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    QUEL AVENIR POUR L HUMANITE

    Les chemins de l'intelligence
    L'intelligence ne dépend pas de la génétique, car nous n'utilisons en moyenne que 10% de nos capacités cérébrales. Ce qui compte, c'est notre aptitude à utiliser pleinement les possibilités de notre esprit.

    L'important est la façon dont nous traitons et organisons les informations, dont nous interprétons nos expériences, et plus globalement, la façon dont nous nous représentons la réalité.

    Voici donc quelques clés pour devenir "plus intelligent"...

    Penser par soi-même
    Ne pas faire son jugement en fonction de celui des autres, et ne pas prendre pour argent comptant ce qui est dit ou suggéré par les médias, la publicité, les responsables politiques. Faites usage de votre libre-arbitre et de votre discernement. Posez-vous toujours la question de savoir ce que VOUS pensez, en fonction de votre vision et de ce que vous ressentez réellement. Tout en étant simultanément ouvert et tolérant vis à vis des autres visions ou perceptions.

    Celui dont l'esprit ne produit aucune pensée autonome et ne contient rien d'autre que ce qu'on y a déversé est pour ainsi dire "sans valeur ajoutée". Fonctionnellement, ce n'est qu'un "récipient".


    Ecouter son intuition
    L'hémisphère droit du cerveau possède des capacités intuitives qui sont complémentaires de l'intelligence rationnelle du cerveau gauche.

    L'intuition résulte des synthèses d'informations qui s'effectuent de manière inconsciente dans le cerveau droit qui travaille de façon analogique et intuitive, tandis que le cerveau gauche travaille selon un mode logique et rationnel. Ces synthèses d'information intègrent l'ensemble des informations que nous enregistrons dans notre mémoire, y compris les perceptions que nous n'avons pas conscience de mémoriser mais qui sont malgré tout enregistrées par l'inconscient.

    L'intuition est capable de prendre en compte une multitude d'éléments dont nous n'avons pas conscience. C'est pourquoi il est essentiel d'être à l'écoute de l'intuition et de suivre ses conseils.

    Etre à l'écoute de l'intuition, c'est essayer d'écouter ce que l'on ressent profondément. Lorsque nous devons faire un choix, nous devons essayer d'être attentif aux sentiments et aux sensations que suscitent les différents choix possibles. S'agit-il d'un sentiment de bien-être ou de malaise? De légèreté ou de lourdeur?...

    Etre à l'écoute de l'intuition, c'est aussi être en contact avec notre inconscient, car c'est de là que proviennent les perceptions intuitives. Pour cela, nous devons être un minimum en accord avec nous-mêmes et avec notre inconscient. Car si nous ne pouvons supporter ce qui s'y trouve, l'inconscient devient totalement inaccessible au conscient, afin que ce dernier ne puisse pas voir ce qu'il ne veut pas assumer.

    Etre à l'écoute de l'intuition nécessite aussi un minimum de calme intérieur...


    Passer du noir et blanc à la couleur
    Beaucoup de personnes pensent en noir et blanc, c'est à dire de façon binaire: bien ou mal, vrai ou faux, 1 ou 0. Les conséquences du mode de pensée binaire sont le dualisme, l'absence de nuances, l'intolérance, et finalement la violence et les guerres.

    Un progrès réalisé par de plus en plus de personnes consiste à penser en "niveaux de gris", c'est à dire à distinguer des nuances entre les opposés. Des nuances de gris apparaissent alors entre le noir et le blanc. Cela permet à la réflexion de devenir un peu plus subtile, et aussi, un peu plus proche de la vérité.

    Mais l'idéal est de parvenir à voir la réalité EN COULEUR.

    Il ne reste plus ensuite qu'à augmenter la précision de notre représentation de la réalité (la "résolution" de l'image), afin de percevoir le monde avec toutes ses nuances, sa complexité, et sa beauté.

    Pour l'expérience complète en images, cliquer ici


    Passer de la logique binaire à la logique tétravalente
    Complément de l'intelligence intuitive, l'intelligence rationnelle est indispensable pour analyser certains problèmes. Elle fonctionne à la manière d'un logiciel, en analysant les informations selon une logique pré-définie. Le plus souvent, nous utilisons une logique binaire qui n'est capable d'envisager que 2 possibilités opposées (vrai ou faux, 1 ou 0, etc.) ce qui donne une vision simpliste et faussée de la réalité.

    La logique binaire est un peu la version 1.0 du "logiciel système" de notre intelligence.

    Une variante améliorée de la logique binaire est la logique tétravalente, qui est basée sur 4 possibilités. C'est la version 2.0 du "logiciel"...

    Par exemple, dans le cas de 2 propositions contradictoires A et B:

    la logique binaire envisage 2 cas:
    1 - A est vrai, et B est faux
    2 - B est vrai, et A est faux

    la logique tétravalente envisage 4 cas:
    1 - A est vrai, et B est faux
    2 - B est vrai, et A est faux
    3 - A et B sont faux tous les 2
    4 - A et B sont vrais tous les 2 (chacun à leur manière, ou à des niveaux différents)

    La logique tétravalente permet davantage de souplesse et de liberté d'esprit. Elle ouvre la voie au progrès suivant: la vision relativiste.


    Adopter une vision relativiste

    La vision relativiste amène à voir la réalité avec toutes ses nuances et sa subtilité. Elle va encore plus loin que la logique tétravalente, en envisageant un nombre illimité de cas possibles, et en évaluant chaque chose par rapport aux autres, et non en termes absolus. La même réalité peut être vue différemment, selon le point de vue de l'observateur...

    C'est pourquoi nous devons essayer de voir les choses avec un point de vue extérieur à soi-même, et en regardant chaque situation sous plusieurs angles simultanément.


    Un autre enseignement de la relativité concerne la causalité. Les humains ont souvent tendance à ramener les problèmes à une cause unique. Alors qu'en réalité, un problème a toujours de multiples causes, qui ont des degrés ou des niveaux d'influence différents. Certaines causes sont majoritaires et représentent 20 ou 30% de la causalité. D'autres causes, un peu plus nombreuses, "pèsent" entre 2 et 5%. Enfin, une myriade de "micro-causes" pèsent moins de 1%.


    La carte n'est pas le territoire
    La représentation que nous nous faisons de la réalité n'est pas la réalité elle-même. De même que la carte d'une ville n'est pas la ville elle-même.

    Nous devons tenir compte du fait que la réalité est toujours plus complexe et plus riche que ne le suggère notre carte.

    Ce principe a été rendu célèbre par Alfred Korzybski en 1933 dans ses travaux sur la "sémantique générale" et la logique non-aristotélicienne. En opposition avec Aristote pour qui le langage est un miroir fidèle de la réalité, Korzybski considère que le langage n'est pas la réalité mais une "carte verbale de la réalité". Ce principe est aussi illustré par Magritte dans son fameux tableau "Ceci n'est pas une pipe", pour montrer que l'image d'un objet n'est pas l'objet lui-même.


    Penser en 4D
    La plupart des humains pensent et voient le monde en 3 dimensions, les 3 dimensions d'espace de leur environnement. Pour réfléchir et agir, ils se basent sur une "représentation mentale" de la réalité qui est donc en 3D.

    Penser en 4D, c'est ajouter une dimension supplémentaire: le TEMPS.

    Ce qui distingue les grands stratèges (notamment en politique), c'est leur capacité à prendre en compte le temps, c'est à dire l'évolution des choses dans le temps.

    Ainsi, ils peuvent concevoir des stratégies à long-terme, qui utilisent les effets du temps sur les situations et les personnes. C'est ce qui permet de concevoir des stratégies dont la plupart des éléments restent invisibles pour l'adversaire, car ils sont situés dans le futur.

    Les stratégies conçues en 4D sont d'autant plus indétectables que leurs effets ne sont mesurables qu'à moyen ou long terme, mais ils sont alors inéluctables car ils ont modifié la structure de la situation en profondeur. (Les "Maîtres du Monde" sont experts dans ce domaine...)


    Prendre du recul dans l'espace et dans le temps
    Prendre du recul dans le temps, c'est prendre en compte le fait qu'à chaque époque, ce que la majorité croit être vrai, bon, ou indispensable peut être en réalité une erreur.

    Au Moyen-Age, la majorité des gens croyaient que la Terre était plate ou que le Soleil tournait autour de la Terre, censée être au centre de l'Univers.

    Au début du 20è siècle, la majorité des hommes croyaient indispensable de porter un chapeau, et la majorité des femmes croyaient indispensable de porter un corset.

    Au début du 21è siècle, la majorité des humains croient que le but de la vie consiste à atteindre toujours plus de jouissance en consommant le "best of" des biens et services de la planète.

    La société d'une époque doit être replacée dans son contexte global, celui de l'évolution humaine, et plus largement encore, celui de l'évolution de la vie sur Terre.

    Au niveau personnel, l'instant présent doit être replacé dans la perspective du temps global de notre vie, et du fait que nous sommes mortels.

    Il est aussi utile de prendre du recul dans l'espace. Cela consiste à élargir son champ de vision à partir du point d'observation où l'on se trouve. La société ou le pays auquel on appartient, la planète avec l'ensemble de ses peuples et de ses cultures, le système solaire, la galaxie, et finalement l'univers, et ses milliards d'autres mondes.


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  • APPRENDRE A PENSER

     

    être pauvre en esprit, être tout entier là sans autre but que "celui d'être tout simplement"...
    comme disait Ramana;" Ne méditez pas- Soyez! Ne pensez pas que vous êtes- Soyez! Ne pensez pas à l'être- vous l'êtes!
     
    (de chercher ce qu'est le voile et de comprendre) de respecter ce qu'il y a de plus pur dans l'humain.
    Par exemple...
    Au lieu de ne s'attacher qu'à l'apparence et au compte en banque...
    J'aime assez moyen être toujours remis en face de l'état de mon compte en banque car je n'ai absolument pas la sensation ni d'être de l'argent ni une carte d'identité...
    Donc ca sert à quelque chose... enfin ca devrait être le point central de nos société de laisser l'être s'exprimer...
     L'esprit n'est pas difficile à atteindre, mais impossible à éviter."
     En effet, le JE SUIS, la conscience est toujours présente sinon comment percevrais-je et le monde et moi-même en cet instant?
     A chaque moment je suis. Je suis conscient.
     Je me souviens d'un passage de Nisargadatta Maharaj où un visiteur lui dit: "Quand je suis près de vous, tout va bien, je me sens en paix, je suis dans l'être mais dès que je m'en vais, à nouveau je me sens mal"
     Et Maharaj lui répond :"Mais pouvez-vous ne pas être?"
     Impossible de ne pas être. Je suis. Maintenant. Sans effort. La lumière de la conscience est déjà allumée.
     Nous pensons que celui qui est conscient est un individu humain, limité.
     En fait non. C'est la clarté-vacuité qui est consciente.
     Il suffit juste d'un petit recul en soi-même pour le voir.
     jlr
     « En d'autres termes, la réalité ultime n'est pas quelque chose de vue, mais plutôt le témoin qui regarde, toujours présent. Les choses qui sont vues vont et viennent, sont heureuses ou tristes, agréables ou douloureuses, mais celui qui regarde n'est rien de toutes ces choses, et il ne va pas et ne vient pas. Le Témoin ne se désiste pas, ne chancelle pas, n'entre pas dans le flux du temps. Le témoin n'est pas un objet, pas une chose vue, mais l'observateur toujours-présent de toutes choses, le simple Témoin qui est le Je de l'Esprit, le centre du cyclone, l'ouverture qui est Dieu, la clarté qui est pure vacuité. Il n'a jamais existé un temps où vous n'avez pas eu accès à cette connaissance de témoin. A chaque moment il y a une connaissance spontanée de tout ce qui se passe dans le présent, et cette connaissance simple, spontanée, sans effort est l'Esprit lui-même toujours présent. Même si vous pensez que vous ne le voyez pas, cette pensée même est lui. Ainsi, le stade de conscience ultime, l'Esprit intrinsèque lui même, n'est pas difficile à atteindre mais impossible à éviter. Et là est le grand secret bien gardé des écoles de pensées non duelles. »
     "Il semble que l’on peut montrer du doigt le « moi »
    qui souffre, qui jouit, qui expérimente, qui se vexe
    d’une humiliation ou s’exalte d’une flatterie. Et
    pourtant,... s’il existait réellement il devrait être
    une « substance » distincte de la pensée. Or ce
    n’est pas le cas. Si nous tentons d’observer la
    « sensation du moi » en dehors des pensées, elle se
    dissipe. Lorsque nous cherchons à déterminer où
    elle se situe, lorsque nous tentons de l’isoler pour
    l’identifier, elle fuit, elle s’échappe et disparaît.
    Comme le dit le lama Tartang Tulkou : « Lorsque
    vous regardez l’image (de vous-même)
    directement, elle se disperse car elle est vide, sans
    substance ». (L’Esprit caché de la liberté, p. 94).
    Le « moi » apparaît donc comme un « effet de
    perspective ». Il se maintient seulement dans la
    mesure où il se dissimule parce que ses racines
    demeurent obscures. En le maintenant en pleine
    lumière, il perd son pouvoir de fascination et se
    dissipe...
    Mais il est évident que cette prise de conscience
    de la vraie nature du « moi » ne peut pas se faire
    instantanément. Elle demande d’être sans cesse
    reprise, approfondie. Avec la pratique, la distance
    se fera toujours plus grande avec le mental. Le
    caractère illusoire du « moi » deviendra de plus
    en plus évident. Nous intégrerons cette réalité et
    nous nous laisserons de moins en moins emporter
    par le flux des pensées. Elles tendront à se
    détacher un peu comme une écorce se détache.

    Un jour, cette distance avec le « moi » devient
    effective. Il se cristallise et apparaît comme une
    entité extérieure. Il se dessine par contraste avec
    la « pure conscience d’être », la Présence. Nous
    sommes confrontés à ce faux nous-mêmes qui est
    à la fois une entité étrangère et notre « moi ». Et
    une fois qu’il est vu, il est abandonné.
    Un jour, cette compréhension amènera la
    disparition effective du « moi », sa dissolution, ou
    plus exactement il sera perçu comme un aspect
    de la pure conscience, son essence et il se
    résorbera définitivement en elle comme
    l’étincelle se résorbe dans la flamme.
    D’après ce qu’il nous avait raconté, c’est une
    expérience de cet ordre qui était arrivé à Jean
    Klein, à Bombay. Il se promenait sur la plage de
    Marine Drive, lorsqu’il vit un vol d’oiseaux qui
    était comme l’image, l’incarnation de son
    « moi ». Ce vol d’oiseaux passa devant lui et
    disparut pour s’évanouir définitivement dans
    l’horizon. Après, surgit l’expérience de l’éveil.
    Lorsque nous sommes libérés de l’emprise de
    l’illusion, la pensée n’est en rien différente de
    l’état de clarté. L’univers est une grande unité
    sans distinctions. Chaque pensée, chaque
    émotion, chaque sensation, est une totalité
    parfaite, comme le moindre brin d’herbe est
    parfait." Erik Sablé
     Source:http://www.canalblog.com/

     

    Mesurer la hauteur d’un immeuble avec un baromètre
     Cette anecdote est racontée par Ernest Rutherford, la scène se passe vers 1910 dans l’université de Manchester.
     

    J’ai reçu un coup de fil d’un collègue à propos d’un étudiant auquel il estimait devoir mettre zéro à une interrogation de physique, alors que l’étudiant pensait mériter 20/20. Mon collègue et son étudiant s’étaient alors mis d’accord pour me choisir comme arbitre impartial. Je lus la question de l’examen : « Montrez comment il est possible de déterminer la hauteur d’un immeuble à l’aide d’un baromètre ».Je compris que mon collègue souhaitait voir l’étudiant mettre en oeuvre ses connaissances sur l’évolution de la pression atmosphérique avec l’altitude, mais celui-ci avait simplement répondu : « On monte le baromètre en haut de l’immeuble, on l’attache avec une longue corde, on le fait glisser jusqu’au sol, ensuite on le remonte et on mesure la longueur de la corde qui correspond à la hauteur de l’immeuble».
     Cette astucieuse proposition répondait bien à la question posée, mais l’étudiant n’avait montré aucun de ses qualités scientifiques et il semblait impensable de lui délivrer un diplôme de physique, dans ces conditions !
     Je lui ai donc proposé un rattrapage en lui donnant 10 minutes pour répondre à la question précédemment posée mais en l’avertissant qu’il devait utiliser ses connaissances en physique.
     Comme après 5 minutes, il n’avait toujours rien écrit, je lui ai demandé s’il abandonnait. Il me répondit qu’il avait trouvé beaucoup de solutions à ce problème et qu’il cherchait la meilleure d’entre elles. Je me suis excusé de l’avoir interrompu et l’ai laissé poursuivre sa réflexion.
     Dans la dernière minute, il se hâta pour me répondre : « On place le baromètre à la hauteur h du toit. On le laisse tomber en mesurant son temps de chute t avec un chronomètre. Ensuite en utilisant la loi de la chute des corps : h = gt2/2, on trouve la hauteur de l’immeuble».
     J’ai regardé mon collègue qui se résigna à donner une excellente note à l’étudiant : cette réponse, scientifiquement correcte, n’était certes pas celle qu’il attendait, mais montrait que l’étudiant avait une certaine culture en physique.
     En quittant son bureau, j’ai rattrapé l’étudiant pour qu’il m’expose les autres solutions qu’il avait trouvées à ce problème.
     « Eh bien, me dit-il, il y a vraiment de nombreuses façons d’évaluer la hauteur d’un immeuble avec un baromètre :
     - tout d’abord, on peut le placer dehors lorsqu’il y a du soleil, on mesure la hauteur de son ombre ainsi que celle de l’immeuble, et en connaissant la hauteur du baromètre, on détermine celle de l’immeuble,
     - il y a aussi une méthode très basique que vous allez apprécier. On monte les étages avec le baromètre, on marque la longueur du baromètre sur le mur. En comptant le nombre de marques, on déduit la hauteur de l’immeuble en longueurs de baromètre.
     - bien sûr, si vous voulez une méthode plus sophistiquée, vous pouvez pendre le baromètre à une corde en étant sur le toit de l’immeuble, le laisser descendre jusqu’au raz du sol, le faire balancer comme un pendule et mesurer sa période d’oscillation. Cette période dépend de la longueur L de la corde et vaut 2πgL, la meure de la période avec un chronomètre permet de retrouver L qui correspond à peu de chose près à la hauteur de l’immeuble».
     Finalement, il conclut : « Il y a encore bien d’autres façons de résoudre ce problème, la meilleure étant probablement d’aller frapper à la porte du concierge et lui dire « je vous offre ce superbe baromètre si vous me dites quelle est la hauteur de cet immeuble »».
     Sans douter de sa réponse, j’ai quand même demandé à l’étudiant s’il connaissait la solution qu’on attendait de lui. Il a admis qu’il la connaissait mais qu’il en avait assez des professeurs qui essayaient de lui apprendre comment il devait penser.
     Cet étudiant s’appelait Niels Bohr. (Niels Henrik David Bohr (7 octobre 1885 àCopenhague,Danemark -18 novembre 1962 àCopenhague,Danemark) est unphysicien danois. Il est surtout connu pour son apport à l'édification de lamécanique quantique, pour lequel il a reçu de nombreux honneurs.)


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  • Image du Blog virtuellife.centerblog.net

    Réalité matérielle.

    Réalité signifiante.

    Réel.

    L'ordinateur sur lequel je travaille existe. Je ne peux pas le nier, il est là, dans sa matérialité. Il disparaîtra d'ailleurs quand il ne fonctionnera plus, c'est à dire lorsque ce que pour quoi il a été créé ne lui concèdera plus ce statut de "réalité matérielle".

    Cette réalité matérielle est générée par nos besoins. Certains sont vraiment essentiels, d'autres très superficiels. Cette réalité matérielle a une telle incidence sur notre vie quotidienne qu'elle finit même par influer sur les phénomènes liés à la "réalité signifiante".

    Notre conscience dispose de deux manières pour se représenter le monde. L'une correspond à la représentation exacte d'une réalité connue, la réalité matérielle, l'autre symbolise la perception intérieure de quelque chose d'impossible à voir.

    Cet ordinateur n'aurait aucune réalité signifiante pour un Mentawais ou un Aborigène. Il faudrait qu'ils changent leur représentation intérieure pour que cette réalité matérielle devienne tangible et prenne du sens. De la même façon, dans la jungle de Bornéo, nous serions confrontés à une réalité matérielle (environnementale) tellement déstabilisante que nous n'y trouverions qu'une durée de vie très limitée...

    La réalité du monde n'est pas la même pour tous.

    La réalité signifiante a tendance à unifier les individus les uns aux autres. Il s'agit du monde des significations construites par la pensée, par l'intermédiaire du langage, de l'imaginaire social institué, de l'imaginaire religieux ou de l'inconscient collectif, cette fabuleuse "matrice" qui agit sur nous comme un virus indécelable. 

    Ce monde est un espace signifiant et limité par des cadres très précis.   

    Dans la réalité signifiante, nous fonctionnons par accumulation de savoirs et par l'analyse rationnelle des phénomènes. C'est un monde conceptuel indispensable pour créer du sens. Les hommes y trouvent bien entendu toutes les marques d'appartenance qui leur sont si chères...Chacun se reconnaît et s'identifie à diverses catégories de sens. Les castes, les groupes, les peuples y prennent forme, nourris par les religions, les philososophies, les comportements sociaux, les idéaux, les fanatismes...

    La réalité matérielle a une influence considérable sur cette réalité signifiante. Il est reconnu par les Occidentaux par exemple que la BMW apporte une image sociale ou mieux encore la Rollex...Le matériel permet d'entrer dans une catégorie et d'être reconnu. Le signifiant que l'homme a donné à cette réalité matérielle qui n'en avait pas à priori a fini par apporter à cette réalité matérielle un pouvoir d'unfluence sur la réalité signifiante...Etrange échange de "bons" procédés qui s'entretiennent et sont renforcés à tous prix (très cher le prix bien entendu...). Les "maîtres" de la réalité signifiante savent user de la dialectique, des médias, de la "people attitude" pour abreuver la réalité matérielle et manipuler les masses.

    "J'existe parce que je possède une belle maison, que je roule en BMW et que je donne l'heure avec une Rollex. J'aime cette réalité signifiante et j'y adhère corps et âme. Et tant pis pour ceux qui doivent se contenter d'un HLM, d'une 4L et de la pendule de la cuisine. Nous ne sommes pas du même monde, nous n'avons pas les mêmes valeurs."

     La mondialisation est une oeuvre de déliquescence intellectuelle. Elle consiste à construire une réalité signifiante planétaire. L'imagination doit être restreinte afin de répondre aux lois du marché. L'inconscient collectif se doit d'être régulé à des fins bien précises.

    La création artistique elle-même entre dans des cadres de reconnaissance très précis. La rentabilité est son tuteur. A moins de créer pour soi et de ne pas chercher à diffuser aux autres étant donné que ça nécessite des structures financières, économiques, concurrentielles.

    Soit on l'accepte, soit on créé pour son propre bonheur. Ultime liberté ?

    Cette création solitaire favorise l'émergence d'une autre conscience. En s'extirpant des modèles et des phénomènes générés par la réalité signifiante, l'individu peut accéder à une dimension spirituelle qui n'est pas gangrénée par la pensée commune.  

    C'est là qu'apparaît le réel. Il a toujours été là d'ailleurs. Mais on ne le voyait plus.

    Le réel serait donc ce qui reste lorsque la réalité matérielle aurait retrouvé sa place originale, qu'elle ne servirait plus à constituer une réalité signifiante dissimulant des objectifs innommés...Je devrais par conséquent jeter cet ordinateur portable qui n'a aucune nécessité autre que celle que je lui ai donnée, cette réalité qui me permet d'entrer en contact avec quelques uns de mes semblables et de leur proposer cette réflexion qui me valorise...Hum, hum...La réalité signifiante de cet appareil est donc de me permettre d'exister dans une réalité que j'ai créée à des fins peu louables...Je me suis fait piéger...J'aurais mieux fait d'aller voir mes voisins immédiats, d'allumer un feu de camp, de les inviter à discuter sous les étoiles. Pas d'ordinateur, pas d'électricité, pas d'abonnement téléphonique et d'ADSL...Ah, l'ADSL, mais comment j'ai pu vivre sans ça pendant aussi longtemps ?...Autrefois ils faisaient une veillée auprès de la cheminée. Les Anciens racontaient des histoires, les enfants grandissaient dans la réalité signifiante de leurs aînés. Une réalité signifiante aussi simple que la réalité matérielle...D'ailleurs, nous aussi on aime ces vieux refuges de montagne avec leur vieux poêle à bois. 

    Mais on ne resterait pas y vivre.

    Qu'est-ce qui s'est passé ?

    Pourquoi a-t-on laissé le réel disparaître ? Pourquoi la réalité matérielle a-t-elle pris une place si importante que la réalité signifiante s'en nourrit et simultanément l'entretient ?

     C'est la perte du silence.

    "Nous ne nous connaissons pas encore parce que nous n'avons pas encore commencé à nous taire ensemble." Albert Camus.

     Aujourd'hui, des gens partent dans des retraites bouddhistes ou autres pour entrer dans le silence, dans la méditation, dans la quête spirituelle...Je commence à craindre dans tout ce mouvement l'apparition d'une réalité signifiante peu glorieuse, une recherche identitaire pour combler un vide bien compréhensible. "Tu sais quoi, maintenant je suis Bouddhiste, tu sais, tu devrais t'y mettre, c'est vraiment chouette..."

    Les lois du marché ne sont jamais loin de ce genre de "quête"... Robe rouge, tonsure, sandales et moulins à prières, stages et séminaires, conférences, livres et DVD...Bon, j'exagère...Un peu...Il y a bien entendu des gens honnêtes...Un peu...

     Alors, où il est ce réel ? Comment je dois m'y prendre pour rétablir l'équilibre entre une réalité matérielle qui doit être à mon service et non l'iverse, comment je dois m'y prendre pour me nettoyer des réalités signifiantes (et souvent insignifiantes...) qui me servent de balises ou de projecteurs ?

     Le silence.

     Le silence du monde, de la nature, des espaces vides d'hommes ou tout du moins de tout ce qui aujourd'hui représente l'homme.

    Pas de séminaires bouddhistes, taoistes, zen, zazen, pas d'églises catholiques, protestantes, musulmanes, scientologistes, survivalistes, et autres dérives en tous genres.

     Le silence du désert, le silence des montagnes, de l'Océan, des forêts profondes.

    Un feu de camp sous la lune et les étoiles. Peut-être un autre voyageur qui viendra attiré par les flammes, la chaleur, la communion d'âmes. Ils parleront d'autres territoires, des baies qu'il a trouvées sur la piste, du poisson qu'il a pris, de la cabane qu'il va construire, des villes qu'il a aperçues au loin, sous le brouillard...

     Nous vivons dans la cacophonie de nos cerveaux rentabilisés par des réalités signifiantes. Et dedans, ça cause en permanence.

     L'humanité s'est perdue en perdant le silence. Et chaque individu devrait apprendre à se taire. Pour enfin découvrir qui est à l'intérieur.       

    Source: http://www.la-haut.e-monsite.com/


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  • POUVOIRS

     

     

    Des lampes qui brillent pour l’éternité 

     

     

    De nombreux auteurs grecs, arabes, romains et médiévaux ont rapporté les découvertes de ces lampes au fil des siècles, dans des tombeaux la plupart du temps, mais aussi dans des temples de l’antiquité.

    La description des lampes éternelles remonte à la plus haute antiquité.

    De nombreux auteurs, religieux, alchimistes et autres curieux, se sont intéressés à ces lampes impossible. Pour les uns, elles étaient l’oeuvre du diable, même si les religieux eux-même n’y voyaient que des lampes aux propriétés étonnantes, mystérieuses mais non magique. Pour les autres, elles n’étaient que supercheries, puisque si, eux ne pouvaient fabriquer de telles lampes, elles ne pouvaient donc pas exister.

    Quelques rares hérétiques, quant à eux ont cherché une explication ou se sont mis en quête de ce savoir perdu. Ainsi en cherchant à prouver la réalité de ces lampes impossibles, l’alchimiste allemand Brand de Hambourg, découvrit en 1969 le phosphore.

    De nombreuses hypothèses ont été émises sur la nature de ces différentes lampes, la plupart ont besoin d’air pour se consumer, d’autres au contraire, s’éteignent au contact de l’air (?), certaines émettent une flamme, d’autres sont phosphorescentes, leurs mèches semblent être en amiante (la laine de salamandre) ou en métal, l’huile reste mystérieuse, pour certains elle serait bitumeuse, pour d’autres, issue de l’or par un procédé alchimique secret, ou encore d’origine végétale (notamment l’huile tirée d’une espèce égyptienne de haricots toxiques)…

    Exemples de découvertes de ces lampes impossibles dans les siècles :

    * Le satiriste grec, Lucian (120-180), vit au cours de ses voyages en Syrie, sur le front d’une statue d’Héra un bijoux brillant qui la nuit illuminait tout le temple.

    * Numa Pompilius, le second roi de Rome, outre sa capacité à maîtriser la foudre, possédait également une lampe éternelle dans le dôme de son temple.

    * Plutarque rapporte qu’à l’entrée d’un temple dédié à Jupiter-Ammon, une lampe brûlait, selon les prêtres depuis la plus haute antiquité.

    * Le naturaliste romain, Pliny théorisait sur le fait qu’une lampe remplie de l’huile la plus pure avec une mèche en amiante, pourrait brûler pour toujours.

    * St Augustin (354-430) nous a laissé la description d’une lampe merveilleuse d’un temple dédié à Isis en Egypte, que ni le vent, ni la pluie ne pouvaient éteindre.

    * Durant le règne de Justinien de Byzance en 527, en rénovant un vieux bâtiment à Edessa en Syrie, on trouva dans une niche dissimulée et scellée, un crucifix et une lampe qui aurait brûlé pendant 500 ans.

    * En l’an 600, sur l’ile volcanique de Nesis près de Naples, on trouva dans une tombe en marbre, un vase contenant une lampe dont la flamme brillait dans une ampoule en verre ; celle-ci s’éteignit lorsque le verre fut brisé. La tombe datait de l’ère pré-chrétienne.

    * Vers 1300 Marcus Grecus écrivait dans son « liber Ignium » (livre sur le feu) que l’on pouvait faire une lampe inépuisable avec une pâte à base de vers luisants.

    * Près de Rome, en 1401, on trouva le sépulcre de Pallas fils du roi troyen Evandre, illuminé par une lanterne perpétuelle qui était restée allumée pendant 2600 ans.

    * Sur la voie Appienne près de Rome, en avril a485 on ouvrit la tombe de Tullia, fille de Cicéron, décédée en 44 avant J.C., une lampe qui brûlait faiblement surprit les découvreurs qui la brisèrent. Elle avit brûlé pendant plus de 1500 ans.

    * Ludovicius Vives en 1610, dans ses notes sur St Augustin, dit que du temps de son père, en 1580, une lampe fut trouvée dans une tombe. Elle se brisa lorsqu’on essaya de la prendre. Une inscription révéla qu’elle était vieille de 1500 ans.

    * En 1681 près de Grenoble, un mercenaire suisse nommé Du Praz trouva une étrange lampe en verre qui brûlait dans une tombe scellée. La lampe , toujours incandescente, fut ramenée dans un monastère proche où elle continua à brûler pendant plusieurs mois, jusqu’au jour où un moine âgé la brisa.

    * On trouva une autre lampe, dans une ancienne tombe romaine découverte en Espagne près de Cordoue en 1846.

    * Enfin je terminerai par le père Evariste-Régis Huc (1813-1860), qui a beaucoup voyagé en Asie, a laissé la description d’une lampe perpétuelle qu’il a pu voir au Tibet.

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    QUEL AVENIR POUR L HUMANITE

     

    QUEL AVENIR POUR L HUMANITE

     

     

    Les secrets d'un patriarche :

     

    « La découverte qui aurait pu changer le monde »

     

    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un ingénieur français découvrait l'influence du rayonnement cosmique sur le vivant ...

     

    « La découverte qui aurait pu changer le monde »

     

    Marcel Violet (1886 - 1973), ingénieur des Arts et Métiers et inventeur français, considéré comme le père du moteur à deux temps pour les automobiles.

     

    Il s'est inspiré des travaux dans les années vingt du physicien et biologiste français, Georges Lakhowsky, l'un des premiers à étudier les relations entre les radiations cosmiques et les phénomènes vitaux, qui conclut que les rayonnements cosmo-telluriques ont une influence, bonne ou mauvaise, sur la vie.

     

    Les expériences de Marcel Violet l'amènent à constater, à partir de 1938, l'existence d'un rayonnement pénétrant non lumineux qui, associé au rayonnement lumineux visible, en modifie profondément l'action.

     

    Il expérimente que l'eau soumise à ce rayonnement donne des effets bénéfiques sur la santé et la croissance des plantes.

     

    Après la Seconde Guerre mondiale, il consacre ses recherches à l'explication de ces phénomènes et invente notamment un procédé de traitement électro-vibratoire de l'eau (brevet FR1142722).

     

    Energie vitale ?

     

    C'est dans son livre (1) qu'il explique les résultats de ses recherches. En voici les extraits principaux concernant notre sujet :

     

    « Ces diverses observations constituent une confirmation - sinon une preuve formelle -  de la justesse de l'hypothèse de travail précédente. Elles semblent établir que le rôle fondamental de l'eau en biologie tient essentiellement à sa capacité d'absorber, puis de restituer, certains rayonnements capables par ailleurs de jouer un rôle strictement actif sur les substances vivantes.

     

    Ces rayonnements constitueraient-ils donc "l'énergie vitale"? (...) La guerre survint et m'obligea à interrompre mes recherches pour me consacrer à d'autres occupations. J'avais cependant conservé la liaison avec les Officiers de la Section Technique de l'Armée et, lorsqu'en 1948, je reçus du général Sabatier son remarquable travail, ce fut pour moi un trait de lumière. (...)

     

    Les extrapolations de Sabatier et la question qu'il posait : "Sommes-nous en présence des ondes biologiques ?" trouvaient leur réponse dans mes expériences. Nous touchions indiscutablement aux origines de la Vie et, peut-être, à la Vie elle-même.

     

    Nous allons essayer d'exposer, en y mettant un peu d'ordre, tout un ensemble d'expériences qui ont eu lieu, dans un empirisme complet au début, puis s'ordonnant au fur et à mesure que les résultats apparaissaient, pour atteindre enfin le stade du contrôle systématique, en attendant celui de la connaissance scientifique complète. »

     

    Essais sur le végétal…

     

    Marcel Violet explique ensuite son procédé consistant, grosso modo, à capter des ondes et exposer de l'eau à leur rayonnement. Après de nombreux tâtonnements : « Le résultat fut immédiat. Je fus à même de produire une eau dont les effets accélérateurs sur la germination des graines permettaient des contrôles et des mesures. Nous sommes restés de longues années à utiliser le phénomène sans pouvoir l'expliquer. (...)

     

    À la demande du ministère de l'Agriculture, il fut procédé à des essais systématiques de l'influence des ondes biologiques sur la croissance et la composition des plantes.

     

    Différents procédés sont utilisés, notamment :

     

    - Trempage des graines dans l'eau traitée par les ondes biologiques. Les graines séjournent en général quinze minutes dans l'eau avant d'être mises en terre. L'expérience était comparée à la croissance de plantes témoins dont les graines étaient simplement trempées dans de l'eau non traitée.

     

    - Arrosage des plantes avec de l'eau traitée diluée.

     

    - Traitement des plantes avec des gaz chargés d'ondes biologiques. Les expériences sont complétées par des expériences-témoins identiques, effectuées en même temps, mais avec de l'eau de même nature, non traitée.

     

    Les premiers résultats ont déjà été enregistrés : Carottes de Croissy récoltées après huit semaines de végétation, en même temps que les témoins. Les témoins pèsent en moyenne 60 grammes. Les plantes traitées pèsent en moyenne 80 grammes, certains sujets exceptionnels atteignant 1 200 grammes.

     

    L'analyse de la composition (minéraux, vitamines etc.) ne révèle aucune différence. La saveur et la consistance sont apparemment identiques.

     

      

    Les carottes proviennent de graines d'un même paquet et ont été semées le même jour dans la même terre. La graine du 1 n'a pas été traitée. La graine du 3 a subi un trempage de huit heures dans l'Eau traitée agricole. La carotte 2 provient d'une plantation antérieure oubliée, elle est dure et non comestible, mais montre le développement maximum normal de cette variété.

     

    Betteraves fourragères - La partie témoin a donné 99 tonnes l'hectare. Poids moyen, 2 kg. La partie dont les semences avaient subi le trempage, a donné 113 tonnes à l'hectare. Poids moyen 2,25 à 2,3 kg. La partie dont les semences avaient été traitées, mais qui avait en outre subi un arrosage à mi-végétation, a donné 126 tonnes à l'hectare. Poids moyen 2,4 kg avec des sujets atteignant 8 kg !

     

    Les analyses très précises effectuées sur les différents sujets n'ont révélé aucune différence de composition.

     

    Pommes de terre.

    Toute une série d'essais effectués sur les pommes de terre devaient conduire à des résultats tels que la conclusion qui en découle est d'une importance capitale dans l'évolution de la biologie.

     

    Voici un résumé des premiers résultats d'essais entrepris en 1967 dans des cultures maraîchères en serres, dans l'Aisne. Les plantes ont été arrosées à l'eau électro-vibrée en dilution à 10%, deux fois à trois semaines d'intervalle après le semis. »

     

    Ces pommes de terre ont été mises à germer ensemble. Les premières n'ont pas subi de traitement préalable. Les secondes ont été traitées par les procédés Marcel Violet.

     

    Des arbustes de tomates.

    Marcel violet présente ensuite les résultats sur les melons, les concombres, les salades, le céleri, avant d'arriver aux tomates…

     

    Tomates - Il a déjà fait un rapport sur le comportement des plants de tomates arrosés à l'eau électro-vibrée. Au lieu de pousser en hauteur, elles se développent en largeur, formant des arbustes forts avec un tronc large de 2 cm de diamètre. L'abondance des grappes est spectaculaire. (...)

     

    Les premières expériences  de traitement de plantes comportèrent de nombreux échecs : selon l'électrode employée pour préparer l'eau, la croissance de telle ou telle espèce était améliorée, alors que d'autres restaient indifférentes et que d'autres encore se voyaient contrariées.

     

    Le botaniste ou l'agronome, d'ailleurs, n'en seront guère surpris, connaissant l'extrême diversité des besoins minéraux dominants des différentes plantes. Le problème humain est d'ailleurs essentiellement différent du problème agricole puisque, en général - à tort ou à raison d'ailleurs - tandis que l'on recherche à stabiliser l'homme adulte.

     

    Remarquons encore que la plante, immobile dans son environnement, est beaucoup plus influencée par une multitude de facteurs qu'elle y rencontre : composition du sol, climat, voisinages, etc.

     

    C'est pourquoi les eaux utilisées en agriculture ne seront jamais les mêmes qu'en diététique. Seuls les établissements spécialisés pourront fabriquer une eau convenant à chaque usage envisagé, qu'il s'agisse de trempage de graines ou d'arrosage (sans matériel métallique, bien entendu).

     

    Les perspectives d'utilisation de l'eau traitée dans le domaine agricole n'en sont pas moins fabuleuses.

     

    Au cours de son assemblée annuelle de 1966, la FAO reconnaissait l'échec des techniques actuelles de fertilisation et de lutte contre les facteurs de destruction des récoltes et de moyens de production, notamment les maladies cryptogamiques et les parasites, face à la montée démographique.

     

    « L'utilisation systématique de l'eau traitée semble offrir des perspectives fabuleuses... »

     

    Dans ce domaine, l'utilisation systématique de l'eau traitée semble offrir des perspectives fabuleuses, puisque le traitement peut être effectué partout, ou presque et dans des conditions de rentabilité inespérées, par comparaison avec les autres techniques.

     

    Peut-être une action vigoureuse dans ce sens pourrait-elle encore sauver des régions entières du développement actuel et surtout prochain, du paupérisme et de la misère physiologique. En tout cas, c'est la première chose à tenter ! »

     

    Ainsi on peut constater qu'après la Seconde Guerre mondiale, des expériences sur l'agriculture  et les végétaux ont été menées pendant près de vingt ans, certaines à l'initiative du gouvernement français, avec des résultats spectaculaires.

     

    Pourtant, c'est la voie du tout-chimique qui fut choisie ensuite, reléguant aux oubliettes de l'histoire les travaux de ces précurseurs. Même si on comprend bien les (en)jeux à l'œuvre, au moins on sait à qui a profité et profite toujours le "crime"... ?

     

    Notes :

    1. Le Secret des Patriarches - L'énergie cosmique au service de la santé, Marcel Violet et Michel Rémy, éd. Vie et Action, 1968

     

    Les travaux de Marcel Violet auraient peut-être pu avoir des répercussions exceptionnelles sur la santé et d'autres domaines.

     

    Source Nexus N° 65 

     

    Cela n’est pas sans rappeler toutes ces fabuleuses découvertes qui pour la plupart sont restées lettres mortes, et qui pourtant pourraient changer complétement notre monde et notre société…

     

    Ou ces fameuses découvertes qui ne sont presque pas connu du grand publique…

    http://data0.eklablog.com/lavraierealite/mod_article2579729_2.jpg


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    UNE 5 EME DIMENSION
     
    1919
    L'idée d'un nombre de dimensions supérieur à 4 n'est pas nouvelle. Cette hypothèse a été émise par T. Kaluza, un mathématicien germano-polonais. Ce dernier utilisait une 5ème dimension pour unifier les deux interactions connues à l'époque : l'électromagnétisme développée par J.C. Maxwell, et la gravitation introduite par A. Einstein. La théorie de Kaluza à le mérite de préserver toute la beauté géométrique de la relativité générale, mais y ajoute la lumière en tant que vibration dans la cinquième dimension.
     1926 - O.Klein
    La théorie de Kaluza est améliorée par O.Klein, un physicien suédois. Il parvient à expliquer pourquoi on ne peut pas percevoir cette dimension supplémentaire. Il émet l'hypothèse qu'elle est enroulée sur elle-même telle une feuille dont on ferait un cylindre.
     Il suffit alors que ce cylindre ait un rayon extrêmement petit pour devenir imperceptible et se confondre avec une simple ligne, un peu comme un fil de soie très fin ne semble avoir qu’une dimension (la longueur), alors qu’il suffit de le regarder au microscope pour s’assurer qu’il a bien un certain diamètre. Vers 1930, la théorie Kaluza-Klein s'effaça devant la déferlante de la mécanique quantique.
     
    LA MECANIQUE QUANTIQUE
     
    1930
    E. Schrödinger et W. Heisenberg développent la mécanique quantique, une théorie de l'infiniment petit dans laquelle les particules de matière interagissent entre elles par l'échange de petits paquets d'énergie appelés quanta.
    L’électron n’est plus décrit comme une particule à laquelle on peut attribuer une orbite précise.
     Le principe d'indétermination montre que l'on peut seulement déterminer avec précision la position ou la vitesse d'une particule mais jamais les deux à la fois. Ce principe se trouve à l'origine du système probabiliste de la mécanique ondulatoire.
     
    LA THEORIE DES CORDES
     
    Tout ce qui existe dans l' univers serait constitué non pas de particules assimilables à des points comme on le pensait jusqu'à alors mais plutôt à des cordes, sorte de fils ultra minces à une seule dimension...
     
    L'intérêt de la théorie des cordes pour les théoriciens de la physique est qu'elle surmonte, et par là même unifie, les 2 grandes théories de la physique moderne : celle de la "relativité générale" et celle de la "mécanique quantique".
     
    Jusque là, la relativité générale d'Einstein et la mécanique quantique se sont partagéEs les 4 forces fondamentales auxquelles sont liés tous les phénomènes de la nature.
     
    Ces forces étant la gravitation, l'électromagnétisme, l'interaction faible, et l'interaction forte. Les scientifiques tentèrent alors de combiner ces 4 types d'interactions à l'aide de la théorie dite de la supersymétrie. Mais le problème s'avère néanmoins ardu, les physiciens ne parvenant pas à englober l'interaction gravitationnelle dans leur théorie unificatrice...
     
    LA SUPERSYMETRIE
     1971
     Les physiciens rêvent donc d'unifier toutes les interactions existantes en une seule Superforce, laquelle aurait comme propriété une supersymétrie qui unirait les fermions (particules de matière) aux bosons (particules de force).
     
    La supersymétrie transforme la fonction d'onde (représentation mathématique de l'état quantique) d'une particule ordinaire en celle d'une hypothétique superparticule (appelée sparticule) en modifiant la valeur de son spin (rotation de la particule sur elle-même).

    Chaque particule va donc être associée à une sparticule correspondant
     PARTICULES SPARTICULES

    photon
    photino

    gluons
     gluinos
     
    W+, W-, Z0
     winos, zino
     
    graviton
     gravitino
     
    Higgs
     Higgsino
     
    quarks
     squarks
     
    lepton : électron
     slepton:sélectron

    lepton : muon
     slepton : smuon
     
    lepton : tau
     slepton : stau
     
    lepton : neutrinos
     slepton:sneutrinos


    1991-1995 : ondes et particules (louis de broglie)
     Parce que les constituants de la matière sont à la fois des ondes et des particules, le défi que s'est lancé la théorie des cordes est de réconcilier ces deux points de vue... Louis de Broglie précisera à ce sujet que les ondes peuvent justement se comporter comme des particules, et vice versa.
     
    LES SUPER CORDES VIBRENT
     
    1980
    La théorie des supercordes obéit aux lois de la supersymétrie. Certaines cordes se refermeraient en boucles, d'autres seraient ouvertes et comporteraient donc deux extrémités. Mais leur longueur à toutes seraient des milliards de milliards de fois inférieure à celle d'un noyau d'atome.
     
    A plus grande échelle, elles apparaîtraient comme de simples points et l'on retrouverait alors l'aspect de nos particules "habituelles". Dans la théorie des supercordes, toutes les particules existantes ne seraient en fait que différents modes de vibration d'une seule et unique supercorde...
     
    L UNIVERS SELON CALABI YAU
     un espace multidimensionnel enroulé
     Une classe particulière de formes géométriques six-dimensionnelles satisfait les conditions des équations de la théorie des cordes. Ces figures sont connues sous le nom d'espaces de "Calabi-Yau".
     Les calculs montrent que 9 dimensions spatiales indépendantes sont nécessaires à la théorie des cordes. Puisque les cordes sont très petites, non seulement elles peuvent vibrer dans des dimensions grandes et étendues,
     mais elles peuvent tout aussi bien osciller dans d'autres dimensions, enroulées et minuscules.
     Et nous pouvons ainsi satisfaire, dans notre Univers, l'exigence des neuf dimensions spatiales de la théorie des cordes, en supposant qu'en plus de nos trois dimensions spatiales, il en existe six autres enroulées sur elles-mêmes.
     
    LA THEORIE M-LE MONDE DES BRANES
     1990. Horava et Witten - Un Univers à 11 dimensions.
    Sa théorie représente les particules élémentaires de la physique par des cordes extrêmement petites (100 milliards de milliards de fois plus petites qu'un noyau d'hydrogène) évoluant dans un espace étrange à 10 ou 26 dimensions, pouvant vibrer à différentes fréquences ou "résonances".
     Pour décrire les mouvements vibratoires d'une corde, il faut représenter un espace avec un grand nombre de dimensions.
     
    "La théorie M" ajoute aux cordes des objets multidimensionnels (les branes) et une dimension spatiale supplémentaire.
     
    Notre Univers serait donc une brane à 5 dimensions (4 pour l'espace-temps + celle apportée par la théorie M) auxquelles s'ajoutent les 7 autres dimensions spatiales (très petites) issues de la théorie de supersymétrie.
     
    Dans le cas du scénario de "l'univers Ekpyrotique" proposé en 2001 par Khoury et Steinhardt, le Big Bang correspondrait à une collision entre les branes.
     
    L' Univers serait alors un gaz de "mondes-branes" ne cessant de se croiser et de se percuter générant à chaque fois un nouveau Big Bang...
     
    DES DIMENSIONS CACHEES
     un espace multidimensionnel enroulé
     Les dimensions supplémentaires seraient si petites qu'a grande échelle nous ne pourrions les détecter. Par exemple, un cheveu semble être un fil à une dimension mais si on l'observe à une échelle de l'ordre de son rayon, il apparaît comme étant un cylindre, donc à deux dimensions.
     La théorie affirme que pour détecter une dimension d'échelle D, il faudrait atteindre une énergie de l'ordre de hc/D, où h est la constante de Planck et c, la vitesse de la lumière.
     
    DES DIMENSIONS INFINIES
     Notre Univers doit ici être vu comme une brane flottant dans un espace fondamental à 9 dimensions.
     Les cordes ouvertes, comme les fermions (quarks) dont est constitué la matière, seraient confinées dans notre brane alors que les cordes fermées comme le graviton pourrait coexister dans d'autres dimensions ce qui expliquerait la faible intensité de la gravitation comparé aux autres forces fondamentales.
     
    Ce qu’Einstein ne savait pas encore - Des premières découvertes d’Einstein aux plus récentes théories sur l’interaction des forces, le physicien et mathématicien Brian Greene présente “en toute simplicité” une adaptation télévisée de son best-seller, L’univers élégant.
     
    À l’aide d’images de synthèse éblouissantes et d’expériences simples puisées dans notre quotidien, il explique les différentes étapes de la “théorie des cordes” : une approche révolutionnaire qui pourrait alors expliquer la formation de notre univers

    AUTRES DIMENSIONS ET SCIENCE

     

     

     


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  • LES DIMENSIONS

    On parle souvent des autres Dimensions mais qu'est-ce exactement qu'une Dimension, de quoi s'agit-il au juste ?
     Nous vivons actuellement dans un Univers à 3 Dimensions et lorsque nous quittons cet Univers, après la mort de notre corps de chair, nous allons dans un Univers à 4 Dimensions, dans un autre Monde, sur un autre plan d'existence...
     Nous allons essayer de répondre à vos interrogations sur ce sujet passionnant et d'une extrême importance en essayant d'être à la fois clair, complet et concis, sachant que ce domaine étant bien trop vaste et bien trop complexe pour être traité entièrement, de manière exhaustive, dans le cadre d'une page de site comme celle-ci.

     

    D'innombrables plans d'existence
     
    Depuis les temps les plus lointains, l'Homme s'interroge sur lui-même et sur ce qui l'entoure... Il se demande si au-delà des apparences il n'y aurait pas une autre réalité et si au-delà de la mort il n'y aurait pas une autre vie dans un autre monde...!?
     Les Religions et les Philosophies que les Hommes ont créées au cours des siècles passés, ont essayé de répondre aux angoissantes questions existentielles que ceux-ci se posaient et se posent encore.
    D'innombrables réponses ont été apportées aux innombrables questions que ne cessent de se poser les hommes, les femmes et les enfants mais aucune ne semble pleinement satisfaire leur curiosité.
     Ni la Théologie, ni la Philosophie, ni même la logique ne sont jamais parvenues à trouver la solution...
     Chacun reste finalement sur sa position, celle qui lui semble la plus satisfaisante, la plus confortable et finalement la moins angoissante.
     D'où vient-on ? Que faisons-nous ici-bas ? Où allons-nous après notre mort ?
    Chacun a ses réponses, chacun a ses incertitudes, chacun a ses croyances. La Vérité semble définitivement inaccessible...
     Pourtant, si on lit certains témoignages, on s'aperçoit que de multiples personnes ont eu la chance et le privilège de voir se lever devant eux le "Voile du Grand Mystère"...!
     Certains sont même allés beaucoup plus loin...! Ils ont pu visiter l'Au-delà !
     En lisant les récits de ces explorateurs de l'"Au-delà", on réalise qu'il y a bien un autre Monde derrière le rideau des apparences et même d'innombrables Mondes !!!
     En fait, nous venons de ces Mondes à notre naissance et nous repartons vers ces Mondes à notre mort !
     Ces multiples Mondes de l'"Au-delà" sont autant de Mondes parallèles dont nous avons oublié l'existence en naissant. Pourquoi ? Eh bien, afin de vivre pleinement la vie que nous vivons ici-bas sans être gêné par le souvenir de ces Mondes merveilleux d'où nous venons mais aussi et surtout par les vies que nous avons vécues avant celle-ci ! Oui, car nous avons effectivement vécu de nombreuses autres vies avant cette vie présente ! La Réincarnation n'est pas un mythe pour peuplades arriérées, c'est une réalité !
     Nous avons pourtant tous connu ces Mondes merveilleux desquels nous venons et vers lesquels nous retournons après la mort de notre corps de chair. Ces Mondes se trouvent dans d'autres Dimensions et nous les nommons pour cette raison les Mondes Dimensionnels.
     En fait, la réalité est un peu plus compliquée... Chaque Univers Dimensionnel vibre sur son propre intervalle de fréquence et existe dans son propre Espace cosmique. Leurs atomes constitutifs n'échangent pas d'énergie et s'ignorent mutuellement.
    Pour les Univers Dimensionnels supérieurs - à partir du Plan Astral - c'est encore plus complexe car ces Univers Dimensionnels vibrent sur plusieurs zones de fréquence et contiennent ainsi plusieurs Plans vibratoires ou Plans d'existence. Comme leur nom l'indique, ces Plans vibratoires se distinguent les uns des autres par l'intervalle de fréquence vibratoire dans lequel chacun d'eux se situe. Ces Plans d'existence vibrent ainsi sur des fréquences de plus en plus élevées. Au-delà du Plan vibratoire le plus élevé, on passe dans un autre Univers Dimensionnel qui possède une Dimension de plus que le précédent.
    Il existe de très nombreux Univers Dimensionnels... Des centaines et même peut-être des milliers ! Le dernier Univers Dimensionnel est fait de n-Dimensions et est au-delà de toute compréhension humaine...
     En fait, notre évolution spirituelle se fait dans les 9 premiers Univers Dimensionnels et cela sur des milliards d'années. Au-delà de la 9e Dimension commence une vie totalement différente de tout ce que l'on peut imaginer !
     Nos âmes (car nous avons tous une âme y compris les Animaux et les Végétaux et même les Minéraux !) montent de plus en plus haut, vie après vie, sur des Plans vibratoires de plus en plus élevés, dans des Univers Dimensionnels aux Dimensions de plus en plus nombreuses... à mesure qu'elles évoluent !
     En effet, si il y a Réincarnation c'est qu'il y a Evolution !
    Si les âmes se réincarnent, c'est pour apprendre à connaître la Vie et l'Univers et plus elles apprennent de choses, plus elles évoluent, plus leur esprit s'expanse et plus leur fréquence vibratoire fondamentale s'élève...!
    Après la mort de leur corps de chair, ces âmes montent vers des Plans d'existence de plus en plus élevés en harmonie avec leur propre niveau vibratoire.
     La fameuse phrase de Jésus-Christ - «Il y a de nombreuses demeures dans la maison de mon père.» - trouve ici son explication !
     L'Univers Cosmique dans lequel nous vivons est un Univers à 3 Dimensions qui sont : la Longueur, la largeur et l'épaisseur (ou la hauteur).
    Les atomes et les particules subatomiques qui composent notre Univers à 3 Dimensions sont elles-mêmes constituées de ces 3 Dimensions (Longueur, largeur, épaisseur).
     Les Univers Dimensionnels supérieurs (4 Dimensions et plus) sont eux aussi composés d'atomes et de particules subatomiques de même nombre de Dimensions qu'eux.
     Comme l'élévation de la fréquence vibratoire se traduit par une élévation de l'énergie et cela à tous les niveaux, à partir de la 10e Dimension, l'énergie est si élevée que les structures atomiques se désagrègent, les atomes n'existent plus !
    Au-delà de la 9e Dimension, les Univers Dimensionnels sont de ce fait des Mondes rayonnants et totalement énergétiques, des Mondes de Lumière !!!
     
    En-dessous de notre Univers à 3 Dimensions, il existe deux autres Univers Dimensionnels : un Univers à 2 Dimensions et un Univers à 1 Dimension !
     L'Univers à 2 Dimensions est un Univers crépusculaire totalement plat constitué de structures géométriques planes qui occupent un espace à 2 Dimensions : la Longueur et la largeur.
    La troisième Dimension - l'épaisseur (ou hauteur) - existe quand même mais à l'état virtuel. Les formes géométriques qui peuplent cet Univers plat peuvent ainsi, grâce à cette troisième Dimension virtuelle, occuper tous les niveaux de l'espace, un peu comme si celui-ci était plié et replié sur lui-même.
    La quatrième Dimension qu'est le Temps y existe également à l'état virtuel tout comme dans notre Univers cosmique à 3 Dimensions. Cela permet aux formes géométriques planes de cet Univers à 2 Dimensions de se déplacer les unes par rapport aux autres mais aussi et surtout, cela permet à la Vie d'exister !
     L'Univers à 1 Dimension est un Univers obscur linéaire constitué de structures filiformes qui occupent un espace à 1 Dimension unique : la Longueur, qui est la 1ère Dimension.
     La 2e Dimension - la largeur - et la 3e Dimension - l'épaisseur (ou hauteur) - existent à l'état virtuel. Les formes linéaires qui peuplent cet Univers peuvent ainsi, grâce à ces deux Dimensions virtuelles, occuper tous les niveaux de l'espace comme si ce dernier était enroulé sur lui-même.
     La 4e Dimension - le Temps - y est également présente à l'état virtuel comme dans l'Univers à 2 Dimensions et comme dans notre Univers cosmique à 3 Dimensions. Cela permet le déplacement des formes linéaires et surtout, là encore, cela permet à la Vie d'exister !
     Ces deux Univers à 1 et 2 Dimensions sont en quelque sorte les "Portes" de notre Univers cosmique à 3 Dimensions.
     En effet, les âmes doivent d'abord "s'éveiller" dans ces sombres Univers Dimensionnels avant d'entrer au sein de l'Univers cosmique à 3 Dimensions où elles vont pouvoir évoluer et monter, vie après vie, vers les multiples Plans vibratoires de l'Univers à 4 Dimensions et de là, vers les Univers Dimensionnels supérieurs; cela, afin que tout se fasse progressivement, en douceur, sans traumatisme ni souffrance.
    Tout cela semble bien loin de notre quotidien et pourtant cela fait partie de notre vie car nous venons de ces Mondes parallèles au nôtre et nous y retournons après notre mort.

    Des Plans "infernaux" au Monde des rêves
     
    Certaines personnes sont capables de sortir de leur corps à volonté et, ainsi libérées de leur habit de chair, elles peuvent librement voyager à travers l'Espace et le Temps mais aussi à travers les Dimensions !
     Ces "Voyageurs de l'Astral", comme on les appellent, on pu visiter de leur vivant ce qui normalement n'est accessible qu'après notre mort. Quelques-uns parmi eux ont rassemblé leurs expériences extra-corporelles dans des livres passionnants. Les plus connus étant le Dr Lobsang Rampa, Anne Givaudan, Daniel Meurois et Franz Bardon

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    Ces explorateurs de l'Au-delà on pu ainsi visiter des Mondes merveilleux mais aussi des Mondes abominables...!
    Les Plans d'existence de l'Univers à 4 Dimensions ou Univers Astral sont les plus variés. L'Astral supérieur est fait d'innombrables Plans d'existence paradisiaques aux décors sublimes. L'Astral moyen est constitué de 7 Plans d'existence magnifiques et reposants. L'Astral inférieur ou Plan Ethérique contient, par contre, plusieurs Plans d'existence très différents les uns des autres; le plus bas est le domaine des effrayants "Etres-Pensées" (provenant de l'individualisation des Formes-Pensées négatives les plus puissantes créées inconsciemment par les pensées répétitives des Humains) qui ressemblent beaucoup, pour certains, aux gargouilles et démons des récits médiévaux...!
     Le Dr Tuesday Lobsang Rampa nous a laissé un récit inoubliable sur ce Plan d'existence le plus bas de l'Astral inférieur ("La caverne des anciens" Ed. J'ai Lu, chapître 7 - "The cave of the ancients" CORGY BOOKS, chapter seven) qu'il a été contraint de visiter, au cours d'une initiation, alors qu'il n'était encore qu'un tout jeune garçon, un jeune moine du Tibet...

    « (...) nous prîmes un couloir de pierre et tournâmes à droite, puis à gauche et encore à droite. Continuant notre chemin, nous parvînmes enfin à une pièce qui n'était pas éclairée. On avait l'impression de pénétrer dans un étang de ténèbres. Mon Guide (le Lama Mingyar Dondup) entra le premier, alluma une lampe à beurre posée près de la porte, puis me faisant signe de m'allonger, il me dit :
     — Tu es assez âgé à présent pour connaître les entités de l'Astral inférieur. Je suis prêt à t'aider à voir ces créatures et à faire en sorte qu'elles ne te causent aucun mal, car on ne devrait les affronter qu'après s'y être préparé et s'être protégé adéquatement. Je vais éteindre cette lumière; tu te reposeras paisiblement, tu te laisseras flotter hors de ton corps — à la dérive, où tu voudras, sans t'occuper de la destination, sans but précis — ainsi que flotte la brise.
     Il éteignit la lampe et ferma la porte. La pièce était maintenant plongée dans l'obscurité. Je ne pouvais même pas deviner le son de sa respiration, mais je sentais près de moi sa réconfortante présence.
     Les voyages astraux n'étaient pas une nouveauté pour moi. J'avais reçu, en naissant, la faculté de me déplacer astralement et, à mon retour de ces voyages, je me souvenais toujours de tout. A présent, allongé sur le sol, la tête sur un pan de ma robe, je joignis les mains et les pieds et méditai sur le processus par lequel on quitte son propre corps, processus si simple pour les initiés. Bientôt je ressentis le léger soubressaut indiquant que le corps astral se sépare du corps physique et, à l'instant de ce soubressaut, je fut inondé de lumière. Il me semblait flotter au bout de ma Corde d'Argent (le lien subtil qui relie le corps astral au corps physique). Au-dessous de moi c'était l'obscurité complète, l'obscurité de la pièce que je venais de quitter et où ne brillait aucune lumière. Je regardai autour de moi, mais tout cela ne différait en rien des voyages que j'avais entrepris auparavant. Je voulus m'élever au-dessus de la montagne de Fer et aussitôt, je cessai d'être dans cette chambre, je flottai au-dessus de la montagne, à une centaine de mètres peut-être. Soudain, je n'eus plus conscience du Potala (palais monastique du Dalaï Lama), ni de la montagne de Fer, ni du Tibet, ni de la vallée de Lhassa (capitale du Tibet). Je me sentis malade d'appréhension, ma Corde d'Argent trembla violemment et je fus épouvanté de voir que la brume d'un bleu argent qui émanait toujours de la Corde avait pris une vilaine couleur jaune verdâtre.
     Soudain, j'eus l'impression que l'on me tirait brutalement vers le bas, comme si des déments hostiles s'efforçaient de me ramener dans mon corps. Instinctivement, je baissai les yeux et ce que je vis faillit me faire perdre connaissance.
     Autour de moi, ou plutôt au-dessous de moi, évoluaient des créatures si affreuses et si bizarres qu'elles semblaient échappées du cauchemar d'un ivrogne. L'une d'elles, la plus horrible que j'eusse jamais vue de ma vie, s'avança vers moi, d'un mouvement sinueux; on eût dit une énorme limace affublée d'une abominable tête humaine, mais dont les couleurs n'avaient rien d'humain. Elle avait le visage rouge, le nez et les oreilles verts, et ses yeux semblaient tournoyer dans leurs orbites. Je vis d'autres créatures, plus monstrueuses et plus écoeurantes encore que la limace. Certaines étaient indescriptibles, mais toutes semblaient avoir en commun cette caractéristique humaine : la cruauté.

    Elles s'approchèrent pour m'écharper, tentèrent d'arracher de moi la Corde d'Argent. Je les regardais en frissonnant et je songeais : « La peur ! Ainsi voilà ce qu'est la peur ! Eh bien, ces larves ne peuvent rien contre moi, je suis à l'abri de leur atteinte, invulnérable à leurs attaques ! » Et à l'instant même où j'émis cette pensée, les entités disparurent et cessèrent d'exister. La Corde éthérée qui me liait à mon corps physique brilla de nouveau et reprit ses teintes normales; je me sentis euphorique, libéré, et je compris qu'après avoir subi et surmonté cette épreuve, je ne craindrais plus rien de ce qui pourrait se passer dans l'Astral. Et l'expérience m'enseigna, de façon définitive, que les choses dont nous avons peur ne peuvent nous nuire que si, à cause même de notre peur, nous leur permettons d'agir contre nous.
     Une brusque saccade sur ma Corde d'Argent attira mon attention; je baissai les yeux sans la moindre hésitation, sans la moindre crainte. Et j'aperçus une faible lueur. Mon Guide, le Lama Mingyar Dondup, avait allumé la petite lampe à beurre et mon corps physique attirait à lui mon corps astral. Doucement, je traversai en flottant le toit du Chakpori (l'école de Médecine de Lhassa); je descendis à l'horizontale au-dessus de mon enveloppe charnelle, puis, très très lentement, le corps astral et le corps physique se fondirent et ne firent plus qu'un. Le corps qui était à présent mon « Moi » frissonna légèrement et je me dressai sur mon séant. Mon Guide me contemplait avec un sourire affectueux.
     — Tu t'en es bien tiré, Lobsang ! me dit-il. Je vais te confier un très grand secret : tu as mieux subi cette première épreuve que je n'ai subi la mienne, autrefois. Je suis fier de toi ! »

    Daniel Meurois, le célèbre voyageur de l'Astral, nous raconte dans son premier livre ("Récits d'un Voyageur de l'Astral" Ed. Le Perséa - p.57-58) comment il se retrouva un jour au milieu des entités du bas-Astral...!


    « — (...). J'ai fait, un jour, une expérience que je n'aimerais pas renouveler et que je ne souhaite à personne de faire ou plutôt de subir. Je ne m'étais pas plutôt séparé de mon corps physique que je me suis trouvé projeté dans un univers absolument effrayant. Je me voyais flotter dans une espèce de bouillie grisâtre, des créatures monstrueuses se ruaient vers moi de tous côtés. Comment décrire ces êtres sortis du cauchemar le plus sordide ? On eût dit des organes de corps physiques en putréfaction, dotés d'yeux malveillants, de mâchoires et de mandibules agressives.
     D'autres paraissaient être un mélange de plusieurs animaux, des chats à tête de porc, des reptiles à tête d'oiseau, d'autres encore, ne ressemblaient à rien, c'étaient des masses d'allure ectoplasmique, douées de mouvements d'une violence inouïe. Des cris horribles jaillissaient de toute part alors que ces créatures hideuses se ruaient sur moi avec un râle épouvantable semblable à celui d'un millier d'êtres qu'on égorge. Au bout de quelques secondes, qui me parurent interminables, je me retrouvais projeté dans mon corps physique, en proie à une forte migraine.
    — (...). Je suppose que la peur a diminué le rythme des vibrations de mon corps astral et m'a précipité dans un monde dont j'ignorais l'existence.
    — (...). Tu viens d'aborder le problème de la dernière couche du plan Astral (lui répondit l'Homme Bleu, son guide astral); il existe dans le monde de l'Astral un lieu caractérisé par la très basse fréquence de ses vibrations : tu y as rencontré des créatures monstrueuses mais tu aurais pu aussi y voir bien d'autres êtres. Certains portent le nom d' « élémentals » (...). Ils circulent sans répis dans l'éther de l'Astral inférieur, qui est en contact immédiat avec le plan physique.
     Sorciers et magiciens entrent en contact avec eux au moyen de rituels appropriés et peuvent, s'ils ont suffisamment de force, en obtenir des services sur lesquels ils fonderont leur puissance et leur renommée terrestre. (...). »

    Juste au-dessus de ce Plan "infernal" du très bas-Astral, se trouve un Plan vibratoire à la fois brumeux et lumineux où nos âmes se rendent pendant notre sommeil : le Monde des rêves.
     
    Lorsque notre Corps Physique s'endort, notre âme se détache de lui avec son Corps Astral et s'élève vers un Plan supérieur où toutes les pensées se concrétisent de manière réaliste, un peu comme dans un monde virtuel issu de l'informatique mais en beaucoup mieux !
    Plongé dans ce monde de brumes, l'âme se laisse aller et libère toutes ses pensées profondes et ses fantasmes en les projetant à l'intérieur d'une "bulle éthérée" expansible à l'infinie... Là tout devient possible ! Les idées prennent forme, se "matérialisent" en 3 Dimensions et même en 4 Dimensions !
     Tout-à-coup, un paysage grandiose apparaît, plus vrai que nature, avec des arbres, des animaux, une rivière, des montagnes, des nuages dans le ciel bleu... et des humains !
     Dans son Corps Astral, l'âme de la personne endormie met alors en scène tous ces personnages et ce décor qui s'animent et deviennent aussi réels, aussi vivants que dans la vie de tous les jours. Mille et unes aventures peuvent ainsi être vécues à l'intérieur de cette "bulle onirique". Le décor et les personnages peuvent être changés instantanément pour laisser la place à un autre... rêve !
     C'est cela, en effet, un rêve. C'est la concrétisation des pensées à l'intérieur d'une "bulle éthérée" produite par l'esprit au cours du sommeil du corps de chair. Et cela, chez les Humains comme chez les Animaux.

     
    Au réveil, on se souvient plus ou moins des merveilleuses aventures ou des horribles mésaventures que l'on s'est créées pendant ce moment de liberté qu'est le sommeil du Corps Physique. Le cerveau de ce dernier brouille souvent ces souvenirs issus d'un autre monde et nos songes nous paraissent la plupart du temps plutôt flous et absurdes. Mais qu'importe, nous les avons quand même vécus.
     Il arrive parfois, au cours de nos rêves, qu'une personne bien réelle vienne s'introduire à l'intérieur de la "bulle éthérée" où nous concrétisons nos songes.
     En effet, si une personne désire nous parler d'un sujet très important, à propos, par exemple, d'une rencontre qui va se faire le lendemain matin, elle peut se répéter, avant de s'endormir, qu'elle va nous rencontrer dans ce monde orinique du Plan Ethérique. Lorsqu'elle sortira de son corps de chair endormi, elle ira alors directement nous rejoindre dans notre "bulle éthérée" pour nous parler ! Ainsi, le lendemain matin, lorsque nous rencontrerons cette personne, nous aurons déjà discuté du sujet difficile à propos duquel nous voulions nous rencontrer et nous trouverons plus facilement un terrain d'entente.
    Il arrive aussi très fréquemment qu'une future maman et un futur papa reçoivent la visite de l'âme non encore incarnée qui va devenir leur enfant à l'intérieur de leur "bulle éthérée", au milieu de leurs rêves. Cela permet à l'âme qui va devenir leur bébé de créer des liens étroits avec ses futurs parents afin qu'ils puissent déjà s'aimer avant la naissance.
     Une personne défunte peut également nous rendre visite dans un de nos rêves en pénétrant dans notre "bulle onirique" afin de nous dire au revoir avant de monter dans l'Astral, quelques Plans plus haut.
     Anne Givaudan et Daniel Meurois nous ont offert de magnifiques témoignages sur ce Monde des rêves et sur les rencontres que l'on y fait. En voici deux :
     Visite d'une âme désincarnée à sa future maman, à l'intérieur de son rêve ("Les Neuf Marches" Daniel Meurois et Anne Givaudan - Ed. S.O.I.S. - p.181-182 - N.B. : les auteurs accompagnent cette âme au sein de ce Plan nébuleux) :
     « A un moment précis - mais lequel, nous ne saurions le dire - tout bascule. Nous sommes happés par une force, aspirés dans un lieu où le vide absolu règne ...
     Une vaste et blanche salle vient à se dessiner maintenant autour de nous. Les arêtes de ses murs, les dalles carrées et lisses de son sol naissent progressivement, surgies d'une clarté qui pénètre tout. Le long des hautes fenêtres qui s'esquissent désormais, d'étranges rideaux de velours rouge nous accrochent le regard. Puis, à la seconde même où nous croyons avoir embrassé la totalité de cette atmosphère, à la seconde même où la première interrogation voudrait surgir, une grande table, toute métallique apparaît brutalement. Une silouhette féminine vêtue d'une longue chemise blanche y est étendue et les courbes de son corps parlent d'enfantement. Le silence est total, presque froid; il est attente et questionnement. Aussitôt, nous comprenons. L'évidence est là, celle à laquelle nous n'avions jamais songé : nous avons pénétré dans l'espace mental de la jeune femme endormie. Pour quelques instants, nous habitons son rêve, nous cotoyons les images projetées par son inconscient dans quelque zone de l'astral terrestre, monde malléable au gré de chacun, univers où chaque âme sculpte sa lumière ... ou sa non-lumière.
     « Maman ? »
     La voix un peu hésitante de notre amie perce soudain le silence et nous fait presque sursauter.
     Pour toute réponse des pensées désordonnées se mettent à emplir la pièce, anodines et pueriles.
     « Oh, ces rideaux rouges ... il faudra que je les décroche et que je les lave ... Il faut que ce soit fait avant de sortir d'ici. Je n'ai pas beaucoup de temps. Le docteur m'a dit qu'il me restait deux mois pour les laver. je ne sais pas si la petite est pressée ... »
     « Maman ? »
     Cette fois, c'est un profond soupir qui emplit la salle et à mesure que celui-ci s'épuise, la lumière qui imprègne tout se teinte tour à tour de jaune, puis de bleu.
     « Maman ? » répète une troisième fois notre amie dont nous devinons uniquement la présence à nos côtés.
     Maintenant, son ton s'est fait presque autoritaire, presque impatient.
     Alors, comme si un déclic avait enclenché un processus, une silhouette toute blanche se redresse sur la table d'accouchement.
    Au coeur du temps qui se comprime, nous voyons aussitôt la jeune femme poser les pieds sur le sol puis avancer paisiblement dans notre direction. Elle a le regard de ceux qui sont disponibles, simplement prêts à recevoir. Rebecca ou S ... , nous ne savons plus ce qu'il convient de dire, se précipite immédiatement vers elle et lui attrape les deux mains comme pour ne plus la laisser s'échapper.
     « J'ai tant de choses à te dire, sais-tu ! »
     « Je m'en doutais... c'est bien pour cela que je suis venue... (...). »
    Visite d'une âme défunte dans les rêves de ceux qu'elle laisse ici-bas ("Chronique d'un départ" Daniel Meurois et Anne Givaudan - Ed. S.O.I.S. - p. 135-136 - N.B. : les auteurs reçoivent le témoignage de cette âme désincarnée) :
     « (...). Je les ai vus... presque tous. Sonia et le petit, puis mes amis. C'était si facile ! Il a suffit que je le veuille de tout mon coeur. Je sais maintenant qu'il y a... comme une infime parcelle de mon être qui vit en chaque point de l'univers et un fil de lumière éternellement tendu entre ceux que j'aime et moi ... Pourquoi notre corps fait-il tant de détours pour dire qu'il aime ! C'est si facile ! Tous les coeurs se sont ouverts au mien. Je suis entrée dans les rêves de Sonia, de Michèle, de Jean-René... et je leur ai parlé.1
     Ils étaient là devant moi... Sonia en train de nettoyer je ne sais quel grenier et Jean-René sur un sentier de montagne avec une foule de gens que je ne connaissais pas. J'avais la sensation que lui pourtant ne voyait que moi. J'ai seulement réussi à lui dire que je n'étais plus malade et que je l'embrassais... J'étais à la fois tellement paisible, sûre de moi mais aussi émue ! Avec Sonia, c'était différent... Cela lui semblait tellement logique que je sois là dans ce grenier ! Alors, elle a commencé par me dire "Tu viens seulement m'aider !"... comme si j'étais en retard. Je n'ai rien répondu, puis son regard s'est mis à changer et j'ai compris - comment dire - qu'elle s'éveillait de son rêve... Alors, le grenier a disparu aussitôt et nous nous sommes retrouvées dans le jardin près des agaves. Là, je l'ai serrée contre moi et je lui ai parlé. Je ne sais plus au juste ce qui est sorti de moi, mais je crois qu'elle était heureuse, presque soulagée. J'ignore si elle se souviendra de tout cela, (...).

    1 - Le monde du rêve peut être comparé à un hologramme généré par la conscience et au coeur duquel celle-ci peut se déplacer, accueillir d'autres consciences. On peut ainsi pénétrer dans « le rêve » d'un autre et même faire fusionner deux « rêves », si toutefois il y a connivence entre les deux personnes. Il en résulte au réveil des souvenirs parfois incohérents mais qui peuvent néanmoins contenir leur part de vérité. »
     Ce monde brumeux où les rêveurs viennent chaque nuit exprimer et concrétiser leurs pensées les plus intimes, cache en réalité divers sous-Plans vibratoires, différents Mondes Parallèles, où se réfugient les âmes qui ont raté leur incarnation...
     
    La grande majorité des âmes qui ont subi les affres de l'avortement mais aussi celles qui ont tout simplement eu peur de revenir sur Terre et qui ont ainsi provoqué une fausse-couche, connaissent un traumatisme intense qui les déstabilisent totalement et les empêche de remonter dans l'Astral.
    Ces âmes non-incarnées se sentent perdues, rejetées, détestées, abandonnées ... et se réfugient sur l'un des sous-Plans vibratoires de ce second Plan d'existence de l'Astral inférieur (ou Plan Ethérique) qu'est le Monde des rêves... dans une "bulle éthérée" de même nature que celle générée par le rêve.
     Certaines s'en trouvent entièrement désagrégées... leur Corps Astral s'est littéralement volatilisé ! Il existe toujours mais il est en quelque sorte plus virtuel que réel. Ces âmes devront le reconstruire à force de volonté en tentant d'échapper peu à peu à cet état de désespoir qui les a rongé jusqu'à la dissolution.
     D'autres, moins atteintes mentalement et émotionnellement, ne subissent pas cette désagrégation astrale mais se trouvent dans un état de choc sérieux qui a considérablement abaissé leur niveau vibratroire. Ces âmes devront tout faire pour s'élever et retrouver leur niveau vibratoire antérieur.
    D'autres encore, les plus atteintes, sont tombées dans une sorte de coma qui les met en état de vie suspendue, pendant un temps indéfini, au sein du sous-Plan le plus bas de ce monde brumeux.
     (Daniel Meurois a rendu visite à ces âmes en état de choc et nous raconte leur histoire dans un merveilleux livre tout en subtilité et en émotions, totalement inédit : "Le Non désiré" - Ed. Le Perséa. Un livre à lire absolument !)
     C'est également dans ce Monde des rêves que les âmes prisonnières de leurs croyances religieuses ou matérialistes se retrouvent après la mort de leur Corps Physique.
    Les âmes des initiés mais aussi celles des autres espèces vivantes (qui possèdent également une âme !) montent sans s'arrêter sur ce Plan.
     Les personnes très croyantes (trop croyantes même !), quelle que soit leur religion, s'imaginent qu'après leur mort, leur âme va monter au Paradis où elle va rencontrer, dans un décor merveilleux, ses ancêtres, les saints, les anges, son dieu ou ses dieux selon l'enseignement religieux qu'elles ont reçu.
    Aussi, au moment de leur mort, au lieu de s'élever vers la lumière des Plans supérieurs, leur âme va s'arrêter sur le second Plan du bas-Astral, incapable de monter plus haut. Là, dans ce Monde des rêves où les pensées deviennent "réalité", elles vont vivre ce qu'elles rêvaient de voir au-delà de la mort, elles vont se créer leur propre Paradis... imaginaire !
     Les Chrétiens verront un décor immaculé et nuageux peuplé d'anges aux longues ailes d'oiseau au milieu duquel siège un vieillard barbu en robe blanche : Dieu lui-même ! Ou alors, si ils pensent qu'ils méritent d'aller en Enfer, ils verront au contraire un décor rouge sang noyé dans le feu au milieu duquel surgit une créature cornue effrayante aux pieds de bouc avec une longue queue : le Diable en personne !
     Certains, plus simplement, verront Jésus-Christ nimbé de lumière, souriant, qui les accueillent en leur tendant la main !
     Les Musulmans verront un magnifique jardin luxuriant aux fleurs multicolores et aux arbres majestueux au sein duquel de merveilleuses jeunes filles aux habits colorés dansent voluptueusement sur une musique lanscinante ! Certains verront le Prophète en personne qui les accueille ! D'autres verront Allah lui-même inondé de lumière !
    Les Judaïstes verront un décor ensoleillé et fleuri où leurs parents et leurs grands ancêtres les accueillent à bras ouverts ! Certains verront les prophètes de la Bible : Abraham, Moïse, Joseph, Josué, Jacob, Jérémie, David, Isaac, Daniel...
     Les Bouddhistes verront des démons horribles et effrayants si ils pensent avoir fauté au cours de leur vie terrestre ou verront le Bouddha nimbé de lumière qui les accueillera si ils pensent avoir vécu une vie exemplaire.
     Les Animistes, eux, verront un décor naturel (qui ressemble plus ou moins à celui dans lequel ils ont vécu toute leur vie) où leurs ancêtres les attendent avec un grand sourire ! Certains verront leurs dieux, des dieux animaux, des dieux humains, des dieux mi-humains mi-animaux... tous plus effrayants les uns que les autres !
     Il ne s'agit-là en réalité que de pures illusions créées par leur esprit imaginatif de la même façon que le rêveur crée ses songes. La réalité est plus simple et plus belle que cela !
     Ces âmes restent ainsi prisonnières de ce Plan nébuleux pendant un temps plus ou moins long, jusqu'à ce qu'elles réalisent que certains détails, certains personnages ne correspondent pas à ce qu'elles ont toujours cru durant leur vie terrestre...
    Le décor ne fait pas vraiment vrai ... Les yeux des prophètes paraissent dénués de vie ... Les ailes des anges ne battent pas... Les ancêtres sont figés ... Les dieux ne ressemblent pas vraiment à des dieux... Etc...
    Et alors, brusquement, tout s'effondre, tout se désagrège, tout disparaît ! C'est alors et alors seulement, que ces âmes se retrouvent libérées de leurs illusions, de leurs croyances religieuses qui les enchaînaient aux Plans inférieurs. Libres et purifiées, elles peuvent maintenant s'élever vers la lumière de l'Astral où des êtres chers les attendent réellement.
     
    Certaines personnes, par contre, ne s'en sortent pas si bien... Ce sont celles qui n'ont jamais cru à autre chose qu'à la vie terrestre !
     Après la mort de leur Corps Physique, elles sont incapables de monter au-delà de ce Plan nébuleux où elles restent jusqu'à leur prochaine incarnation sur le Plan Physique.
    Mais il y a pire... Ce sont les personnes totalement matérialistes, réfractaires à toute forme de spiritualité qu'elles rejettent avec violence.
     Après leur mort, les âmes de ces personnes tombent dans une sorte de coma qui les conduit directement sur le sous-Plan le plus bas de ce monde brumeux où elles restent indéfiniment, enfermées dans les noirceurs de leur esprit, allongées les unes à côté des autres dans un brouillard gris et poisseux...
     
    Le domaine des Esprits de la Nature

     
    Au-dessus de ce Monde brumeux du bas-Astral, il existe un sous-plan vibratoire plus lumineux inséré entre les deux plans vibratoires les plus élevés du Plan Ethérique dans la 4e Dimension. C'est le "Royaume de Magonia".
     Dans ce Royaume éthéré vivent d'étranges créatures que l'on croirait tout droit sorties d'un conte de fée...! Mais il ne s'agit pas d'une coïncidence... Dans les temps anciens, tout le monde croyait aux créatures du "Petit Peuple" comme les appelait alors. Et ce n'était pas par naïveté. Non, si on y croyait c'est parce qu'alors les Hommes avaient l'esprit plus ouvert. On ne disait pas aux enfants que seul ce qui était matériel était réel, que seuls ce qu'ils pouvaient toucher existaient vraiment. On les laissait faire leurs propres expériences. Grâce à cela, au cours de promenades dans les jardins, dans les bois et les forêts, le long des rivières et des marais, les enfants dont l'esprit était ainsi dépourvu de tout interdit, voyaient souvent de petites créatures surgir devant eux, courant et gesticulant autour des arbres et des fleurs, volant dans les airs ou nageant dans les eaux...! Ils revenaient alors tout excités vers leurs parents pour leur raconter l'extraordinaire rencontre qu'ils avaient fait et ceux-ci leur expliquaient alors qu'ils venaient de rencontrer des créatures du "Petit Peuple", des Esprits de la Nature !
     En effet, leurs parents avaient eux-mêmes faits de telles rencontres lorsqu'ils avaient leur âge, tout comme leurs propres parents et leurs grand-parents et leurs arrière-grand-parents ! Certains adultes au coeur pur continuaient de faire ces merveilleuses rencontres en allant chercher du bois dans la forêt ou en allant à la cueillette des champignons ou des simples. Car, en effet, il faut avoir le coeur pur pour voir ces créatures; la pureté de nos pensées élève nos vibrations corporelles et nous permet ainsi de voir ce qui est invisible pour les autres. Les enfants sont purs et leurs vibrations sont élevées, c'est pour cela qu'ils voient souvent des choses que leurs parents ne voient pas.
     Personne, en ces temps anciens, n'aurait même imaginé que l'on puisse nier l'existence de ces créatures qui peuplent la Nature et qui, on en était sûr, aident celle-ci dans sa tâche. Elles aident les plantes à pousser, à bougeonner, à fleurir. Elles aident les insectes à se métamorphoser. Elles aident la pluie à venir lorsque c'était nécessaire. Elles aident les abeilles à polliniser les fleurs. Elles aident les arbres à pousser et à fleurir. Elles aident les petits animaux végétariens à trouver leur nourriture lorsqu'ils ne trouvent rien à manger. Elles aident les oeufs à éclore. Et mille et une autres choses encore.
     Ces créatures vivifient en fait tout ce qu'elles touchent, c'est là leur raison d'être.
     
    Daniel Meurois


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    https://www.youtube.com/watch?v=tGM5JjUqUgo

    TrouPoleNord.jpg picture by virtuellife 

    Les portes-interdimensionnelles sont des Merkabas. Elles existent comme une paire "Trou noir" (pour passer dans une dimension inférieure) - "Trou blanc" (pour passer dans une dimension supérieure) connecté au centre par un sceau fréquentiel.
    En commençant par les Portes Planétaires (PP). Pour Terre, la Porte 1 est située au Pôle Sud, à Halley et est reliée à la Porte Interdimensionnelle Galactique 1 (PG) située sur Mercure et à la Porte Interdimensionnelle Universelle 1 (PU) sur Theta-Orion (Terre Parallèle). elle permet aussi de rallier la "Terre Parallèle". Toutes ces informations sont tirees des annales akashiques

    PORTES INTERDIMENTIONNELLES

    La PP 2 est située à Sarasota, en Floride et est reliée à la PG 2 sur Vénus et à la PU 2 sur Epsilon-Eridanus. elle permet aussi de rallier la "Terre Intérieure".

    PORTES INTERDIMENTIONNELLES

    La PP 3 est située dans les Bermudes et est reliée à la PG 3 située sur Terre et à la PU 3 située sur Alpha-Centauri.

    PORTES INTERDIMENTIONNELLES

    La PP 4 est située sous la Pyramide de Gizeh (cf. le message sur les Pyramides) à la PG 4 sur Mars et à la PU 4 sur le Soleil.

    PORTES INTERDIMENSIONNELLES

    PP 5 : Machu Picchu au Pérou - PG 5 : Ceinture d'astéroïdes (Maldak). PU 5 : Alcyone-Pléiades-Tara. PP 6 : à côté de Moscou.

     PORTES INTERDIMENSIONNELLES

    PG 6 : Jupiter. PU 6 : Sirius B-Procyon.
     PORTES INTERDIMENSIONNELLES

     

    PP 7 : Lac Titicaca au Pérou. PG 7 : Saturn. PU 7 : Arcturus-Omega Centauri.

     PORTES INTERDIMENSIONNELLES

    PP 8 : Xian en Chine. PG 8 : Uranus. PU 8 : Orion-Mintake-Gaïa.

     PORTES INTERDIMENSIONNELLES

    PP 9 : Bam Tso Heiho au Tibet. PG 9 : Neptune. PU 9 : Andromède Mirach.

     PORTES INTERDIMENSIONNELLES

    PP 10 : Abadan en Iran. PG 10 : Pluton. PU 10 : Lyre-Véga.

     PORTES INTERDIMENSIONNELLES

    PP 11 : Pewsey en Angleterre. PG 11 : Nibiru. PU 11 : Lyre-Aveyon.

     PORTES INTERDIMENSIONNELLES

    PP 12 : Montsegur en France, haut lieu des cathares... PG 12 : Soleil. PU 12 : Lyre-Aramatena.

     

    PORTES INTERDIMENSIONNELLES

     

    voir aussi: http://lavraierealite.eklablog.com/le-vortex-du-golf-d-aden-yemen-somalie-interview-de-aaron-mccollum-a115219964


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  • PORTES INTERDIMENTIONNELLES

    Alice au pays des merveilles y est parveue. Ainsi qu'Indiana Jones, les druides et les anciens Grecs. Les chamanes continuet à le faire-ils entrent dans une autre dimension au travers d'un lieu sacré sur terre. Les lieux sacrées: l'idée même évoque des sommets de montagnes balayés par les vents, des loups qui hurlent, des cascades, des grottes, des vallées enchantées, des pierres prophétiques et des portails menant à nos ancêtres. Dieu nous parle à travers les soupirs des arbres, le murmure des pierres qui chauffent au soleil, les antiques et silencieuses empreintes de main des troglodytes, les chemins ocre piétinés il y a des siècles par les milliers de pieds nus de ceux qui ont couru et marché pour rencontrer l'esprit-pour renaître dans l'esprit.
    Bien avant que les flèches gothiques attirent nos coeurs vers le ciel, les hommes et les femmes ont trouvé leur inspiration dans le divin et se sont connectés à lui en certains lieux chargés de puissance sur terre. Combien de fois avez vous eu le bonheur d'avoir le souffle coupé par la splendeur d'un paysage-une mer infinie d'arbres, un plateau avec une falaise à pic de mille mètres? Combien de fois avez-vous senti la présence et le calme d'une forêt très anciene? Combien de fois avez-vous été réduit au silence par le rugissement d'une cascade déversant ses eaux comme un torrent sur des rochers en granite? Pas assez souvent. Et même bien loin du compte. Les sites sacrés ne nécessitent aucune explication, aucune carte. Ils existet. Vous les sentez ET VOTRE PERSPECTIVE GRANDI.

    Seule une poignée de Hopis aujourd'hui connaissent tous ces emplacements. Comme leurs frères et soeurs dans le monde qui ressentent et devinent encore le pouvoir d'un lieu, ces esprits sages disent que le pouvoir des sites sacrés réside dans quelque chose de plus important que leur beauté apparente. Ils reconnaissent que l'histoire de ces sites est importante, mais l'esprit, insistent-ils, est beaucoup plus important. Il opère avec des gens de toutes les races, mais uniquement si leur conscience est claire et leur coeur pur. Certains lieux spéciaux dans la nature ont la capacité d'aider les hommes à entrer dans des états de conscience modifiés appelés "spirituels" en raison de leur contact direct, mental et/ou spirituel, avec eux.

    James Redfield: l'expériance de la dixième prophétie.

     

    voir aussi:  http://lavraierealite.eklablog.com/le-vortex-du-golf-d-aden-yemen-somalie-interview-de-aaron-mccollum-a115219964


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  • TEMPS

     

     

    Il y a de nombreuses années, le physicien renommé Albert Einstein disait que la quatrième
    dimension de l’espace était le temps. Les trois premières dimensions de
    l’espace  sont bien sûr la longueur, la largeur et la hauteur. Le mot
    dimension signifie mesurer dans une direction particulière.  Le temps
    n’est pas une dimension spatiale. Il est un continuum qui manque de dimensions
    spatiales. Il est simplement  un système de ces relations que tout  événement a
    avec tout autre en tant que passé, présent, ou futur.

     

    Le système de temps avec lequel nous sommes le plus familiarisés est la durée de rotation
    de  l’axe de la Terre pour une rotation complète de 360 degrés. Ce que nous
    appelons un jour de temps.  Chaque 15 degrés de rotation de l’axe représente une
    heure de temps dans ce système.

     

    Maintenant je vous demande, quelle est la véritable quatrième dimension de l’espace ? Selon
    Max Heindel, la quatrième dimension de l’espace est une propriété de la matière
    appelée « interpénétration » (passage à travers). C’est l’aptitude de la matière
    la moins dense à interpénétrer et aller à travers la matière qui est beaucoup
    plus dense. Le Monde Physique  consiste en une région de matière dense appelée
    la Région Ethérique.  La Région Chimique est faite de solides, de liquides et de
    gaz auxquels nous sommes familiers.  La Région Ethérique est faite de quatre
    densités d’éther connues comme éther chimique, éther vital, éther lumière et
    éther réflecteur. Il devrait être aussi établi que les atomes de la Région
    Ethérique vibrent  à une vitesse bine plus supérieure que ceux de la Région
    Chimique. La combinaison  de la matière moins dense avec une vitesse
    vibrationnelle atomique plus élevée permet ce qui est connu comme
    « interpénétration ».

     

     

     

    Max Heindel disait également  que l’homme a plus qu’un corps. Il a un corps physique
    dense, un corps éthérique, un corps désir, et un corps mental. Cet article ne
    débattra que brièvement du corps éthérique et de sa relation au corps physique
    dense.

     

    Selon Max Heindel,  le corps éthérique  interpénètre le corps physique dense et est une
    réplique du corps dense physique atome par atome, excepté pour une différence
    majeure.  Si le corps physique dense est mâle alors le corps éthérique est
    femelle et vice versa. Le corps éthérique fournit  la vitalité au corps dense 
    et  permet à ses différentes parties de se mouvoir. Si le corps physique dense 
    n’était pas interpénétré par le corps éthérique, le mouvement et la croissance
    de nos diverses parties physiques seraient impossibles.

     

    En tant que matière physique, l’éther est sensé connaître les lois naturelles qui
    gouvernent les autres substances physiques. En outre, d’autres lois,
    actuellement inconnues de la science matérielle, gouvernent les phénomènes
    éthériques, incluant la lévitation.  Il suffit seulement d’une faible extension
    de la vue physique  pour voir l’éther. La vue éthérique dépend de la sensitivité
    du nerf optique. La vision spirituelle n’est pas le même que la vision
    éthérique. Ceci est occasionné par  le développement des pouvoirs vibratoires
    dans deux petits organes dans le cerveau. Ces organes sont appelés le corps
    pituitaire et la glande pinéale.

     

    Quiconque doué de vue éthérique peut voir à travers  un objet de manière similaire à un
    appareil à rayons X.  Il voit en premier la partie antérieure de l’objet, puis
    la structure interne et finalement, la partie postérieure de l’objet. Avec une
    totale vision éthérique, une personne peut voir à travers  les montagnes et la
    terre elle-même. Il doit absolument être noté que la vision éthérique ne
    s’accorde qu’une seule couleur, le pourpre.

     

    L’évidence
    physique qui indique  que le corps éthérique existe est la
    suivante :

     

    1)     
    Les gens possédant la vision éthérique peuvent voir le corps éthérique
    s’étendant  hors du corps physique jusqu’à 2 à 4 cm.

     

    2)     
    Le Dr Thelma Moss  a fait des travaux de recherche à UCLA  sur des
    plantes en utilisant  la photographie Kirlian.  Ce travail de recherche a
    montré  qu’une plante ayant une partie de feuille coupée indiquait  une légère
    essence demeurant là où la feuille avait été enlevée. Oui, les plantes, les
    animaux et les êtres humains ont des corps éthériques.

     

    3)     
    La plupart des humains ont expérimenté  l’engourdissement dans un bras
    ou une jambe à un moment ou à un autre. En frottant ou bougeant le membre
    affecté, l’engourdissement disparaîtra peu à peu.  L’engourdissement est
    provoqué par une partie du corps éthérique de la personne s’étant éloignée du
    corps physique. Normalement, le corps éthérique et le corps physique
    s’interpénètrent et sont correctement alignés.

     

    4)     
    Certaines personnes ont photographié avec succès des images de
    fantômes. Une image de fantôme est la photo du corps éthérique d’une personne
    sans le corps physique dense. Lorsqu’une personne décède, ses corps physiques et
    éthériques se séparent et  se dégradent simultanément. Si la mort a été causé
    par un suicide, alors le corps physique se décompose  et la personne continue à
    vivre  dans son corps éthérique sur le plan éthérique  jusqu’à ce que le moment
    prévu pour la mort arrive. Elle souffre durant ce temps d’un sentiment terrible
    de vide, parce qu’il lui manque le corps physique.  Son corps fantôme (corps
    éthérique) est capable de passer  à travers la matière du Monde Physique telle
    que les maisons, les immeubles, etc.

     

    En conclusion, j’aimerais dire qu’il est plus qu’évident qu’une quatrième dimension
    existe ; cependant, ce n’est pas encore le moment. Max Heindel a déclaré dans
    ses écrits  qu’il y a au moins sept dimensions dans le Cosmos et qu’elles
    s’interpénètrent les unes les autres. Ces sept dimensions sont remplies de
    différentes formes de vie.


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