel
    est un voile jeté  par d'autres Pouvoirs spirituels dont le propre
    développement est servi par la l'homme tentant de regarder uniquement le monde
    physique comme seule réalité.



     



    Dans son
    Odyssée spirituelle, l'homme en recherche de réponses ultimes doit orienter sa
    course entre ces périls jumeaux de l'égoïsme et du matérialisme, qui résident à
    la racine de ses tribulations. S'il existe exclusivement pour lui-même, il est
    contre lui-même. S'il ne croit que ce qu'il voit, il est un non-croyant et
    s'illusionne sur lui-même. Cependant, curieusement, les forces qui
    renverseraient sa course spirituelle assistent véritablement l'homme,  à
    travers une sagesse qui naît de l'erreur et de la souffrance, en réalisant
    consciemment son Soi supérieur.



     



    Par delà des
    époques d'expérimentation et d'erreurs, l'homme découvre que la véritable paix
    du mental et la liberté de l'esprit  s'accomplissent  seulement en
    vivant pour le tout, pour l'unité.



    Quoiqu'il
    exclue de sa conscience, provoque chez l'homme, à ce point, une diminution de
    lui-même. Son âme ressent l'absence et il ne peut développer de sécurité
    spirituelle jusqu'à ce qu'il cesse de protéger son sens du moi et d'arrêter de
    respecter  ses préférences personnelles à l'exclusion des besoins généraux
    et de l'harmonie totale. L'homme en recherche découvre que Dieu ne joue pas de
    favoritisme, et que ses meilleurs intérêts sont servis  par l'émulation de
    cet exemple divin. Le soleil de sa conscience spirituelle bourgeonnante ne
    brille pas pour un  et se couche  ou s'éclipse pour un autre. Il
    apprend à vivre indépendamment des mutabilités des apparences extérieures. Sa
    conscience est enracinée dans une certitude intérieure, dans son éternelle
    nature-Soleil, dont la personnification est  Jésus Christ  en
    l'homme. Connaître la réponse, pour venir à une vérité solide absolue, un fait
    d'existence expérimenté non affecté par les variations du temps et de l'espace,
    est  aussi sûrement que le Soleil brille, venir en connaissance de cause à
    l'intérieur de l'aura de la réalité du Christ. Il découvrira que  pour
    lui-même ce dont témoignent  le Nouveau Testament  et autres libres
    sans nombre—qu'en Dieu qui est manifesté à travers Jésus Christ nous vivons et
    nous mouvons et avons notre existence. Le contenu de ces livres est, après
    tout, une expression de la pensée et de l'intuition humaines, dont les sources
    proviennent  d'en haut et pénètrent l'humanité et sa terre plus
    complètement que l'air le corps de l'homme ou la lumière l'atmosphère.  Il
    doit être sevré d'une dépendance sur le plan matériel, maternel.



     



    Pour que
    l'homme vient au Christ, il doit  se détourner de sa partie égoïste et
    adapter son existence à ce que Dieu veut pour lui, qui est de reconnaître son
    patrimoine spirituel en tant que fils/fille de Dieu.



     



    A celui qui
    coudrait aller seul il dirait, "Splendide. Tout le plus grand 
    pouvoir". La confiance en soi est une vertu cardinale et nécessaire à
    l'aspirant spirituel.




    votre commentaire


  • Parmi les
    nombreux symboles cosmiques que nous avons ramenés de l ‘Antiquité, aucun
    n’est plus commun que le symbole de l’œuf.  Soigneusement caché dans ce
    symbole se trouve le mystère entier de l’origine et la destinée du monde et de
    l’homme. L’œuf symbolise le Cosmos dans sa conception la plus abstraite du plus
    intime état de l’existence, antérieur aux périodes et suites d’involution et
    d’évolution. Il enseigne que bien que la vie soit capable de façonner la
    matière, elle ne peut compter sur elle pour son existence.
     



      



    C’est une
    auto existence, n’ayant ni commencement ni fin. Ceci est symbolisé par la forme
    ovoïde de l’œuf. L’Etre Absolu est toujours représenté comme une forme ovoïde,
    sans commencement, et donc sans fin.
     



      



    A l’intérieur
    de la périphérie de l’œuf est la Pouvoir vivant, mâle-femelle, qui est
    l’Esprit  Divin. Ce grand Pouvoir a été appelé par les Grecs, PHANOS, le
    Dieu de la Lumière, car devant sa brillance, l’univers entier resplendissait de
    la lumière du feu, le plus glorieux des éléments. Et ainsi, l’œuf, la première
    et la dernière de toutes choses, chauffé par la Vie Divine en lui, éclôt.
     



     Un
    grand Esprit s’avance alors dans toute Sa gloire et Sa splendeur.
     



    Dans la
    légende d’Orphée, Phanos est appelé le père de tous les dieux parce qu’Il était
    le premier à apparaître comme «lumière ». Dans la Bible, nous lisons qu’au
    commencement, Dieu dit : « Que la Lumière soit, et la Lumière
    fut ». Dans la philosophie Rosicrucienne, il est enseigné que « Dieu
    est Lumière » et cette phrase est prise comme pensée principale dans nos
    périodes de méditation.
     



      



    La 
    lumière est le premier principe manifesté de Dieu ; ceci est suivi par
    l’Amour comme second principe, et le service en troisième.
     



    Cet Etre
    glorieux, né d’un œuf, était triple, et comme décrit dans la terminologie de
    Platon, de trois aspects . Phanos était le « Père »,
    Ericape, le « pouvoir », et  Métis,
    l « intellect ». Cette terminologie correspond à nos principes
    Rosicruciens qui sont appelés le Père, le Christ, et Jéhovah ; ou la
    volonté, la sagesse et l’activité.
     



      



    Dans la
    littérature des anciens il est écrit que dans le commencement  l’univers
    était « eau », ou « chaos ». Les eaux imploraient
    intensément ; elles peinèrent et s’animèrent d’une fervente dévotion.
    Lorsque cette chaleur et dévotion devinrent suffisamment  intenses, un
    Grand Oeuf fut produit. Cet œuf demeura pour Un Grand Jour, et à l’expiration
    de cette période il se cassa en deux . Des deux hémisphères, la supérieure
    était en or, et l’inférieure en argent.  Celle en argent devint le monde,
    ou création du monde, et celle en or devint les Cieux, ou séjour céleste. Dans
    certains cas, le jaune doré de l’œuf est représenté comme le soleil, ou le
    centre de l'univers ; dans d’autres cas, comme le cœur de l’homme, entouré
    de ses facultés latentes et de ses véhicules. Par encore d’autres auteurs
    d’anciens travaux métaphysiques, il est considéré comme la terre, entourée par
    les eaux terrestres, qui sont symbolisées par la part d’albumine, ou le blanc
    de l’œuf. A l’intérieur de cet œuf, étaient aussi les continents, les mers, les
    dieux, les démons, et l’humanité.
     



      



      



      



    Le Grec
    Phanos symbolise la première naissance, l’Homme Céleste, resplendissant comme
    le soleil. Il est appelé « l’œuf d’or », le père de Métis et de tous
    les dieux. Pour le bienfait de ces dieux de l’univers, Il créa les cieux et la
    terre, afin qu’ils puissent s’avancer vers un nouveau jour de manifestation.
     



    Dans une
    autre description du monde il est dit que le ciel,  la terre, et l’eau, et
    quoi que ce soit d’autre à l’intérieur d’eux, sont l’œuf même. Le ciel est
    organisé au-dessus de la terre, comme un œuf, par l’ouvrage du Créateur, et
    l’apparence de la terre au milieu du ciel est semblable au jaune à l’intérieur
    de l’œuf, et l’eau, à l’intérieur de la terre du ciel, est la même que l’eau à
    l’intérieur de l’œuf.
     



      



    Parmi les
    écrits de cet illustre Rosicrucien et esprit immortel connu sous le nom de
    Paracelse, nous trouvons des citations qui jettent un rayon de lumière sur ce
    vieux mystère de l’œuf. Il déclare que « le jaune de l’œuf demeure dans
    l’albumine sans couler au fond de la coquille. Le jaune représente la terre et
    le blanc les environnements invisibles de la terre. La partie invisible agit
    sur la visible, mais seulement le philosophe perçoit la voie dans laquelle
    l’action prend place.»
     



    Dans cet
    exposé Paracelse se rapporte à la partie de l’albumine de l’œuf représentant
    l’invisible, les plans super physiques de la nature d’où coule la vie par
    laquelle toutes choses terrestres sont nourries. L’œuf est une image de Dieu et
    de l’univers, qui engendre et contient toutes choses en son cœur. L’homme fut
    fait à l’image de Dieu, son aura et corps désir étant ovoïde dans leur forme,
    et là où l’esprit fut développé, la forme fut aussi ovoïde. Chaque cellule et
    atome vivants, chaque étincelle qui en émanait ou avait son origine dans le
    monde de Dieu, est de forme ovoïde, sans commencement ni fin, montrant que
    ceci, aussi, est éternel, comme notre Père dans les cieux.
     



      



    L’œuf a été
    utilisé comme un symbole des anciens temps. Il y avait l’Oeuf du Monde des
    Egyptiens qui provient de la bouche de l « Incrée et Eternelle
    Déité », et qui est l’emblème du pouvoir génératif. L’œuf de Babylone
    était supposé avoir fait naître Ishtar et était supposé être tombé des cieux
    dans l’Euphrate. Les œufs colorés étaient utilisés annuellement au printemps
    dans presque chaque région, et en Egypte, ils étaient échangés comme symboles
    sacrés au printemps. C’était l’emblème de la naissance et renaissance, cosmique
    et humaine, céleste et terrestre. Nous apprenons par les écrites de Madame
    Blavatsky, que le mot Easter (Pâques en anglais), venait évidemment d’Ostara,
    la déesse Scandinave du printemps. Elle était le symbole de la résurrection de
    toute la nature et était adorée au premier printemps.
     



      



    C’était alors
    une coutume chez les Nordiques païens d’échanger des œufs colorés, qui étaient
    appelés les œufs d’Ostara. Ces derniers devinrent les œufs de Pâques. Cette
    vieille coutume a été adjointe à la Fête de la résurrection du Sauveur, qui,
    comme la vie cachée dans l’œuf, a dormi dans la tombe pendant trois jours avant
    qu’IL  ne s’éveille à La Vie Nouvelle. Ceci était naturel parce que le
    Christ est identifié au même soleil de printemps qui s’éveille dans toute sa
    gloire après les tristes, longs jours de l’hiver.
     



      



    Le symbole
    sacré de l’œuf était préservé par les Druides et utilisé par eux comme une
    marque distinctive de plusieurs grades, dans l’Ordre des Druides. Ces œufs
    étaient de couleurs variées, certains bleus, d’autres verts ou blancs, tandis
    que certains étaient rayés de plusieurs couleurs. La couleur donnait un indice
    de leur stade dans l’Ordre, car la couleur dont étaient vêtus les membres était
    la même que celle des œufs.
     



      



    Dans le
    symbolisme mystique des premiers Rosicruciens, nous trouvons que l’œuf philosophique
    y était incorporé, et il a une interprétation très significative. La
    « Fraternité de la Rose Croix », dit John Heydon, «  est
    maintenue par un groupe d’adeptes mystérieux qui se perpétuent eux-mêmes d’âge
    en âge, en retournant dans une matrice philosophique, où ils restent un temps
    prescrit, et alors viennent encore une fois renouvelés en vie et en
    années. »
     



      



    Le même
    écrivain parle aussi du Frère CRC, et en décrivant une de ses soi-disant
    périodes de repos, ou plutôt une étape d’inactivité sur le plan terrestre, il
    parle du Frère comme « dans une matrice naturelle stimulante ». Cette
    matrice est un cercueil de verre ou container, un vaisseau alchimique dans
    lequel les Frères étaient enterrés. Il était appelé l’œuf philosophique. A
    intervalles réguliers, l’Adepte, cassant la coquille de l’œuf, acceptait des
    devoirs variés de vie, pour se retirer plus tard à nouveau dans sa coquille de
    glace. Entre les vies, le Frère était sensé dormir dans l’œuf.
     



      



    Périodiquement
    le philosophe émerge de cet œuf, ayant une nouvelle forme externe dans laquelle
    il habite temporairement. Ceci est comparable à l’homme, qui entre deux vies
    sur terre, existe dans les mondes invisibles, dans ses propres corps
    invisibles.
     



    Il y a une
    grande différence, toutefois, dans le fait que l’homme doive naître de la
    matrice physique d’une mère, tandis que l’Adepte, ou le Frère, est capable de
    matérialiser un corps dans lequel fonctionner sur le plan terrestre sans la
    nécessité de naître.
     



    La brisure de
    l’œuf représente la victoire de la nature spirituelle de l’homme sur la personnalité ou la nature animale plus basse. L’homme est un univers miniature et sa personnalité physique est un œuf, ou un corps aurique de forme ovoïde, dans son actuel stade de développement.

     



    Comme le germe
    est soigné par Mère Nature jusqu’à ce qu’il éclate en splendeur, ainsi l’œuf
    est couvé par la maman oiseau, et le processus alchimique prend place, jusqu’à
    ce que le petit poussin grandisse littéralement hors de la coquille avec ses
    vêtements de plumes ; comme le bébé est protégé dans la matrice de la mère
    jusqu’à ce qu’il s’élance sur l’océan de la vie, ainsi, l’homme, qui a souffert
    suffisamment et appris la futilité de céder aux appétits et désirs de la nature
    inférieure, et est prêt à tout abandonner au Dieu intérieur, crie vers la
    Divine Etincelle en lui, de prendre en charge tous ses véhicules et facultés,
    pour les contrôler et diffuser les qualités de l’Esprit à travers son être
    entier.
     



      



    C’est alors
    que l’œuf humain est couvé de l’intérieur par l’Esprit, les qualités
    spirituelles transmutées et perfectionnées de l’amour cassent la coquille et un
    être nouveau-né et glorieux s’élance avec toute la splendeur et la beauté de
    Phanos, le Dieu de la Lumière. Alors il peut acclamer triomphalement comme le
    fit le Christ : « Tout est accompli ».
     


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    En tant
    qu'aspirants spirituels, nous cherchons à développer notre faculté de jugement,
    dans le sens du "discernement" ou "discrimination". 
    Inversement, nous cherchons à maîtriser toute tendance à juger nos
    frères—"juger" dans ce contexte signifiant "critiquer" ou
    "condamner".  Le jugement tel qu'employé dans le second sens est
    ici en considération.



     



    Le Nouveau
    testament pousse clairement  à la vertu  de non-jugement : "Ne
    nous jugeons donc plus les uns les autres: Mais pensez plutôt qu'un homme ne
    doit rien faire qui soit une pierre d'achoppement  sur le chemin de son
    frère" (Rom.14:13).



     



    L'ironie du
    jugement  est qu'il perpétue l'acte  qu'il juge et, par sa
    censure  et son verdict de répudiation, renforce ce qu'il pourrait avoir
    souhaiter équilibrer ou effacer.  Apporter un jugement contre une action
    en punissant ou persécutant l'auteur renforce l'injustice  et rend les
    procureurs également ou davantage  coupables de violation et de
    négativité. La "justice" punitive  est un  pernicieux cycle
    descendant d'offense. Les offenses illégales ne sont pas neutralisées par
    l'offense égale menée contre le "malfaiteur". Le meurtre passionnel n'est
    pas réglé par le meurtre certifié connu sous le nom de peine capitale.



    La vie est
    sainte et intacte. Tout ce tendrait vers la séparation est péché.  La
     moralité de loi du talion,
    "œil pour œil" réduirait la vie humaine  à néant, car personne
    n'est sans péché.  L'accusateur, le découvreur de faute, ferait mieux de
    prendre à cœur les paroles de Jésus Christ : "Que celui d'entre vous qui
    est sans péché lui jette la première pierre" (Jean 8:7).   
    Plutôt,  si ton œil t'offense—c'est-à-dire, si  quelqu'un perçoit
    l'offense—arrache ton œil. En d'autres termes, il n'y a rien d'impur en soi,
    mais si nous estimons que ça l'est, alors il en est ainsi (Rom.14:14).
     Occupons nous de la poutre de notre propre œil avant de chercher la
    paille dans celui de l'autre.



     



    Ce mécanisme,
    par lequel nous constatons nos propres erreurs et nos conditions intérieures
    généralement telles qu'elles sont chosifiées et venant des autres, est appelé
    "projection" en psychologie clinique. La science de l'Esprit la
    décrit comme "vision à travers l'aura". Si  notre propre désir
    et nos atmosphères mentales sont sinistres et agités, nous voyons à travers un
    verre assombri; nous voyons des distorsions, et nous repérons  des
    négativités dans notre entourage.  Lorsque nos auras sont brillantes et
    claires, lorsque nous existons  et nous exprimons dans l'amour,
    l'optimisme, et l'harmonie, alors nous voyons "face à face". 
    Nous discernons le bon, le noble, et le vrai dans les autres. Leur nature
    vibratoire supérieure révèle  des vibrations similaires et créent une
    immunité contre les influences de l'ombre, l'égoïsme, et les éléments vulgaires
    dans notre environnement.



     



    Juger avec un
    œil de condamnation est voir uniquement avec l'œil physique, voir l'extérieur,
    l'évident, le littéral, le superficiel, voir, finalement, le transitoire.
    Ainsi, il est dit du mental exotérique, "En ayant des yeux pour voir, ils
    ne voient pas" (Mat.13:13-14). Plus nous ferons l'effort de  voir
    spirituellement,  plus nous comprendrons ce que nous voyons et n'aurons
    plus besoin de jugement, de condamnation, et d'aliénation. Le jugement
     déclare : "Je ne suis pas ce que je vois. Je voudrais le séparer de
    moi, l'annuler,  le tuer". Mais ce processus de refus énergétise
    l'objet du jugement, qui est une pensée dans le propre mental du juge. La
    solution salutaire est  de comprendre tout le contenu de conscience 
    mais de laisser être le négatif, ne l'honorant d'aucune énergie de refus ou de
    vengeance, affirmant et renforçant toujours le contenu positif de la
    conscience.



    Sous un autre
    angle, "Ne juge pas de peur d'être aussi jugé". Ou encore, "La
    mesure que vous utiliserez sera utilisée pour vous". Tous les péchés et
    les erreurs sont les expressions de l'ignorance.  Ainsi,  celui qui
    sait ne se met pas en colère contre ceux qui vivent dans l'ignorance, car cette
    connaissance inclut l'amour. Par conséquent, ceux qui vivent dans les ténèbres
    et dans l'erreur suscitent la compréhension et le sentiment dans l'Esprit
    compatissant.  Pour cette raison Jésus Christ aurait rassemblé les gens de
    Jérusalem  dans le cercle de sa sollicitude telle une mère poule rassemble
    ses poussins sous ses ailes. Pour cette raison,  également,  
    Jésus Christ demanda de Sa croix d'agonie : "Père, pardonne leur, car ils
    ne savent pas ce qu'ils font". Si ils l'avaient su, ils ne l'auraient pas
    fait.



     



    Toutes les
    actions portent en elles, en germe, mais implicitement, leurs propres
    conséquences; elles sont en fait, leurs propres jugements. Un homme  n'a
    pas besoin de se dresser  lui-même en "juge impartial" et en arbitre 
    des actes et de la destinée d'un autre. Faire ceci indique simplement
    l'arrogance et l'ignorance  de celui qui s'estime ainsi qualifié. 
    "Je le dis à votre honte. Ainsi, il n'y a pas parmi vous un seul homme
    sage? Non,  personne qui puisse juger entre ses frères…Pourquoi  ne
    souffrez vous pas plutôt quelque injustice? Pourquoi ne souffrez vous pas 
    d'être dépouillés?" (Cor.I  6:5-7).  Jésus Christ souffrit le
    jugement de la mort. Il prit le mal de l'humanité sur sa personne innocente,
    cette complicité planétaire de l'homme pourrait être annulée et l'homme
    pourrait vivre non par la loi, mais par l'amour.



     



    En tant
    qu'implication future du jugement, nous pouvons dire que l'auto critique
    constante frustre le développement spirituel.  Paul écrit qu'il ne se juge
    pas lui-même (Cor.II 4:3) et  même prend moins garde au jugement des
    hommes. Cependant nous savons que l'homme qui meurt  quotidiennement
    demande davantage à sa conduite, à sa parole, et sa vie intérieure que ne le
    fait son pire critique. Il répond non au jugement des hommes, mais à celui de
    Dieu. Il nez prétend pas connaître le jugement de Dieu, autre qu'en professant
    et préférant l'Amour infini de Dieu en l'Etre Jésus Christ, qui donna Grâce et
    Vie à l'homme en retour à son péché et son mépris.



    Soyons
    honnêtes,  sinon audacieux, et épargnons nous l'auto dépréciation inutile
    et la prétention du jugement personnel. Les moments  pour l'auto
    observation impersonnelle et le remords peuvent être réservés à la
    rétrospection du soir sur les événements de la journée écoulée.  Nous
    devrions réaliser que tout ce qui passe pour une pieuse auto critique est une
    forme subtile d'amour de soi, par lequel on est spécial par le biais  de
    fautes particulières ou d'inaptitudes qui rendent compte de nos échecs. 
    L'auto jugement vient alors, en effet, la justification de soi.



     



    Que nos
    propres personnes soient les seuls objets de notre jugement et cela avec un
    esprit  de perfectionnement de soi plutôt que de pitié ou d'auto
    humiliation moribond. Nous ferions bien de nous rappeler que nos yeux au sens
    moral sont focalisés sur l'homme mortel, le soi inférieur, dans le but de
    l'élever, de le transmuer, et de l'aligner avec nos natures supérieures. 
    Notre auto analyse constructive est dirigée  pour refléter et exprimer
    notre divinité intérieure dans nos véhicules inférieurs, faisant d'eux des
    vaisseaux limpides qui puissent révéler et magnifier pleinement  l'Amour,
    la Lumière et la Vie du Dieu intérieur. Finalement, nous pouvons garder à
    l'esprit les paroles du Christ, "Je suis venu non pas pour juger le monde
    mais pour sauver le monde" (Jean 12:47).




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  •  



    Il est à
    l’intérieur de l’homme un pouvoir, une lumière, un feu,  un lien cosmique
    entre lui-même et son Créateur qui, lorsque cela est permis, guérira toute
    sorte de maladie dont il peut être affligé: même une maladie soit disant
    incurable.



    Cette lumière
    est si puissante, si divinement radiante, si pure et parfaite, que la maladie
    se dissout  devant ses rayons pénétrants.



    Cet
    incomparable feu cosmique est à l'intérieur de chaque homme. Il n'y a aucune
    exception. C'est le Christ intérieur, notre partie de Dieu. C'est cette de nous
    qui est si pure qu'elle ne connaît rien  moins parfait qu'elle-même. C'est
    notre protection, notre guidance, notre abondance, notre santé—notre tout;
    notre filiation avec le Créateur---Dieu.



     



    J'ai du
    déjà  apprendre ceci lorsqu'un médecin m'a  dit que je n'avais que
    très peu de temps à vivre. J'avais un cancer de l'estomac et des intestins. Les
    quelques mois restants, tout au plus, de ma vie seraient souffrance et douleur.
    Je savais qu'il voulait dire que ce serait sans espoir. D'autres avaient dit la
    même chose. Les symptômes étaient indubitables. Je le regardais durant un long
    moment—blanche et muette. En réponse, il me donna un livre, la Cosmogonie des Rose Croix, par Max
    Heindel.



     



    Lorsque je
    fus arrivée à  la maison, je jetai un œil sur les pages, mais j'étais trop
    fatiguée physiquement et moralement pour le lire de façon compréhensive. Mais
    le serrant dans ma main, je défiai le verdict du docteur. Je décidai d'aller
    mieux.



    Comment
    allais je mener  à bien cette tâche apparemment insurmontable, je ne le
    savais pas à ce moment là. Par provocation je gardais le livre comme s'il était
    le rocher salvateur que j'étais obligée d'escalader. J'essayais de lire mais
    mon esprit aussi bien que mon corps était faible et inconstant.



     



    La Cosmogonie—je me demandais ce que
    cela voulait dire. Je regardai dans le dictionnaire et trouvai cosmos, le même mot racine: l'univers
    en tant que manifestation de la loi et de l'ordre, en opposition au chaos. C'était exactement ce que je
    voulais. Je voulais que mon corps et mon esprit agissent en harmonie. J'avais
    assez du chaos.



    C'était comme
    si mes différents organes fonctionnaient en tant qu'individus distincts sans
    considération pour le corps en tant que tout. Et chaque atome  de chaque
    organe volait à vitesse différente, insouciant de l'harmonie organique. Rien
    n'était ajusté.



     



    J'avais été
    dans la douleur constante depuis cinq années. Si je buvais de l'eau ou
    m'empêchait de boire de l'eau, je souffrais. Si je mangeais quelque nourriture
    ou si je ne mangeais pas, la douleur continuait sans cesse. Je me demandais
    souvent comment  il était possible d'être délivrée de cette brûlante et
    dévorante agonie. J'essayais  de m'imaginer libérée d'elle.



     



    Dans les
    moments forts, lorsqu'une volonté passionnée semblait avoir un peu de prise sur
    moi, je décidai que pour aller mieux je devais pour ainsi dire, me prendre
    véritablement en main,  gouverner chacune de mes pensées, paroles et
    actions avec une volonté d'acier trempé.



    Je voulais
    passionnément être comme ce cosmos—chaque chose dans mon monde physique
    travaillant calmement, régulièrement, aisément.



     



    Je me sentais
    toujours froide, glacée, sans vie. Comme je vivais en un lieu où le soleil
    abondait, je décidai de me baigner en lui. Je trouvai qu'il m'aida à me
    relaxer; même une forte tension cédait le pas sous son influence. Au début,
    cinq minutes d'exposition au soleil avec la tête à l'ombre. Ceci s'accrût
    jusqu'à une demi-heure.



     



    J'avais été
    au régime lacté mais je décidai de devenir végétarienne.  Je mangeais des
    fruits et des légumes et des graines de céréales complètes. Lorsque je
    découvris combien le riz était digestible, je le mangeai avec plaisir, sachant
    que je chargeais mon appareil digestif, mais légèrement.



    Pour le petit
    déjeuner,  une galette  de farine complète et du raisin ou des
    céréales de blé complet et des prunes.



    Au déjeuner
    une pomme de terre cuite et une petite portion de carottes et un jus de fruit.
    Au lieu de la pomme de terre cuite je pouvais avoir du riz cuit vapeur avec des
    épinards et des haricots verts. C'était un moyen simple de varier  les
    légumes de jour en jour.



    Pour dîner,
    un plat de fruits. Une pêche peut être et une grappe de raisin noir ou une
    pomme rouge et trois noix.



     



    Mon désir
    n'est pas de fixer des règles de régime. Je relate simplement ce que je fis
    dans un effort réussi pour soigner une maladie soit disant incurable. Chaque
    individu, bien sûr, doit mener à bien son propre programme selon son
    tempérament et sa condition particuliers.



    Je
    demandais  sans  cesse la guidance divine, non seulement en matière
    d'alimentation mais en tout ce que je faisais.  Dieu est toujours prêt à
    nous donner la sagesse en proportion de ce que nous laissons tomber l'ego.



     



    Je lus la Cosmogonie . Je prenais une phrase
    qui m'interpelle et m'habitait durant une semaine. Puis une autre pour la
    semaine suivante ou peut-être juste un mot—Dieu est Perfection. Je l'utilisais comme  modèle ou 
    moule et versais ma pensée, ma vie, et mon amour en lui.



     



    Cinq minutes
    avant le lever, je m'asseyais dans une position confortable  et calmait
    consciencieusement mon mental par ce mot "Paix…paix…Paix", Sois
    tranquille, et sache que je suis Dieu", ou une formule similaire.



    Parfois
    j'étais trop malade pour sortir du lit et mon régime nourriture-soleil-pensée
    était suspendu jusqu'à ce que je sois capable de me lever à nouveau.



    Je m'engageai
    personnellement à Dieu, et sans égards aux apparences je grimpais vers Lui avec
    toute ma résolution. Je savais qu'Il était la seule voie par laquelle je
    pouvais échapper à  la mort.



    Avec peur et
    en tremblant je poursuivis mon plan. Par moments ma volonté faiblissait et il
    semblait  futile d'essayer de tenir tête à l'adversaire—la maladie.
    Puis,  dans un flux de pouvoir, ma foi revenait et je savais que je menais
    le bon combat.



     



    Pendant trois
    années, je luttai. Pensant santé, croyant à la santé,  entièrement limités
    par une chair malade. Je continuais à lire la Cosmogonie. J'assistais à des conférences sur l'occulte. Je
    voyais en cela que tout mon matériau de lecture était de nature inspiratrice.



    Comme je
    devenais plus forte, je me promenais. Seulement un pâté de maisons au
    début.  Puis deux ou trois, jusqu'à finalement marcher un mile sans
    inconfort.



    Mais en cinq
    années, plus ces trois années de régime par moi-même imposé, je n'avais jamais
    été  libérée de la douleur. Elle me possédait et me harcelait.



    Au cours des
    trois dernières années j'avais acquis plus que je ne le réalisais. J'étais plus
    forte dans mon corps et dans mon mental. La peur ne m'assiégeait plus avec
    autant de possessivité qu'auparavant.



    Un jour 
    je fus saisie d'une indéfinissable faiblesse. J'allai au lit. Je pouvais à
    peine marcher. Mon mari appela une infirmière, une de mes amies, pour
    m'assister. Il insista pour que j'aie un médecin, mais lorsque je l'assurai que
    j'étais simplement exténuée et voulais me reposer, il n'alla pas plus loin.
    L'infirmière était une étudiante en occultisme et elle savait intuitivement ce
    qui se passait. Elle n'encouragea pas à faire venir un médecin.



     



    Je glissais
    vers un état étrange où je ne pouvais pas ouvrir la bouche. Je ne pouvais ni
    manger ni marcher. De temps en temps, l'infirmière versait une cuillerée de
    lait chaud entre mes lèves. Je ne pouvais non plus ouvrir les yeux.



    Puis des
    choses commencèrent à arriver. Les trois années d'apprentissage à Dieu
    avaient  établi une vibration nouvelle. L'ancienne se mourait  afin
    que la nouvelle puisse naître et prospérer.



    Je sortis de
    mon corps et voyageai  en regardant avec amusement mon temple physique qui
    semblait être dans les ténèbres complètes. Lorsque je revins dans mon corps, je
    sentis une merveilleuse chaleur brillante et lumineuse qui était au-delà du
    pouvoir d'expression des mots. Tous mes sens fonctionnaient en tant que sens
    supérieurs: la salive était aussi douce que du miel dans ma bouche; mes yeux ne
    voyaient aucune forme, aucun objet, seulement une splendide lumière brillante;
    mes oreilles  résonnaient d'une musique plus parfaite que les symphonies
    terrestres. Je pouvais sentir un délicat parfum, un parfum plus doux que toute
    essence terrestre, même coûteuse. Et je pouvais toucher…je pouvais seulement
    ressentir des vagues de lumière, car tout mon être  tourbillonnait dans un
    e mer de lumière aussi grande que l'univers entier.



     



    Je reposais
    en extase spirituelle. Une voix—une voix invisible—une voix telle celle d'un
    chirurgien me dit, "Repose toi vraiment ce matin, mon enfant. Il y a
    beaucoup de travail à accomplir pour la réparation de ton estomac et de tes
    intestins. Le cancer doit être délogé. Tu es à présent remise à neuf. Prends 
    patience".



     



    Je reposais
    très tranquillement. Je fermai les yeux. Il sembla durant des heures qu'un
    couteau électrique était occupé à travailler sur moi.



    Un grand
    rayon de lumière perça mon abdomen, interpénétrant mon estomac et mes
    intestins. Des couteaux de lumière étaient également au travail, taillant,
    coupant, déchirant le tissu malade; ouvrant la voie à la réparation, la
    régénération, la revivification de mon être entier.



    Mon dos, qui
    avait été tordu par la douleur, fut percé par des rayons de lumière. Je les vis
    par ma conscience intérieure, mes yeux étant clos durant ce temps. Ceci
    continua pendant une semaine où je demeurai physiquement tranquille. 
    Aucune maladie ne pouvait endurer la radiance dans laquelle j'étais immergée.
    Je savais que j'étais guérie. Je pouvais voir mes organes. Chaque organe
    individuel dans mon corps était tracé et illuminé comme un néon. Je pouvais
    voir la circulation du sang dans mon corps.



     



    Je restai au
    lit le matin de Pâques. Dans le calme de ma chambre,  je discernai la
    signification de la Résurrection. Je réalisai le rôle que la Résurrection avait
    joué dans mon expérience individuelle.  Je me rappelai la multitude de
    fois, ces huit dernières années, où j'avais lu, revu, et médité sur la
    Résurrection de Jésus.



    J'étais
    reconnaissante  d'avoir appris à laisser la lumière entrer en moi. J'étais
    reconnaissante aussi qu'en ce jour de Pâques j'avais capté la signification
    véritable de Pâques—la Résurrection.



    Mon mari
    apporta dans ma chambre un lys de Pâques—d'un blanc parfait, pur et doux. Un
    ami m'envoya un lys du Japon, un brun orangé parsemé de points sombres.



    L'après midi
    de Pâques  je me levai et m'habillai,  et me promenai de pièce en
    pièce. Ma maison était belle, plus splendide que jamais. Je regardai par la fenêtre
    des différentes pièces pour observer le jardin fleuri. La pelouse  qui
    avait été semée durant mon séjour au lit venait au jour par pousses d'un beau
    vert. Partout je voyais de nouveaux plants et de nouvelles fleurs éclatant pour
    démontrer leur joie de vivre. Même le jardin avait conscience de la 
    Résurrection.



     



    Je vis
    l'unité de l'Univers. Je captais la joie de la conscience cosmique coulant
    allègrement à travers toute chose. Je voyais Dieu qui y brillait.



    Lorsque mon
    amie, l'infirmière, partir, elle me dit, "Chérie, tu ne sauras
    jamais  ce que ce mois a signifié pour moi". Nos mains se joignirent.
    Elle comprenait.



     



    Maintenant je
    pouvais voyager à travers les murs, entrer dans les corps malades et les rendre
    sains. Lorsque je voyais une personne, je pouvais voir ses organes comme si ma
    conscience était un rayon X,  et s'il y avait un endroit défectueux, s'il
    était sombre,  obscur.



    Lorsqu'une de
    mes voisines vint me voir,  elle dit que son mari était au lit avec une
    pneumonie sévère. Sa mère était assise près de lui. De ma conscience s'élança
    un jet de lumière. Il pénétra la poitrine  de l'homme malade.



    Le matin
    suivant elle vint à nouveau et dit avec surprise, "mon mari est
    levé", travaillant au jardin ce matin. N'est ce pas étonnant?" Je
    n'étais pas surprise.



     



    Une carte de
    ma mère  me parvint disant que ma mère avait été  heurtée par une
    automobile. Qu'elle avait été blessée et choquée assez gravement d'après le
    récit. Comme je lisais la carte un flot de lumière jaillit à une vitesse
    terrifiante sans limite hors de ma conscience. Il perça la conscience de ma
    mère et la réchauffa,  l'apaisa et la  guérit.



    Le jour
    suivant elle vint me voir. Son corps était noir et bleu mais elle me dit que
    soudainement  c'était comme si un nuage s'était élevé d'elle, et le choc,
    la souffrance et la douleur l'avaient quittée.



     



    J'avais
    appris que la Lumière est le guérisseur, l'émancipateur, le libérateur. Je
    réalisais que toute chose opposée à la Lumière devait être évitée.  Un
    concept universel des choses me possédait. Mon esprit s'était étendu et les
    limites avaient éclaté.



    Alors que
    j'étais assise dans la serre, une voix claire et résonnante me dit, "Tu as
    tenu le test. Tu as appris à te relier à Dieu. Tu as progressé de l'ignorance
    et des ténèbres premières. Tu réalises le Pouvoir Unique dans l'Univers---Dieu
    seul.



     



    "Tu es à
    présent initié dans l'Ordre de la Lumière, qui n'a aucun mystères, ni secrets
    au vu du public. Il n'y a aucune limitation quant au nombre de membres.



     



    Relie toi à
    Dieu seul.



    "Tu es
    sur une fondation ferme de la connaissance de Dieu. C'est maintenant ton
    travail de montrer aux autres le sentier de lumière, le sentier de l'harmonie,
    la voie de la liberté. Veux tu faire ceci?"



    "Je le
    veux", répondis je.



    Plus de
    souffrance, plus de maladie. La santé vibrante se manifeste où la maladie a
    habité. Les choses d'avant sont passées; toutes choses sont faites nouvelles.




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  •  

     



    Nous savons
    que mentir est mal; mais vous-êtes vous demandé s'il est bien de dire un soit
    disant 'pieux' mensonge? La réponse est que cela est faux. Nous les appelons
    'pieux' mensonges s'ils semblent inoffensifs; cependant sous des considérations
    spirituelles nous parlons de bien et de mal basés sur un principe sous jacent,
    non  sur l'aspect extérieur des choses; non telles qu'elles apparaissent
    être, mais telles qu'elles sont en vérité.



     



    Mentir est une mort spirituelle



     



    Nous 
    apprenons très tôt dans les Enseignements de la Sagesse Occidentale qu'un
    mensonge dans le Monde Du Désir "est à la fois un meurtre et un
    suicide", détruisant  ce qui est faussement dépeint, et la chose
    elle-même dans le processus.



    Dans l'étude
    de Max Heindel intitulée Archétypes,
    nous lisons que "quel que soit l'événement qui ait lieu, une certaine
    forme pensée générée dans le monde invisible un rapport de cet incident. Chaque
    fois qu'un événement est commenté, une nouvelle forme pensée est créée, qui
    fusionne avec l'originale et la renforce, pourvu qu'elles aient toutes deux la
    même vibration. Mais si un mensonge est dit sur ce qui s'est passé, alors les
    vibrations ne sont pas identiques; elles se heurtent en discordance, chacune
    mettant l'autre en pièces" (p.14).



     



    Ce passage
    est répété et étudié en détails dans Trame
    de la Destinée
      (pp.54-55), où nous apprenons que nos modèles de
    pensée durant la vie se répercutent sur l'archétype du corps dont notre
    condition physique de vie dépend, et nous aligner nous-mêmes sur ce qui est
    vrai résultera en santé supérieure dans le futur.



     



    Aimer la Vérité



     



    Aussi lorsque
    nous disons "la vérité", nous nous référons  à ce que nous
    disons en relation avec ce que nous avons perçu devant l'être, et aussi en
    relation avec la forme rapportée dans le royaume invisible.  Si nous avons
    une chose à l'esprit et que nous la dénaturons, nous mentons. Si nous faisons
    un petit effort pour voir clairement, pour être objectifs, et sommes négligents
    avec la vérité, nous sommes également coupables. Alors nous devons tant 
    aimer la Vérité,  que nous devons la chercher.



    Max Heindel
    écrit dans Trame de la Destinée que "même aujourd'hui seul un petit pourcentage est prêt aussi près de la vérité qu'il la voit,  pour la confesser et la professer devant les hommes…" Dans le passé "l'amour de la vérité était quasi négligeable", et les hommes étaient naturellement enclins à "ne pas tenir compte des intérêts d'autrui, et  dire un mensonge ne semblait en aucune façon répréhensible et parfois même apparaissait méritoire" (p.67)



     



    Centralisation sur soi



     



    En mentant,
    nous devons avoir une cible, quelqu'un à qui mentir. En mentant, nous manquons
    de respect à quelqu'un, et nous avons avérons être centrés sur nous-mêmes, même
    de façon lâche, en protégeant nos propres intérêts.  Etes-vous un tel
    lâche, ou le sui-je?  Il peut en être ainsi. Nous avons, et pouvons encore
    apporter  du passé de telles tendances d'intérêt égoïste et d'auto
    protection avec nous. Mais avons-nous besoin de continuer à être lâches?



    Je ne pense
    pas. Si notre voyage spirituel  doit commencer, il doit commencer en
    quelque endroit. Dire la vérité est un point de départ pratique.



    Nous n'aimons
    pas l'homme ni Dieu lorsque nous mentons. Si nous devons aimer les autres comme
    nous-mêmes, alors nous commençons par fournir des réponses fidèles, que
    nous-mêmes trouverions acceptables—rien de moins, peu importe à qui. Dire la
    vérité à la fois à ceux que nous aimons et à ceux que nous n'apprécions pas est
    une façon d'accomplir le mandat de "Faire aux autres ce que vous voudriez
    qu'ils vous fassent", et "aimer ses ennemis", tel que cela a été
    dit au Sermon sur la Montagne (Matt.5-7).



     



    Exercice pour être parfait



     



    L'Apôtre
    Jacques écrit :"Si un homme ne bronche point en parole,  c'est un
    homme parfait, capable de tenir tout son corps en bride" (Jacques 3:2).



    Dans Principes Occultes de Santé et de Guérison,
    p.67,  Max Heindel écrit, "C'est seulement lorsque nous entrons dans
    les royaumes supérieurs, et particulièrement dans la Région de la Pensée
    Concrète,  que les vérités éternelles doivent être perçues; donc nous
    devons nécessairement faire des erreurs encore et encore, en dépit même de nos
    sérieux effort  pour toujours connaître et dire la vérité".



    Nous
    devons  mettre en pratique nos principes Chrétiens, commençant juste 
    maintenant à "dire la vérité".



     



    La Période de Jupiter



     



    Qu'arrivera
    t-il si nous commençons à dire la vérité tout le temps? Pouvez vous 
    l'imaginer?  Un auteur essaya de l'imaginer et écrivit une histoire qui
    fut montée en film intitulé Menteur,
    Menteur
    , interprété par Jim Carrey. Pendant 24 heures,  un menteur
    devait dire la vérité. Ce fut très embarrassant,  et très difficile pour
    lui.



    Dans la
    Période de Jupiter à venir, la vérité et le mensonge seront connus. Peu importe
    ce que nous dirons, les gens verront ce que nous aurons l'intention de dire
    avec leur œil mental.  Ce sera très inconfortable pour beaucoup d'entre
    nous! Même à présent les gens réceptifs savent lorsque nous mentons par notre
    manière, le ton de notre voix, les nuances d'expression, ou simplement 
    par les inconsistances de notre témoignage.



    Les
    techniques scientifiques sont  actuellement  utilisées par des
    chercheurs pour déterminer si oui ou non nous disons la vérité. Même la direction
    dans laquelle nous regardons est révélatrice sur notre tentative de camoufler
    quelque chose ou de nous précipiter à concevoir une invention de façon
    improvisée.



     



    Un Mot d'Avertissement



     



    Avant de
    commencer à "dire la vérité", nous devons être avertis de ne pas
    aller trop loin nous-mêmes. Si nous ne pouvons pas être objectifs, nous ne
    pouvons pas dire la vérité. Une forme pensée d'un événement a déjà été
    rapportée, indépendante de notre perception.



    Des opinions
    négatives et subjectives ne sont pas "la vérité",  aussi
    solidement que nous croyions en elles, ou aussi souvent que nous les répétions.
     Une opinion négative est une donnée à laquelle un sentiment négatif a été
    couplé, et le plus souvent il en résulte un jugement précipité.  Les
    mensonges sont dangereux, particulièrement "les mensonges mauvais et
    malveillants qui peuvent tuer  ce qui est bon, s'ils sont assez forts et
    répétés assez souvent" (Cosmo,
    p.43).



    D'un menteur,
    nous pouvons dire de façon dédaigneuse, "Il veut juste retenir
    l'attention". Le savons nous? Nous disons cela  parce que c'est
    facile à dire et que nous sommes irrités.



    La vérité
    n'est pas toujours une priorité essentielle;  insister sur le fait d'être
    fidèle peut être un inconvénient. Cela requiert notre attention quand
    nous  pouvons ne pas être intéressés. Nos jugements secs,  issus du
    mécontentement et de l'impatience,  se heurtent aux choses telles qu'elles
    sont. Une fois dites, les mêmes conclusions impulsives sont  facilement et
    plus fréquemment répétées.



    Nous soucions
    nous de l'impact  que nous pouvions avoir sur l'individu auquel nous
    parlons?  "Bien c'est 'la vérité', n'est ce pas? "C'est juste la
    vérité!" protestons nous. Probablement pas, mais nous en soucions nous?
     Nous devons mettre notre ego de côté, et demandons, quelle est la vérité
    ici?



    Les aspirants
    spirituels apprennent à observer correctement, se voyant eux-mêmes dans le
    "troisième groupe". La vérité nous rend capables d'aider, non de
    blesser les autres, si nous l'exprimons bien. L'analyse objective  nous
    trouvera souvent mauvais, et parfois non. L'objectivité cherche la solution;
    trouver la faute, semble t il, est la perpétuer en soi, jamais se taire.



     



    Voir le Bon



     



    Dire "la
    vérité" n'est pas utiliser nos techniques analytiques pour dénicher les
    défauts chez les autres et le leur faire remarquer, souvent sans générosité
    d'esprit. En tant qu'étudiants Rosicruciens,  nous nous efforçons  de
    "parler, agir et voir uniquement le bon dans nos relations quotidiennes
    avec les autres".



    Nous sommes
    dirigés afin de voir le positif dans toute situation, car par ce moyen le
    positif se renforcera. Lorsqu'elle est  identifiée et prononcée, la vérité
    d'une situation ou d'une personne  sera renforcée. Ceci fut remarqué par
    un professeur de mathématiques en retraite, un athée sans le bénéfice de la
    connaissance des lois spirituelles,  ce dont nous sommes reconnaissants de
    surcroît.



    Comme établi
    dans Le Corps du Désir, le
    scientifique occulte base ses actions sur la loi cosmique : Chercher "le
    bien dans le mal, transmutera, au moment voulu, le mal en bien. Si la forme qui
    est construite pour minimiser le ma est faible, elle n'aura pas d'effet et sera
    détruite par la forme mauvaise, mais si elle est forte et fréquemment répétée,
    elle aura pour effet de désintégrer le mal et d'y substituer le bien.  Cet
    effet, que ce soit clairement compris,  n'est pas occasionné en mentant,
    ni en reniant le mal, mais en regardant le "bien" (p.154).



     



    Courage et Humilité



     



    Dire la
    vérité est souvent une expérience mortifiante; la tentation de mentir est
    souvent envers celui que nous percevons comme notre adversaire.  En
    conséquence, lorsque nous disons la vérité, nous montrons du respect envers
    celui à qui nous voudrions la nier, spécialement lorsque la vérité met l'accent
    sur notre erreur.



    Dire la vérité
    n'est pas toujours facile, et peut être préjudiciable à notre réputation, 
    même à notre vie, et peut requérir une foi que simplement nous n'avons
    pas.  Ne disons nous pas ainsi la vérité? Cependant,  le moins que
    nous devions faire est  de ne pas nous mentir à nous-mêmes dans un effort
    pour justifier un mensonge, et  connaître la différence entre une excuse
    et une justification.



    Corrie ten
    Boom écrit dans son livre Le Lieu
    Caché
    que durant l'occupation Nazie de la Hollande, elle disait la
    vérité aux soldats recherchant des Juifs, montrant l'entrée de leur véritable
    cachette. Qui sait comment, mais par un miracle de foi, les soldats ne
    cherchaient pas là où elle le leur indiquait.



     



     



    Penser différemment



     



    A présent que
    nous avons commencé à accorder de l'attention à ce que nous disons, nous allons
    être déconcertés par la manière dont nous dénaturons souvent les faits, ou même
    mentons. Reconnaissant que  certains lecteurs des Rays peuvent  avoir de loin dépassé cet état
    d'incertitude,  cependant pour le reste d'entre nous posons la question :
    Combien de fois disons nous, ou entendons nous d'autres prévenir, "Dis
    juste ceci", ou "dis juste cela", ou "tu n'a s pas à
    dire", ou, "personne ne saura"?  "Qui pourra
    savoir"?



     



    La première
    étape est d'éliminer ces habitudes et pratiques que nous serions difficilement
    pressés de confesser. Si nous le faisons, nous ne pouvons pas dire que nous ne
    le faisons pas, et si nous ne le faisons pas, nous ne pouvons pas dire que nous
    le faisons, etc. Si nous disons Que nous le faisons et que nous ne le faisons
    pas, nous devons corriger notre erreur, et si nous le faisons et que nous ne le
    disons pas, nous devons à nouveau nous corriger.



     



    Le Christ disait
    qu'il est préférable d'être froids ou chauds que tièdes parce qu'Il savait que
    si nous nous trompions nous serions attrapés et souffririons pour cela—et
    apprendrions par cela. Si nous mentons, nous perdons un important avantage en
    tant qu'aspirants spirituels.



    Ainsi comment
    répondons nous à ces difficiles questions? Que disons nous lorsque quelqu'un
    demande notre opinion et que ce que nous pensons  n'est pas ce que le
    demandeur veut entendre?  Nous pouvons lui dire ce qu'il désire entendre;
    cependant dire quelque chose en contraste avec notre pensée secrète est mentir.
    Les pensées sont des choses.  Le problème est crucial. Ne minimisons pas
    les conséquences d'être menteur : "Un mensonge est à la fois un meurtre et
    un suicide".



    Pour démarrer
    ce processus d'être  vrai, nous cessons d'avoir des pensées terriblement
    critiques; nous nous allégeons.  Nous apprenons à regarder les autres
    gentiment—comme nous voudrions qu'ils nous regardent—mettant les choses en
    perspective. C'est alors que nous découvrons que la vérité n'est pas une
    opinion négative mais une perspective équilibrée.



    Il y a des
    manières de répondre aux gens avec tact, ou avec humour, même  sur les
    sujets les plus sensibles.



    L'ignorance
    est  le seul péché, disait Max Heindel. Prendre le temps de comprendre ce
    que nous voyons  nous révélera des choses que nous n'aurions jamais vues
    autrement. Alors,  lorsque nous avons  un point de vue plus informé,
    nous pouvons apprendre à être courtois dans nos réponses.



    Si,
    confrontés à une sérieuse question à laquelle nous préférerions ne pas
    répondre, nous pouvons essayer d'être "fermes mais loyal"; vous ne
    voulez pas mentir et vous n'avez pas "besoin " de mentir lorsque vous
    êtes "fermes mais  loyaux". Etre loyal, implique que vous êtes à
    l'écoute des objections et pesiez votre réponse future, la modifiant si
    nécessaire.



     



    Mentir à Dieu



     



    Il nous est
    enseigné dans les Enseignements de la Sagesse Occidentale de toujours 
    regarder les autres en tant que leurs sois supérieurs, cette partie de Dieu à
    l'intérieur de chacun de nous.  En faisant ceci, nous nous adressons à
    dieu tel qu'Il se manifeste à nous. Qui mentirait à Dieu?



    Un
    parallèle  à ce concept est trouvé dans les écrits d'astrologie d'Elman
    Bacher, où il dit que "les planètes sont des personnes".  Les
    forces cosmiques représentées dans nos cartes natales, c'est-à-dire, en nous,
    se manifestent à nous à travers les gens.  Nous mentons nous à
    nous-mêmes?  Nous disons que nous ne nous en soucions pas, nous ne savons
    pas, et nous ne pouvons pas; et cependant, nous nous en soucions, et nous
    savons, et si, nous pouvons.



     



    Relations avec Autrui



     



    Mais il y a
    davantage que le sentiment de ce concept; si vous donnez aux gens la vérité et
    rien de moins, vous les honorez et ils le savent.



    Les
    prédictions négatives de ce que les gens peuvent dire ou faire pour justifier
    un mensonge leur étant fait n'est pas correct; les gens s'attendent à ce qu'on
    leur mente, à être traités sans respect, et ainsi tendent à réagir de façon
    négative. Donnons leur la chance d'une négociation et d'une réponse vraie, et
    avec correction.



    Cette
    approche ne garantit pas une amitié immédiate, et nous sommes prévenus de ne
    pas "regretter" d'avoir dit la vérité.  La première réaction des
    gens est souvent différente de leur réaction finale, mais  la façon dont
    d'autres gens réagissent envers nous n'est pas le sujet débattu ici;  nous
    prenons en main notre tâche, et si quelqu'un veut y contribuer, laissons-le
    faire.



    Si vous
    mentez par peur de ce que quelqu'un dira ou fera, c'est encore une meilleure raison
    de dire la vérité;  vous allez être prisonniers de vos peurs et vous vous
    sentirez inférieurs. Fournir des réponses exactes, qui servent les intérêts de
    toutes les parties de la question,  sert la Vérité, et Dieu.



     



    La seule
    chose que nous ayons en commun avec les autres est Dieu, et "Dieu est
    Vérité". Si nous sacrifions Dieu dans nos relations, nous perdrons la
    dimension dynamique de la relation la dimension où nous donnons, grandissons,
    et encourageons les autres à faire de même. En sacrifiant notre petit ego,
    notre "face" pour le bien de la Vérité, nous donnons une réelle
    valeur  à l'autre, et nous vivons selon notre devise—"en service
    aimant et désintéressé aux autres".



     



    Diamants à l'état brut



     



    Dire la vérité
    peut être difficile lorsque nous n'en faisons pas notre principe de guidance
    dans nos vies, mais en tant qu'aspirants spirituels, il y a pour nous un
    avantage supplémentaire  à dire la vérité.



    Max Heindel
    compare les étudiants Rosicruciens du Fellowship, à ce stade de leur parcours
    évolutionnaire, à des "diamants à l'état brut". C'est à travers la
    souffrance de la vie que nous sommes polis, que nous sommes clarifiés, et
    pouvons peu à peu recevoir et transmettre la Lumière.  Dire la vérité en
    regardant quelque chose dont nous sommes honteux peut très bien nous
    causer  la  douleur de l'humiliation. Mais nous ne devrions pas nous
    effaroucher de cette purgation. C'est une partie  de ce que nous
    expérimentons quand nous faisons l'offrande (de notre nature inférieure) sur
    l'Autel d'Airain dans les feux purificateurs de la rétrospection éclairée.



    Si nous nous
    protégeons de notre 'règlement de compte' par équivoque, que protégeons nous?
    Nos egos inférieurs. Qui blessons nous? Tout, y compris notre Soi supérieur,
    car nous interposons le tissu du mensonge entre le menteur,  notre soi
    personnel, et la Vérité vivante.



     



    Mais nous
    sommes effrayés. Que nous arrivera t-il?  C'est le point auquel nous nous
    reportons vers Dieu? Nous demandons que Sa volonté soit faite, non la nôtre.
    Si, en même temps que nous ayons refusé de mentir, nous nous sommes ouverts
    afin de permettre à l'autre une réprimande, nous nous sommes libérés de la
    prison de l'isolation, où notre péché nous aurait retrouvés.



    Il ne nous
    arrive pratiquement rien de négatif  auquel nous n'ayons contribuer d'une
    certaine manière, mais cela ne nous empêche pas de nous repentir, et de prier
    que le  Père montre Sa bienveillance envers nous. Cette bienveillance peut
    venir d'une direction inattendue, même de notre accusateur.



     



    Alors que les
    actions passées sont une "cause" des conditions présentes, ainsi les
    actions présentes détermineront notre futur, y compris les prières de
    repentance, qui peuvent aider à neutraliser les effets des mauvaises actions
    passées. Il nous est enseigné  de nous repentir et de prier pour le pardon
    pour de bonnes raisons. La première étape est de confesser notre mauvaise
    action. Dire simplement la vérité est la plus basique des confessions, et peut
    agir en dissipant les complexes névrotiques bâtis sur la culpabilité et les
    sentiments d'infériorité.



    C'est la
    sensation brûlante de l'humiliation, suivie par un remords sincère, qui efface
    la mémoire de nos erreurs de l'atome germe physique situé dans notre cœur.
    Aussi pourquoi se cacher d'une telle expérience?



     



    Si dire la
    vérité nous met face à face avec ce que nous avons été et fait, un état et une
    action que nous trouvons répréhensibles, alors pourquoi ne pas dire la vérité
    afin de pouvoir répudier et libérer cet état et cette action?



     



    Ne soyez pas
    effrayés;  car s'ouvrir aux autres en vérité dans tout ce que nous disons,
    peu importe



    Que ce soit
    fâcheux ou douloureux, nous apportera des récompenses que nous ne pouvons pas
    imaginer.



     

     


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