• Le gaz de Brown peut changer le monde… !

     

    « L’eau sera un jour un combustible » avait écrit Jules Verne en 1875, dans L’Ile mystérieuse. Un siècle plus tard, cette intuition qu’« il y a du feu dans l’eau »

    obsède le chercheur bulgare Yull Brown qui vouera son existence à sa mise en évidence.


    Résultat :

    le gaz de Brown, un gaz qui pourrait changer la donne énergétique de la planète. Aujourd’hui, nombre de politiques et d’industriels ont compris les enjeux économiques et écologiques de cette technologie qui offre une énergie propre et inépuisable.

     

    Selon la théorie courante, le gaz de Browm est un mélange d’hydrogène

     

    diatomique et monoatomique et d’oxygène. Selon ma nouvelle théorie, il s’agit

     

    « d’eau expansée électriquement ».

     

    C’est la conclusion à laquelle je suis parvenu après avoir travaillé sur le sujet avec

     

    des scientifiques et des chercheurs du monde entier : le gaz de Brown serait une

     

    forme particulière d’eau qui aurait reçu suffisamment d’énergie électrique pour

     

    devenir un gaz qui n’est pas de la vapeur.

     

    Nous en apprenons tous les jours davantage sur la question. Outre qu’il possède

     

    des propriétés exceptionnelles pour le soudage, le brasage, la fusion et la découpe, il peut être utilisé pour obtenir de l’eau parfaitement pure ( littéralement formée d’atomes), pour la vitrification ponctuelle sur la céramique, la réparation des matériaux exotiques, l’amélioration de la combustion de carburants fossiles, la neutralisation des résidus nucléaires, etc.

     

    Ceux qui utilisent ces « torches à eau » vont très probablement découvrir des utilisations auxquelles nous n’avions pas pensé. Les potentialités sont telles que cette technologie pourrait changer notre civilisation. . .

     

    Voici les applications potentielles que nous avons recencées à ce jour.

     

    Soudage à haute température…

     

    Le GB ( Gaz de Brown) soude :

     

    - le verre ;

     

    - le quartz : je n’ai rien vu de plus efficace pour fondre du quartz, malgré les très hautes énergies nécessaires ;

     

    - la fonte [de fer] : au chalumeau (embout n° 3), nous avons obtenu un bon coulis

     

    et nous avons soudé la fonte sans difficulté, sans flux [décapant], avec l’apport d’une tige de fonte. J’ai ensuite plongé la pièce de fonte soudée dans l’eau à température ambiante, elle ne s’est pas rompue. Je l’ai brisée intentionnellement

     

    après refroidissement pour examiner la soudure ; elle était parfaite : aucune différence de structure cristalline entre la soudure et le métal d’origine ;

     

    -le cuivre : il se soude sans problème avec une tige de cuivre, sans flux ;

     

    -l’aluminium : le GB fournit une telle énergie ponctuelle qu’il permet de souder l’aluminium plus facilement qu’à l’oxyacétylène. Le GB convient également pour les soudages légers (à moins de 427 °C). Une petite flamme suffit à faire le même travail qu’une torche au propane.

     

    Le matériau chauffe tellement vite que la chaleur n’a pas le temps de se dissiper avant que la soudure soit faite, un grand avantage pour les assemblages de tuyauterie. La fine petite flamme, tel un laser, facilite le travail dans des espaces exigus et en outre elle ne pollue pas et ne consomme pas l’oxygène ambiant.

     

    Fusion…

     

    Le GB permet de fondre du verre et de le couler autour d’autres matériaux, ou de fusionner du fer et de la brique, cela parce que chacun des matériaux monte à sa température de fusion sans la dépasser.

     

    Brasage…

     

    Se fait mieux au GB qu’à l’oxyacétylène. Je suis même parvenu à braser de l’acier inoxydable.

     

    Préchauffage…

     

    Voilà une des applications les plus courantes du GB, surtout sur des matériaux dont la chauffe nécessite beaucoup d’énergie, comme l’acier inoxydable. Le gaz permet de chauffer de très petits points ou de grandes surfaces ; et c’est propre, le seul sous-produit est de l’eau.

     

    Le GB produit une flamme « froide » qui applique l’énergie potentielle directement au matériau ; la température de celui-ci dépendra de la dimension

     

    de la flamme et de la capacité du matériau à dissiper ce type d’énergie. Nous avons découvert que des matériaux différents atteignent des températures

     

    différentes et que les mauvais conducteurs de chaleur chauffent très vite à l’endroit d’application du GB.

     

    Nous avons pu fondre tous les matériaux essayés avec cette flamme. Plus la température de fusion du matériau est élevée, plus vite il chauffe.

     

    Vaporisation…

     

    Le paradoxe, c’est que le BG vaporise des matériaux comme le tungstène et le diamant, mais ne chauffe de l’eau que très lentement. Il convient donc de prendre garde à ce que l’on veut vaporiser, puisque les températures varient selon que les matériaux dissipent plus ou moins la chaleur.

     

    Lorsque l’on fond de la roche, de la céramique ou de la brique, les caractéristiques changent, ils prennent un aspect de verre coulé. Si l’on continue à appliquer le GB, ils fondent, ne laissant qu’une vague forme. Le matériau qui en

     

    résulte possède des caractéristiques absentes de l’original, par exemple il devient beaucoup plus dur.

     

    Si l’on continue à chauffer, il se vaporise. Utilisations controversées Nous les mentionnons ici pour témoigner de ce que le GB serait utile pour tout le monde. Certaines applications sont politiquement trop sensibles pour être abordées aujourd’hui.

     

    Nous possédons (chez Eagle-Research) suffisamment de preuves pour énumérer la réalité potentielle de ces utilisations et cherchons à obtenir des vérifications de sources indépendantes (tant que nous n’avons pas ces vérifications, nous déclarons décrire ce qui suit comme étant des rumeurs).

     

    Production d’une eau « nouvelle » pure. ..

     

    Nous apprenons que l’eau peut être « programmée » pour transmettre des propriétés thérapeutiques. Cela peut se faire avec l’eau de décharge de la flamme du GB. Il semble que le GB « efface » la programmation antérieure, ce qui permet de la refaire.

     

     

    À l’ingestion, cette eau donne une impression de détente et de bien-être.

     

     

    Hydratation de l’eau…

     

    Lorsque l’on fait barboter le GB à travers de l’eau propre, l’eau absorbe l’oxygène et l’hydrogène. Nous pensons qu’elle y gagne aussi en énergie (de nature electrique). Boire cette eau nous rend plus alerte, comme le café, mais sans les effets secondaires. Tous les tests effectués sur cette eau ont révélé une super hydratation, jusqu’à dix fois supérieure à de l’eau ordinaire !

     

    Assainissement de l’eau…

     

    En Amérique du Nord, l’eau est traitée au chlore pour détruire les micro-organismes pathogènes. Le chlore étant un poison mortel, le dosage est calculé

     

    pour ne pas dépasser l’effet recherché. Dans pratiquement tout le reste du monde, l’eau est purifiée avec de l’ozone, qui est une forme d’oxygène

     

    [ oxygène allotropique = O3]. L’oxygène tue les micro-organismes sans nuire aux personnes. Le GB offre un excellent moyen d’oxygéner l’eau.

     

    Humidification…

     

    Nous résidons en un lieu où l’air est extrêmement sec. Nous consommons près de quatre litres d’eau chaque nuit dans des humidificateurs pour que l’air des chambres soit respirable. Grâce au GB, nous obtenons le même résultat avec une tasse d’eau (250 ml) par nuit.

     

    Soulagement des douleurs musculaires…

     

    Appliqué directement sur la peau, le GB transmet l’hydrogène et l’oxygène, via le sang, aux muscles et articulations qui souffrent de déshydratation, ce qui produit un soulagement immédiat des douleurs dues aux crampes et gonflements. Le soulagement perdure longtemps.

     

    Cicatrisation des plaies…

     

    Appliqués à une blessure, l’hydrogène et l’oxygène insufflés par le GB tuent les micro-organismes anaérobies et favorisent la régénération cellulaire.

     

    Germination et croissance des plantes…

     

    La croissance des plantes peut être favorisée par de l’eau hydratée et-ou « programmée ». Les fruits et légumes ainsi produits sont sains et possèdent des

     

    qualités nutritives supérieures.

     

    Neutralisation des déchets nucléaires…

     

    La preuve a été faite (au Canada) que le GB neutralise les déchets nucléaires en quelques secondes, facilement et à moindres frais. Le procédé peut être appliqué

     

    directement au réacteur, ce qui évite le transport et le stockage des déchets. Cette utilisation est tellement « politiquement sensible » que nous nous abstenons de la promouvoir.

     

    La technologie du GB n’est pas encore suffisamment installée dans l’usage courant pour être à l’abri d’une suppression par des « droits acquis ». Cette application à elle seule vaut des milliards de dollars et pourrait révolutionner

     

    l’industrie productrice d’énergie nucléaire.

     

    Création de nouveaux matériaux industriels…

     

    Le GB est capable de fabriquer des rubis et de les souder, ainsi que des saphirs. La roche cuite est transformée en pierre semi-précieuse ; par. ex. le feldspath

     

    (30 % de la croûte terrestre) se mute en une forme transparente de pierre de lune utilisable comme matériau de construction quasi indestructible.

     

    Transmutation d’éléments…

     

    Nous avons découvert deux manières d’utiliser le GB pour fabriquer des matières qui n’existent pas dans les échantillons d’origine ; nous pouvons créer du métal à partir de l’eau.

     

    Destruction de déchets toxiques…

     

    La flamme implosive du GB réduit pratiquement tous les matériaux à leurs composants de base (pour la plupart non toxiques). On pourrait, dans des chambres étanches, vaporiser les déchets toxiques, y compris les PCB (polychlorobiphényles).

     

    Augmentation du rendement du minerai…

     

    Lors d’essais effectués dans des mines, le GB a permis de tripler la production de minerai par masse d’extraction. Il serait donc possible de traiter au GB les terrils de rejets d’anciennes mines pour en extraire plus de minerais que la production d’origine. Voilà encore une application qui vaut des milliards de dollars.

     

     

    Amélioration de la respiration sous l’eau…

     

    Le GB est non toxique et respirable. Utilisé comme gaz de plongée, il permet une immersion prolongée et une remontée plus rapide parce que l’hydrogène est beaucoup moins générateur d’embolie gazeuse que l’azote ou l’hélium. Cela ouvre la voie à une meilleure exploitation des ressources océaniques.

     

    Chauffage domestique…

     

    En général, le GB est peu propice au chauffage des espaces parce que la flamme émet très peu d’énergie radiante infrarouge. Il semble cependant qu’en

     

    utilisant un radiateur en matériau catalytique chauffé au GB, la chaleur dégagée serait énorme et ne nécessiterait pas de ventilation particulière de la pièce. On envisage un rendement de 400 %.

     

    Autrement dit, un apport d’énergie de GB de 400 watts produirait une émission calorifique de 16 000 watts. Ceci n’a pas encore été vérifié par Eagle-Research,

     

    mais nous avons suffisamment d’indices pour pouvoir le mentionner ici.

     

    Traitement des surfaces…

     

    Passées à la flamme de GB, les surfaces des matériaux acquièrent des qualités supérieures. La surface du fer est durcie, ce qui le rend résistant à la rouille et à l’usure. La brique et le mortier deviennent indégradables et étanches à l’eau.

     

    Amélioration de la combustion…

     

    Il a été démontré qu’à l’aide du BG il est possible de brûler des mélanges eau/combustible fossile dans une proportion de 90 % d’eau. Cela fonctionne

     

    tant en combustion interne qu’externe, c’est-à-dire pour des véhicules, du chauffage domestique ou des centrales électriques.

     

     

    1832 - Michael Faraday découvre les lois de l’électrolyse et sépare l’hydrogène de l’eau en utilisant l’électricité.

     

     

    1875 - Dans L’Ile mystérieuse, Jules Verne écrit : « L’eau est décomposée en ses éléments primitifs, sans doute par l’électricité, qui sera devenue une force puissante et maniable... Je pense que l’eau sera un jour utilisée comme combustible ».

     

    1935 - Henry Garrett fait breveter un carburateur électrolytique qui permet à une voiture de fonctionnerà l’eau.

     

    1962 - William Rhodes (États-Unis) est le premier inventeur connu pour avoir fait breveter un électrolyseur produisant le gaz simple à « conduit unique » que nous appelons aujourd’hui le « gaz de Brown ». Un peu plus tard, Rhodes fonde la Henes Corporation, dont il est évincé par ses partenaires.

     

     

    Grossière erreur, car ils ne connaissent pas encore son meilleur projet. La Henes Corp décline, change plusieurs fois de mains et est finalement rachetée par

     

    Dennis McMurray. Rebaptisée Arizona Hydrogen, installée à Phoenix, cette firme est aujourd’hui prospère.

     

     

    1974 - Yull Brown (1922-1998), un Bulgare dont le vrai nom est Ilya Velbov, émigre en Australie, dépose un brevet pour son électrolyseur à gaz de Brown et passera le reste de sa vie à tenter de commercialiser son invention. Il lui en

     

    coûtera environ 30 millions de dollars et trente années d’efforts. Plusieurs compagnies voient le jour, certaines en coopération avec Brown, d’autres en

     

    concurrence. 

     

    1991 - Le Coréen Kim Sang Nam visite le laboratoire de Yull Brown, dans les faubourgs de Sydney. C’est le début d’une coopération de Brown avec BEST Korea Co. Ltd. Ensemble, ils parviennent à mettre au point une technologie innovante à partir du GB (voir site web : www.BrownGas.com).

     

    1994 - Au Canada, George Wiseman, de Eagle-Research, initie un programme de recherche indépendant sur le GB et abandonne la technologie conventionnelle des électrolyseurs. Il s’appuie sur la compétence de sa compagnie en matière d’énergies alternatives et réussit un design amélioré de ce générateur.

     

     

    Parallèlement, Eagle-Research reprend le meilleur projet de William Rhodes en le perfectionnant. Rhodes vérifie et confirme la technologie du GB.

     

    2006 - Teslalein Research, aux Pays-Bas, commence une recherche sur le GB. En février 2006, le scientifique et inventeur Loek Gans construit un générateur de GB auto-alimenté par énergie solaire. Il produit, par jour, trois heures de gaz grâce à un unique panneau solaire de 1 ampère.

     

    La technologie GB commence à être connue dans le monde entier et à être utilisée pour diverses applications. Des recherches sont menées un peu partout. Quelques grandes compagnies pétrolières y voient leur intérêt à long terme et ne se sentent pas menacées parce que cela augmente leurs profits. Des  investisseurs s’y impliquent à grande échelle, des personnes privées utilisent cette technologie et les fabricants d’économiseurs de carburant pour véhicules s’intéressent à l’hydrogène du GB.

     

    Aujourd’hui, Eagle-Research vend les générateurs de GB et bien d’autres solutions énergétiques alternatives. BEST Korea et le Chinois Norinco constituent les plus gros fournisseurs de générateurs de GB au monde.

     

    Source : NEXUS n°48 janvier-février 2007

    A quand une vrai utilisation de ce gaz de Brown par nos gouvernants pour changer le monde ?

    Hélas sans doute jamais...


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    SAVANTS ET DECOUVERTES CAPITALES (SAVANTS SUICIDES)...

    Paul Kammerer, biologiste autrichien, qui, en 1924, prouva par des expériences sur les salamandres l’hérédité des caractères acquis. Accusé à tort par des savants américains d’avoir falsifié le résultat de ses expériences, il fut "suicidé" par les nazis, car sa découverte ruinait le dogme de l’immuabilité génétique.

    Les savants occidentaux maintinrent le dogme, refusant de réhabiliter Kammerer. Antoine Béchamp, professeur de toxicologie et de chimie médicale à la Faculté de Montpellier, qui découvrit l’élément primordial de la cellule vivante qu’il dénomma "microzyma". Il démontra que celui-ci pouvait devenir bactérie ou virus et en déduisit le "polymorphisme bactérien". Il dénonça l’erreur du monomorphisme de Pasteur qui entraînait la médecine vers la phobie du microbe et la négligence du terrain. Jules Tissot, professeur de physiologie générale au Museum d’Histoire naturelle, qui confirma les thèses du précédent et en apporta les preuves par des photographies de haute précision de cellules végétales et animales. Il démontra que les organismes vivants, quand ils se dérèglent, produisent eux-mêmes bactéries pathogènes et virus. Il fut victime, comme Béchamp, de la conspiration du silence entretenue par les pasteuriens.

    René Quinton, scientifique autodidacte, qui découvrit la similitude de notre milieu intérieur et de l’eau de mer. Il acquit en 1906 une célébrité mondiale en sauvant, par l’injection d’eau de mer isotonique, des milliers d’enfants atteints du choléra et il démontra que la transfusion d’eau de mer pouvait remplacer la transfusion de sang. Salué au début du XXe siècle par la presse américaine comme le "Darwin Français", il a été totalement effacé de notre culture.

    Marcel Ferru, professeur de sciences fondamentales, titulaire de la chaire de clinique médicale infantile à l’Ecole de Médecine de Poitiers, qui démontra l’inefficacité et la nocivité du vaccin antituberculeux BCG. Il lutta énergiquement mais sans succès contre son obligation légale adoptée en 1958. (La France est le seul pays d’Europe où ce vaccin nocif est encore obligatoire.)

    Edgard Nazare, ingénieur d’aéronautique, qui inventa la "centrale aérothermique" constituée d’une tour à vortex capable de créer un cyclone artificiel permanent et produisant une énergie gratuite et non polluante dérivant directement du rayonnement solaire. Il ne parvint jamais à faire expérimenter son invention "gênante" par l’EDF et les pouvoirs publics acquis au nucléaire. Toutes ses inventions furent occultées.

    Marcel Macaire, docteur ès-sciences, qui parvint à résoudre les équations posées par Einstein, mit en évidence l’autoconfinement de l’énergie (qui confirme l’identité de la matière et de l’énergie), expliqua la distribution ordonnée de tous les corps célestes et montra que l’effet Doppler ne s’applique pas au photon et que, par voie de conséquence, le dogme de l’expansion de l’univers est erroné. Ses thèses n’ont toujours pas été acceptées par le monde scientifique.

    René Jacquier, ingénieur chimiste, qui élucida, en 1947, le processus thérapeutique du "voyage en avion" contre la coqueluche, ce qui lui permit d’inventer un procédé catalytique d’oxygénothérapie efficace contre de nombreuses maladies, notamment cardio-vasculaires. Il établit également l’efficacité de l’oxygénation en traitement anti-cancéreux tant préventif que curatif. Sa thèse ne fut jamais reconnue, ni même examinée, par les Académies des sciences et de médecine.

    Antoine Priore, ingénieur électronicien, qui construisit en 1950 une machine rayonnant des champs électriques et électromagnétiques détruisant les tumeurs et les cellules cancéreuses. Malgré les preuves incontestables de son efficacité et le soutien de professeurs d’université bordelais ainsi que de Jacques Chaban-Delmas, son appareil, avec lequel il guérit clandestinement de nombreux malades, ne fut jamais agréé par les cancérologues parisiens.

    Jean Solomidès, docteur en médecine, licencié ès-sciences, diplômé de bactériologie, chercheur à l’Institut Pasteur durant huit ans, qui inventa les "physiatrons synthétiques" destructeurs des cellules cancéreuses. Chassé de l’Institut, il ouvrit son propre laboratoire et guérit de nombreux cancéreux. L’Ordre des médecins le poursuivit pour "exercice illégal de la médecine" car il était médecin de l’Université (non de la Faculté), et ne pouvait donc être inscrit à l’Ordre pour exercer, bien qu’ayant toutes les compétences requises.

    Mirko Beljanski, docteur ès-sciences, chercheur en biologie moléculaire à l’Institut Pasteur pendant trente ans, puis en Faculté de pharmacie pendant dix ans, qui inventa des produits efficaces contre le cancer ainsi que contre le sida. Il créa son propre laboratoire et put guérir de nombreux malades. Sur plainte de l’Ordre des pharmaciens, il fut arrêté, menottes aux mains, à l’âge de 73 ans, puis persécuté judiciairement jusqu’à ce que mort s’ensuive.

    Loïc Le Ribault, docteur ès-sciences, inventeur de l’exoscopie (technique d’analyse au microscope électronique à balayage), ancien expert en microanalyse près la Cour d’Appel de Bordeaux, rénovateur de la police scientifique française et créateur du G5 http://g5.amessi.asso.fr/ , efficace en thérapie contre de nombreuses maladies, qu’il ne put malheureusement jamais faire agréer en France (mais qui l’est dans le Commonwealth). Poursuivi par l’Ordre des médecins en France, il fut emprisonné durant deux mois et demi en Suisse et est aujourd’hui en exil, ces talents ne profitant plus à la France…..

    Voir aussi DECES de LOIC le RIBAULT dans la page blog : DECES de PERSONNES IMPORTANTES au niveau HUMAIN sur le site ci contre : http://oya.hautetfort.com/

    Extraits du livre de PIERRE LANCE

    Nikola Tesla, ingénieur américain d’origine serbe, qui fut un des pionniers de l’électricité et le promoteur du courant alternatif aujourd’hui mondialement adopté. Il parvenait au cours de ses expériences à produire dans un bruit de tonnerre des éclairs de 40 mètres et il découvrit le moyen d’utiliser la Terre comme une prise électrique géante pour produire de l’énergie électrique en quantité illimitée. Après sa mort, cette invention fut occultée et jamais exploitée.

    Linus Pauling, biochimiste américain mondialement connu, Prix Nobel de chimie 1954 et Prix Nobel de la Paix 1963. Bien qu’unanimement célébré, il fut soudain violemment critiqué et mis à l’index lorsqu’il développa sa théorie selon laquelle le cancer peut être mis en échec par la simple prise de Vitamine C à hautes doses. Le corps médical fut contraint d’admettre la valeur de cette vitamine, mais déconseilla les fortes doses et n’admit que les doses minimes sans véritable effet thérapeutique.

    André Gernez, ancien médecin-chef à l’hôpital de Roubaix, qui découvrit dans les années soixante le moyen de stopper toute apparition du cancer par la prise périodique d’un sédatif léger couramment utilisé pour les nourrissons et ne présentant aucun effet secondaire. Bien qu’ayant retenu un moment l’attention du gouvernement américain du Président Nixon, cette découverte fut finalement étouffée en France comme aux U.S.A

    Gaston Naessens, inventeur en 1945 d’un médicament anti-cancéreux très efficace, grâce à un microscope révolutionnaire mis au point par lui-même. Il fut poursuivi et condamné en France pour exercice illégal de la médecine et il dut, en 1964, s’exiler au Québec, d’où il continue de diffuser son produit vers 80 pays, malgré les ennuis que lui créent parfois les autorités médicales canadiennes.

    David Rees-Evans, guérisseur gallois héritier d’une longue tradition familiale en phytothérapie, qui parvenait à détruire les tumeurs cancéreuses avec des cataplasmes de plantes. Malgré divers procès, sa notoriété due à ses succès ne cessa de s’étendre en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. La pression de l’opinion publique obtint du gouvernemental Britannique la nomination d’une Commission d’enquête officielle, mais celle-ci contesta ses résultats et tenta de le discréditer.

    Jean-Pierre Maschi, médecin généraliste niçois qui découvrit dans les années 60 que la "pollution électrique" était la cause principale de la sclérose en plaques. Il mit au point un traitement efficace pour la soigner. Ses nombreux succès lui valurent les premières pages de la presse et une accusation de publicité par l’Ordre des médecins, qui le radia à vie. Sans se soucier de cette radiation, il continua de soigner de nombreux patients.

    Paul Thépenier, ingénieur des arts et métiers, spécialiste des exploitations pétrolières, qui découvrit avant la guerre de 1940 le moyen de soigner avec succès la tuberculose et le cancer grâce à des moisissures de pétrole. Encouragé par un professeur de médecine, il put effectuer en milieu hospitalier des essais réussis. Mais toutes ses communications à l’Académie de médecine furent ignorées et sa découverte fut négligée.

    Pierre Delbet, grand patron chirurgien, membre des Académies de médecine et de chirurgie, qui découvrit durant la guerre de 14-18 l’effet régénérateur et anticancéreux du chlorure de magnésium. Il prouva la validité de cette thérapie par de nombreuses expériences ainsi que par des cartes géographiques faisant apparaître la bien moindre fréquence du cancer dans les régions riches en magnésium, mais il ne parvint jamais à persuader ses confrères de proposer une politique préventive du cancer.

    Auguste Lumière, co-inventeur du cinéma, qui consacra la seconde partie de sa vie à des recherches médicales très poussées et couronnées de succès, notamment contre la tuberculose. Auteur de plus de 20 ouvrages médicaux, créateur de 150 spécialités pharmaceutiques et d’une clinique lyonnaise réputée employant 15 médecins et 30 collaborateurs, il ne put jamais faire reconnaître officiellement la valeur de ses travaux et son oeuvre tomba dans l’oubli.

    Norbert Duffaut, chimiste qui découvrit en 1957 le silicium organique et ses vertus thérapeutiques et régénératrices. Il put apporter, au cours d’essais hospitaliers, la preuve de son efficacité contre le cancer et les maladies cardio-vasculaires. Malgré des succès spectaculaires et des demandes réitérées, il ne réussit jamais à obtenir l’autorisation de mise sur le marché de son DNR comme médicament.

    Jacques Benveniste, interne des hôpitaux, directeur de recherche à l’Inserm, qui découvrit en 1984 le phénomène dit "de la mémoire de l’eau", lequel explique l’efficacité des hautes dilutions homéopathiques (volumes aquatiques dans lesquels toute trace de la molécule initialement diffusée a disparu). Il expliqua leur effet par la transmission d’informations imprégnées, de surcroît enregistrables et transmissibles par Internet. Il subira toujours l’ostracisme des cénacles officiels jusqu’à son décès en 2004.

    Louis Kervran, biologiste qui découvrit dans les années 60 la réalité des transmutations biologiques, c’est-à-dire la transformation des atomes à l’intérieur des organismes vivants, analogue aux transmutations revendiquées par les alchimistes médiévaux. (C’est ainsi que les poules qui ne trouvent pas de calcaire dans leur environnement picorent les parcelles de mica que leur corps transforme en calcaire pour édifier les coquilles d’oeufs). Malgré les nombreuses preuves qu’il apporta de ce que l’on appela après lui la "fusion froide", le monde scientifique refuse encore de croire à cette possibilité qui ouvrirait à la science de larges horizons énergétiques et biologiques.

    Georges LAKHOVSKY - Ingénieur russe émigré en France, inventeur d’un tire-fond révolutionnaire (vis qui fixe les rails de chemin de fer) ayant amélioré la sécurité des trains. Il créa en 1923 son premier appareil émetteur à usage thérapeutique, l’oscillateur à ondes multiples, qui put guérir de nombreux cancéreux. La médecine officielle refusa de reconnaître la valeur de l’appareil, malgré les multiples témoignages de praticiens de tous pays qui l’utilisèrent avec succès.

    Royal Raymond RIFE - Ingénieur américain, qui mènera aux USA des travaux analogues à ceux de Lakhovsky et construira des appareils également efficaces. Il fut le premier chercheur à identifier et photographier au microscope le bacille de la tuberculose. Ayant refusé de se plier aux exigences du dirigeant corrompu d’une grande association médicale, il sera traîné en justice et complètement ruiné. Malgré une reconnaissance tardive, il terminera sa vie dans une misère totale.

    Jean BERTIN - Ingénieur français, inventeur de l’Aérotrain, le premier train à grande vitesse se déplaçant sur coussin d’air et qui atteignit la vitesse record de 440 km/heure. Bien que soutenu par de nombreux ministres, mais contré par les dirigeants de la SNCF, son train performant ne sera jamais agréé, malgré des coûts d’installation et d’exploitation très inférieurs à ceux du TGV lancé ensuite.

    Alexandre SALMANOFF - Prestigieux docteur russe (diplômé des Facultés de Moscou, de Berlin et de Pavie) qui fut chargé durant la révolution d’organiser la lutte contre la tuberculose et de réorganiser les stations thermales sur l’ensemble du territoire russe et devint le médecin particulier de Lénine. Non communiste, il émigra en France en 1922, où il élabora une méthode complète de médecine naturelle que le corps médical refusa d’examiner.

    Ivan MAKHONINE - Ingénieur russe ayant réalisé le premier train électrique qui fonctionna durant deux années entre St Petersbourg et Moscou. Il émigra en France en 1922. Il avait inventé un carburant révolutionnaire ininflammable à froid et qui était extrait des charbons et huiles lourdes. Extrêmement économique et trois fois plus performant que l’essence, ce carburant ne parvint jamais à être agréé et l’inventeur se heurta aux trusts pétroliers jusqu’à la fin de sa vie.

    Ernest VILLEQUEZ - Professeur de médecine français, il découvrit le parasitisme latent du sang et inventa un test de dépistage du cancer permettant de déceler des micro tumeurs qu’aucune autre technique ne permet de découvrir. Malgré un taux de réussite de 95 %, les " grands patrons " cancérologues n’acceptèrent jamais de le pratiquer.

    Michel MOIROT - Médecin français qui découvrit l’importance des traumatismes psychologiques dans la genèse du cancer. Il se livra à de longues études sur des patients en milieu protégé, en l’occurrence au sein des confréries religieuses. Malgré une démonstration rigoureuse et des confirmations multiples, il ne put faire admettre sa théorie par les mandarins, qui refusèrent d’abandonner à la psychologie une partie de leur " domaine réservé ".

    Ryke Geerd HAMER - Médecin allemand qui fit la même découverte que Moirot, à la suite d’un drame familial (le meurtre de son fils) qui déclencha un cancer chez lui et chez son épouse. Il mit au point un traitement original appelé " médecine nouvelle " grâce auquel il put guérir de nombreux malades. Mais il fut radié du corps médical en Allemagne et en Autriche, puis poursuivi et condamné en France, où il est actuellement en prison.

    Philippe LAGARDE - Médecin français qui perfectionna une technique de dépistage du cancer élaborée par le chercheur allemand Henri Heitan. Il mit au point un traitement anticancéreux efficace à base de produits autorisés en Suisse. Poursuivi sur plainte de l’Ordre des médecins, il fut emprisonné à Nice. À sa sortie de prison, il s’exila vers l’Italie et il créa en République de San Marino le Centre Health Service, où il dirige une équipe médicale performante pratiquant toutes les thérapies efficaces.

    Hans NIEPER - Médecin allemand réputé, il combattit toute sa vie le conformisme médical et inventa des traitements originaux efficaces que le corps médical continue d’ignorer. Également physicien, il créa l’Association allemande pour l’énergie du champ du vide, qui encouragea de nombreuses expériences dans la recherche de nouvelles énergies, notamment sur " l’eau combustible ", permettant de faire fonctionner un moteur " brûlant " 90 % d’eau.

    Joël STERNHEIMER - Physicien français qui a inventé un procédé de régulation de la synthèse protéique exploitant l’influence de la musique sur les organismes vivants. Ses expériences ont démontré que la mélodie spécifique d’une protéine, si elle est amplifiée et diffusée à proximité immédiate d’un organisme, peut stimuler en lui la synthèse de cette protéine. C’est ainsi que la production d’un plant de tomate a pu être multipliée par vingt. Si cette technique était appliquée, le problème de la faim dans le monde serait résolu ; mais évidemment la communauté scientifique fait la sourde oreille…

    Jean-Pierre PETIT - Physicien français marginalisé par la nomenklatura scientifique pour son originalité, dérangeante dans de nombreux domaines, dont les futurs voyages spatiaux. Seul spécialiste français compétent en MHD (magnétohydrodynamisme), il s’est illustré en réalisant des systèmes de propulsion approchant les performances réalisées par les OVNIs, dont la réalité et la provenance extra-terrestre ne font pour lui aucun doute. L’Etat a essayé d’exploiter ses travaux tout en l’écartant des expériences, ce qui a conduit à l’échec.

    STANLEY MEYER : Prolifique non scientifique qui a une quarantaine de brevets à son actif. Il a travaillé avec la NASA. Il a travaillé pour la Fondation Battelle dans l’Ohio, à la mise au point du projet Gemini à la NASA et aussi au système d’alimentation en énergie sur le concept EBED pour le projet Guerre des Etoiles. On a tenté plusieurs fois d’"acheter" Meyer aussi bien dans son travail que personnellement, et il a été victime de provocations.Il a financé seul son travail scientifique, au sujet de son invention ‘’’ un generateur à hydrogene portable qui lui a permis de faire 9000 kms entre LOS ANGELES et NEW YORK à bord de sa voiture BUGGY pour un plein total de 100 litres D’EAU……….reconnu et récompensé par des organismes nationaux et internationaux, et a été élu inventeur de l’année dans le Who’Who américain de 1993. (Il a ensuite reçu des soutiens substantiels du Canada, d’Angleterre, et de Suède…. Stanley Meyer est mort en 1998, empoisonné dans un restaurant quelque temps après avoir été interdit de diffuser son invention….

    Le POST à SOUDER à EAU et la VOITURE à EAU issus de la technologie MEYER….. http://www.youtube.com/watch?v=c2B2...

    http://www.dailymotion.com/related/....

    http://www.dailymotion.com/related/....

    http://www.dailymotion.com/related/....

    mais il y en a tellement d’autres que ce serait trop long de les lister tous et toutes, alors voici les SITES ci-dessous où vous pourrez SURFER les LIENS qui vous montrerons que ces ‘’’’ EXCLUSIONS ‘’’’’ ( ci-dessus ) ne sont pas du tout, du tout marginales et que ce n’est que la POINTE de L’ICEBERG de la ‘’’’ CENSURE ‘’’’ des pesanteurs du conditionnement Scientifique, Religieux, Politiques de notre EPOQUE du Millénaire des années 2000…( si vous trouvez qu’il y a certaines ressemblances avec l’Epoque à GALILEE, c’est pas faux ), voici donc quelques URLS/LIENS pour satisfaire votre SAINE CURIOSITE et pour vous donner une NOUVELLE VISION de ce que nous prenons souvent à tord pour la seule réalité.

    http://www.ldi5.com/heret/heret_arc...

    Sur ce sites en particulier se trouve référencés tous les domaines scientifiques qui ont vus d’éminents chercheurs exclus …. Parce qu’ils avaient ou ont trouvé des ‘’ choses ‘’ qui dérangent la Communauté des Scientifiques qui ne veulent pas voir plus loin que le bout de leur nez..

    http://alter.over-blog.net/categori...

    Un site très très intéressant pour ces LIENS URL vers d’autres lieux de même nature…

    Quand tout ceci se passe principalement dans le domaine plus général de la Science, qui influence directement le DEVELOPPEMENT du MEILLEUR POSSIBLE pour tous et toutes, cette OCCULTATION OBSTRUCTION des cerveaux, qui est le choix délibéré de faire voir le Monde d’une certaine manière et non pas de toutes les autres manières possibles, cela développe un SOUS DEVELOPPEMENT DANGEREUX pour tous et toutes à long terme, qui laisse les habitants de PLANETE TERRE à la merci des dangers, là où règnent la misere et la pauvreté, la concurrence ennemies économique, la pollution généralisée et le développement accéléré des destructions faites à la biodiversité et à la planète en géneral dans sont fonctionnement des EQUILIBRES NATURELS FRAGILES….. 63b7401f186bd63bb670e2b188843e75.jpg encore :

    En 1837, Andrew Crosse (électricien et scientifique amateur) fit des expériences pour produire des cristaux de silice par synthèse en faisant passer un courant continu de basse tension. A sa grande surprise, le 26ème jour les formes qu’il a observé par le biais de lentilles prirent laforme d’un insecte. Le 28ème jour ces petites créatures bougeaient leurs pattes. Quelques jours plus tard, elles se séparaient de la pierre et bougeaient à leur gré. "Ces insectes semblent appartenir au genre Acarien mais il reste à déterminer s’ils appartiennent à une espèce connue ; certains disent non."

    Weeks (un autre amateur) a réussi le même genre d’expériences. Faraday, dans un article lu au Royal Institute, déclarait que des apparitions similaires s’étaient produites au cours de ses propres expériences, mais il ne savait pas si l’on pouvait les considérer comme " un cas de production ou de revivification de ce qui existait dejà en état de latence ". Magazine, Nexus, No 4, 09-10/1999

    Dans un bouillon de culture contenant de minuscules traces de lithium, le biologiste allemand Erwin Santo avait implanté des bactéries, donc des organismes qui ne sont pas encore des cellules, le noyau cellulaire leur faisant défaut. Il les avait laissées reposer pendant dix-sept heures, sous une température ambiante supérieure à la normale, dans ce bouillon de culture ; au bout de cet intervalle de temps, elles s’étaient associées en cellules nettement reconnaissables avec leur noyau et leur plasma, assez similaires aux globules blancs. Et ces cellules vivaient... Livre, Malédiction des Pharaons (La), Philipp Vandenberg, Ed. J’Ai LuLes scientifiques ont découvert certains codes inscrits dans certains segments de l’ADN. Ils ont également trouvé des segments qu’ils estiment être superflus ( appelés par ignorance junk ADN ).Ces brins d’ADN, qui étaient auparavant demeurés à l’état latent, vont être activés. D’après les Pléiadiens : " Dans nos enseignements, nous avons toujours mis l’emphase sur l’importance de l’oxygène parce que l’oxygène alimente les codes et éveille l’ADN de sa latence ".Cet éveil de l’ADN permettra de perfectionner tous ses sens, prolonger la vie, etc...car dans l’ADN il n’y a aucun JUNK ADN, ce n’est que des POSSIBLES non encore EVEILLES Livre, Messagers de l’Aube, Barbara Marciniak, Ed. ArianeOn sait aujourd’hui que l’ADN des enfants de nos jours changent. Chez les humains normaux seulement 20 codons sont en activité. Certains enfants de nos jours en ont 24.

    (Source : "l’ancien secret de la fleur de vie" tome 2, Drunvalo Melchizedek, Ed. Ariane) Magazine, Soignez-vous, Santé Pratique

    "Ma mère a deux ADN !

    BIOLOGIE CELLULAIRE Nous sommes tous des chimères : notre organisme héberge toute sa vie des cellules de notre mère, de nos grands-parents ou frères et soeurs aînés, recueillies pendant notre gestation. Margot Kruskall, médecin au Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston (Massachussets), a été confrontée à un cas étrange il y a cinq ans. Sa patiente, que nous appellerons Jane, avait besoin d’une greffe de rein, si bien que les membres de sa famille - son mari et ses trois fils- ont subi des examens sanguins pour voir si l’un d’entre eux ferait un bon donneur. Mais, en même temps que les résultats, Jane a reçu un vrai coup de matraque : la lettre lui annonçait que deux de ses trois fils n’étaient pas d’elle, alors même qu’elle les avait conçus naturellement avec son mari, qui en est incontestablement le père. Qu’est ce que c’était que cette histoire ? Kruskall et son équipe ont mis deux ans à résoudre cette énigme. Ils ont fini par découvrir que Jane était une ’’’ chimère ’’’, soit un mélange de deux individus - c’est à dire deux fausses jumelles [hétérozygotes] qui avaient fusionné dans l’utérus pour devenir un seul organisme. Certaines parties de son corps provenaient du premier, les autres du second. Deux de ses fils ont hérité de l’un de ces profils génétiques, le troisième de l’autre. Avec Jane, on a certes affaire à un cas extrême. Mais, à en croire certaines études, nous serions tous plus ou moins des êtres chimériques. Loin d’être composés d’une seule lignée cellulaire génétique, nos organismes sont cellulairement origines multiples. Nous regorgeons de cellules venant de nos mères, voire de nos grands-parents et de nos frères et soeurs. Cela peut paraître un peu choquant a priori. L’idée d’héberger des cellules d’autrui ne fait pas bon ménage avec notre sens de l’individualité. Mais ces "étrangers" nous permettent peut-être de rester en bonne santé.

    Pendant la grossesse, le sang de la mère et celui du foetus sont séparés, mais certaines cellules parviennent à franchir la barrière placentaire, ce qui veut dire que l’on peut avoir emprunté des cellules à sa mère et inversement. En fait, entre 80 et 90% des mères ont des cellules ou de l’ADN de leur enfant dans le sang pendant la grossesse, et 50% d’entre elles les gardent pendant plusieurs décennies après l’accouchement. C’est ce qu’on appelle le microchimérisme. Si votre mère a eu un enfant après vous, certaines de vos cellules peuvent être passées dans l’organisme de votre frère cadet. Et les jumeaux peuvent s’échanger des cellules dans le ventre de la mère, en particulier s’ils se partagent le placenta. Ainsi, une seule personne peut abriter toute une population de cellules différentes appartenant à plusieurs générations.

    "Les femmes hébergent des cellules à la fois de leur mère et de leurs enfants", commente J. Lee Nelson, immunologiste au Fred Hutchinson Cancer Research Center, à Seattle.

    Dans une étude à paraître dans la revue Arthritis & Rheumatism, Lee Nelson et sa collaboratrice Natalie Lambert expliquent qu’en analysant des échantillons sanguins prélevés sur 32 femmes saines elles ont découvert que 22% d’entre elles portaient des globules blancs de leur mère - environ 50 pour 1 million de cellules sanguines. Et cela vaudrait également pour les hommes.

    Cette découverte suscite bien des interrogations. Comment se fait-il que ces envahisseurs cellulaires ne soient pas éliminés par le système immunitaire ? Ces cellules se divisent-elles à l’intérieur de l’hôte ? Et pourquoi la mère et l’enfant échangent-ils des cellules ? En ce qui concerne le passage des cellules foetales dans le corps de la mère, il n’est pas impossible que ces cellules encouragent le système immunitaire de la mère à tolérer le foetus. Après tout, la grossesse équivaut à héberger un organe transplanté pendant neuf mois, et les chercheurs en matière de greffe savent depuis un certain temps que le microchimérisme causé par les lymphocytes de la greffe, lorsqu’ils se mélangent avec ceux de l’hôte, peut encourager celui-ci, dans certains cas, à accepter la transplantation. "En revanche, on ne sait pas à quoi servent [les cellules foetales] à long terme", reconnait Lee Nelson.

    Pour ce qui est du passage des cellules maternelles au foetus, il semblerait qu’elles jouent un rôle majeur dans la santé de l’enfant qui va naître. Au dire de Lee Nelson, les cellules de la mère pourraient contribuer à la réparation des tissus, en particulier pendant la vie intra-utérine. Des types inconnus de cellules maternelles traverseraient le placenta pour s’intégrer à l’organisme du foetus.

    Le microchimérisme pourrait obliger les immunologistes à récrire leurs manuels." Magazine, Courrier International, No 683, 4 au 10 décembre 2003, Ma mère a deux ADN !, New Scientist, Londres, Claire Answorth


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  • POUVOIRS

    «...Tout ce qui naît dans le temps a son origine dans l'éternel. La perception sensible n'y accède pas, mais les voies qui y conduisent sont ouvertes à l'homme.

    Il peut développer les forces qui sommeillent en lui et parvenir ainsi à la connaissance de l'éternel. À un degré avancé de connaissance, l'homme peut accéder jusqu'aux sources éternelles des choses périssables dans le temps.

    Si l'homme élargit ainsi sa faculté de connaissance, il ne dépend plus alors, des témoignages extérieurs pour connaître le passé. Il devient capable de contempler ce qui, des événements, n'est plus perceptible par les sens, ce que le temps ne peut détruire. Il passe de l'histoire éphémère à l'histoire éternelle, qui dans la gnose et la théosophie s'appelle «Chronique de l'Alaska».

     

     

    Rudolf Steiner et le charlatanisme
    La "médecine" anthroposophique

    Roger Rawlings

    Rudolf Steiner (1861-1925) était un mystique autrichien et "clairvoyant" autoproclamé fondateur de l'anthroposophie. En plus de son intérêt prononcé pour le spiritualisme, Steiner se tourne également vers d'autres sujets plus terrestres. Un de ceux-ci était l'éducation : Steiner a fondé le mouvement des écoles Waldorf, qui comprennent de nos jours environ 800 écoles. Un autre domaine d'intérêt de Steiner fut la médecine. De nos jours, on trouve des praticiens de la "médecine anthroposophique" en Amérique du Nord, en Europe et ailleurs.

    Le principe sous-jacent de la médecine anthroposophique est que tout corps est infusé et manifeste de l'esprit. Steiner déclarait que les causes de la maladie ne sont pas principalement physiques, mais reflètent les conditions spirituelles. Pour ce qui est des êtres humains, il enseignait :

    • Nous sommes en bonne santé lorsque l'organisme physique est correctement "aligné" avec trois corps non-physiques qui se manifestent durant la vie humaine : (1) le "corps éthérique" (un ensemble de forces vitales), (2) le "corps astral" (les forces de l'âme) et (3) le "I" (une obscure individualité divine, ou ego, qui sépare les vrais humains des animaux et des sous-hommes).
    • Une mauvaise santé, d'autre part, reflète souvent l'aboutissement d'une des "destinée karmique". Si quelqu'un vient au monde porteur d'impuretés spirituelles à cause des pêchés et des erreurs commises lors de ses vies antérieures, la maladie peut servir de rite de passage, en purgeant le mal du système corporel/spirituel. Ainsi, l'intervention médicale n'est souvent pas une bonne idée : un docteur qui guérirait un patient par des médicaments, etc, pourrait bloquer le processus d'auto-guérison "karmique" du patient.

    Un des corollaires des doctrines médicales de Steiner est que les docteurs anthroposophiques évitent généralement de donner des vaccins. En s'adressant à un groupe de docteur, Steiner disait :

    Nous comprenons donc pourquoi, parmi les meilleurs esprits de notre époque, il existe une espèce d'aversion contre la vaccination. [En vaccinant, n]ous accomplissons simplement quelque-chose que la personne devrait produire elle-même en contrepartie dans une réincarnation prochaine. Si nous détruisons la prédisposition à la variole, nous nous concentrons seulement sur le côté externe de l'activité karmique1.

    Bien qu'allergiques à la vaccination pour ne pas interférer avec la destinée karmique, les médecins anthroposophiques ne refusent pas les traitements standards. Ce sont de vrais médecins, passés par l'école de médecine. Après avoir obtenu leur doctorat, ils peuvent utiliser les traitements standards à l'occasion, mais ils ont aussi recours aux thérapies alternatives quand ils les juge plus appropriés. Par exemple, le Defending Steiner Web déclare :

    Les médecins anthroposophes ne rejettent rien a priori de la boite à outils de la médecine conventionnelle. Chaque option est considérée pour son adéquation à chaque cas spécifique. Les antibiotiques sont utilisés quand cela est nécessaire, mais aussi les remèdes homéopathiques. La thérapie physique est prescrite, mais aussi l'eurythmie curative (des exercices avec mouvements afin "d'équilibrer les forces avec le corps2").

    Les produits phytothérapiques et homéopathiques sont souvent prescrits. Par exemple :

    Rescue Remedy ("composé d'urgence", des élixirs du Dr Bach) est utilisé pour les jours de stress quand nous souffrons d'impatience, de tension et de pression. Il a été utilisé avec succès avec les enfants, avant un discours ou un entretien d'embauche. Rescue Remedy nous aide à nous relaxer, à rester concentré et à garder notre calme3.

    Les ingrédients comprennent "l'Étoile de Bethléem" (pour les chocs), la Clématite (pour contrecarrer tout tendance à perdre conscience), le prunus (pour maintenir la stabilité mentale), l'impatience (contre la tension) et l'hélianthème (contre la panique)5.

    Même la maladie la plus sévère pourrait être soignée par des substances naturelles, bien qu'elle soient souvent préparées de manière spéciale.

     

    Steiner croyait que chez les gens touchés par le cancer, ou prédisposés au cancer, les "forces organisatrices élevées" des individus étaient faibles relativement aux "forces organisatrices faibles", et que le déséquilibre résultant menait à une prolifération excessive des cellules, et éventuellement à une production de tumeur. Au début des années 1920, Steiner considérait une préparation à base de gui, nommée Iscador, comme un agent thérapeutique capable de corriger ces déséquilibres4.

    Les descriptions de Steiner, des organes du corps et de leurs fonctions, différaient foncièrement de celles qu'on trouvaient dans les ouvrages médicaux. Il déclarait, par exemple, que le coeur n'était pas une pompe et que le sang circulait de son propre chef, grâce à la force vitale qu'il portait en lui5. De même, il enseignait que le cerveau n'était pas impliqué dans la connaissance6. Pour Steiner, la véritable connaissance était l'exercice de pouvoirs paranormaux rendus possibles quand les individus développaient des "organes de clairvoyance"7.

    Les médecins anthroposophes ne semblent pas avoir dirigé d'études en double-aveugle et contrôlées8, ainsi il est pratiquement impossible d'évaluer leurs taux de réussite. Tous les docteurs ont des témoignages de mystérieuses maladies comme de mystérieuses guérisons. Les croyants dans la médecine anthroposophique rapportent des contes à propos de traitements ayant eu beaucoup de succès, mais il est impossible de déterminer si ces prétendues guérisons relèvent du traitement évoqué, ou des processus de guérison naturels du corps.


    Les conséquences de la négligence médicale

    En utilisant des pratiques "alternatives" au lieu de solutions fondées sur la science, il peut y avoir de graves conséquences. Sur le site waldorfcritics.org, Robert Smith-Hald décrit combien il a souffert quand il était entre les mains des anthroposophes. "Ils croient que la maladie est une incarnation de l'âme, et qu'elle a donc quelque-chose à voir avec le karma. Ils ne croient pas aux vaccins, je suis donc passé par toutes les maladies infantiles, parfois même deux fois." Smith-Hald rapporte qu'il était constamment malade pendant son enfance, et que le principal "traitement" que ces docteurs anthroposophes lui prescrivaient était "des petites pilules de sucre appelées infludo, et ... des seaux et des seaux de thé de prêle, ainsi que du thé à la camomille". Certains aliments le rendaient malade, et on lui demandait donc de consommer de plus grandes quantités de ces mêmes aliments. "Mes parents avaient le sentiment que je devais en avaler plus encore, comme si j'avais manifestement besoin de m'incarner dans cette nourriture. J'ai donc été élevé en étant forcé de consommer une nourriture qui me rendait malade." Devenu adulte, et ayant quitté l'anthroposophie, Smith-Hald a été examiné par un médecin qui a diagnostiqué une intolérance au blé. Depuis, il va beaucoup mieux9.

    Sur ce même site, Sharon Lombard relate ce qui s'est passé quand sa fille est tombée malade à l'école Waldorf :

    Le docteur anthroposophe a fait un diagnostic : mon enfant avait perdu son envie de vivre. Il proposait un traitement possible... nous devions lui donner des crayons de couleurs rouges, jaunes et oranges pour dessiner avec ! Je regardais mon mari incrédule. Quand le docteur nous ordonna de faire le signe d'une flamme de crème d'aurum sur le coeur de mon enfant quand il est au lit. Je restais pantoise. Il nous a dit d'appliquer la crème dorée en partant du coeur vers le haut, en direction du ciel.

    Finalement, la fillette dut passer par une hospitalisation et recouvra la santé graduellement grâce à des soins médicaux normaux10.

    La médecine standard, qui repose sur des recherches approfondies et des faits, est limitée. Elle ne peut expliquer les causes de certaines maladies, et n'offre pas de traitements efficaces pour d'autres. Mais elle détient une arme extrêmement puissante dans son arsenal, quelque-chose qu'aucune approche "alternative" ne possède : la méthode scientifique, qui reste le meilleur outil que l'humanité détient pour découvrir la vérité. Elle est responsable du grand bond en avant que le système de soin médical standard a réalisé, et elle comptera celui à venir.


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  • LES 4 ELEMENTS

    « Le Beau est une manifestation de lois secrètes de la nature qui, s’il n’apparaissait pas, seraient restées éternellement cachées » Goethe

    "Pour s'élever plus haut encore dans la connaissance, il faut faire de la force de l'amour une force de connaissance. Il ne peut s'agir ici du sentiment généralement connu sous ce nom, qui est presque le seul dont on parle à notre époque matérialiste. L'amour que nous nous avons en vue est celui qui nous rend capable de nous sentir un avec un être qui n'est pas nous dans le monde physique, à nous sentir vraiment un avec lui, de manière à éprouver ce qui se passe en lui aussi bien que ce qui se passe en nous et à sortir, par conséquent, complètement de nous pour revivre en lui. Au cours de la vie humaine ordinaire, l'amour n'atteint pas à ce degré auquel pourtant il faudrait qu'il s'élève pour devenir un pouvoir de connaissance."

    L'anthroposophie. L'homme et sa recherche spirituelle.

    L’Anthroposophie est, selon les termes de Rudolf Steiner, une voie de connaissance qui doit « conduire le spirituel en l’être humain jusqu’au spirituel dans l’univers ». Pour Steiner, la démarche anthroposophique appartient à l’ordre de l’ésotérisme, même si certaines formulations, après les mises au point de René Guénon, paraissent manquer de rigueur, par exemple en ce qui concerne le mot « occulte ». On ne pourrait plus affirmer aujourd’hui que l’Anthroposophie est une « science de l’occulte ». Quoi qu’il en soit, lorsque l’on parle de l’Anthroposophie selon Rudolf Steiner, il convient de relever un premier principe « qu’il n’est pas permis de transgresser » et que l’« enseignement ésotérique » doit transmettre : « Toute connaissance que tu cherches dans l’unique but d’enrichir ton savoir, d’amasser en toi des trésors, te détourne de ton chemin ; par contre, toute connaissance que tu recherches pour mûrir sur la voie de l’ennoblissement de l’homme et de l’évolution de l’univers te porte un pas en avant ». Ce principe découle de l’intuition fondamentale de Steiner à propos de ce qu’on pourrait appeler « l’évolutionnisme christocentrique » où il s’agit, pour l’homme moderne, « d’assumer pleinement les acquis de l’histoire spirituelle de l’Occident en vue de leur transmutation, non pas de s’en remettre à une Tradition primordiale dont on attendrait passivement les manifestations sous forme de nouveaux avatars divins ». La Société Anthroposophique universelle est d’ailleurs, selon ses Principes de 1923, « une association de personnes désireuses de cultiver la vie de l’âme dans l’individu et dans la société, en se fondant sur une véritable connaissance du monde spirituel ». L’Anthroposophie constitue donc bien une voie de connaissance, même si elle n’est pas une démarche « ésotérique », au sens strict, dès lors qu’elle cesse de se référer à la sophia perennis, et qu’elle est résolument tournée vers l’action sociale et communautaire. Dernier aspect fondamental de l’Anthroposophie, le lien qui existe entre les différentes formes de la démarche artistique et ce que nous nommerons l’esprit. En cela Rudolf Steiner apparaît un authentique visionnaire dont l’œuvre a une portée qui dépasse même le cadre de l’Anthroposophie : « Ce qui importe pour le véritable chercheur spirituel de l’avenir, en dehors de toute forme pathologique de clairvoyance, c’est le pont qui peut être jeté entre l’art et le regard spirituel. – Celui qui comprend cela, sait qu’il en ira du salut de l’humanité aujourd’hui et dans l’avenir que l’on recherche de plus en plus les choses de l’esprit, la connaissance spirituelle. La lumière de la vision spirituelle doit briller dans l’art, afin que la chaleur et la grandeur de l’art féconde créativement la grandeur et l’horizon de la vision spirituelle » (Munich, 6 mai 1918).

    De l’âme

    L’âme est à la fois masculine et féminine. Il faut imaginer l’homme-femme, des « temps très reculés », sous des apparences fort différentes de ce que sont devenus l’homme et la femme : « des formes humaines souples et malléables » dont les aspects masculin et féminin vont progressivement se dessiner, provoquant à la longue une « séparation des sexes ». Conséquence de cette séparation, le corps a perdu la faculté de s’auto-féconder. Mais aussi, seconde conséquence : la force qui dans l’homme-femme servait à l’auto-fécondation, n’ayant plus à s’exercer, crée le cerveau, la faculté de penser . C’est ce qui fait dire à Steiner que « la pensée a été acquise au prix de l’unisexualité ». Ainsi « le corps masculin et le corps féminin représentent extérieurement chacun une forme imparfaite de l’âme, mais de ce fait deviennent dans leur intériorité des êtres plus parfaits. » Troisième conséquence, enfin, « l’âme acquiert la faculté de collaborer avec l’esprit » : « Pour ce qui est de la vie extérieure, l’être humain connaîtra désormais une fécondation venant du dehors ; pour sa vie intérieure, elle vient du dedans grâce à l’esprit ».

    Du Christ

               Le Christ est un être divin qui, en s’incarnant, participe désormais de l’humanité à laquelle il insuffle de nouvelles forces vitales. La mort et la résurrection du Christ constituent ainsi « le point de retournement » d’une humanité qui au lieu de continuer le processus de décomposition où elle était entraînée inaugure une nouvelle ère, qui est cette fois dans le sens d’une assomption. Comme le dira Steiner, c’est « l’impulsion du Christ » qui permet de « saisir le spirituel ».  

    En conclusion

              L’œuvre de Rudolf Steiner est bien plus qu’un simple courant de la théosophie, et elle n’a même plus qu’un lointain rapport avec ce qu’on entend par « théosophie » au sens moderne du terme. Son rayonnement en Europe et dans le monde est tout de même le signe que quelque chose opère qui est de l’ordre de l’esprit : qui nous tire réellement vers En-Haut, comme l’écrivait Goethe à la fin de son second Faustet qui finalement nous fait comprendre le monde, au sens où l’entendait Novalis : « Nous comprendrons le monde quand nous nous comprendrons nous-mêmes, parce que nous sommes, lui et nous, des moitiés intégrantes. Enfants de Dieu, germes divins nous sommes. Un jour nous serons ce que Dieu est. » (frag. 105, 1798). 


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    QUEL AVENIR POUR L HUMANITE

    Dès sa jeunesse, Edgar Cayce (1877-1945) s’aperçut qu’il pouvait entrer dans un état d’auto-hypnose où il avait accès à une source intarissable d’informations. Il était alors capable de disserter sur n’importe quel sujet et de répondre à toute question avec exactitude. Les exposés qu’il effectua ainsi furent appelés "lectures". On en compte plus de quatorze mille.

    Ses disciples le considére comme l'un des plus grands voyants des États-Unis

    Pendant vingt ans, les "lectures" se consacrèrent à des problèmes de santé. Edgar Cayce n’avait besoin que du nom d’une personne et de l’adresse où elle se trouvait pour décrire sa condition physique et recommander un traitement. L’infaillibilité de ses diagnostics, l'efficacité de ses méthodes de soins et la nature même de ses préceptes de santé intégrale firent de lui le principal précurseur de la médecine holistique moderne.

     Avec le temps, l’information transmise dans les lectures se diversifia considérablement. Elle aborda quelque dix mille sujets d’ordre médical, philosophique, onirique, spirituel, historique, et autres. Ses disciples le considére comme l'un des plus grands voyants des États-Unis. Selon eux Edgar Cayce puisait ses «connaissances extralucides» à même une conscience supérieure indéfinie, telle que Dieu ou les enregistrement akashiques. Grâce à ces connaissances, il a pu prédire que la Californie s'enfoncerait dans l'océan, et qu'un mystérieux cataclysme détruirait New York. Il a «vu» qu'en 1958, les États-Unis découvriraient le rayon de la mort (qui aurait provoqué la disparition de l'Atlantide). Cayce est à l'origine de quelques-unes des idées qui circulent sur l'Atlantide, notament que les Atlantes possédaient un Grand Cristal, la «Pierre Tuaoi», et expliquait qu'il s'agissait d'un immense prisme cylindrique qui servait à rassembler et concentrer l'énergie permettant à ses utilisateurs d'accomplir de fantastiques travaux. Malheureusement, aveuglés par la convoitise, les Atlantes poussèrent leur cristal à une fréquence trop élevée et déclenchèrent des éruptions volcaniques qui provoquèrent la destruction du monde ancien.

    Cayce fit aussi de nombreuses prédictions erronées. Il affirma qu'en 1968, la Chine se serait convertie au Christianisme. Cayce prétendait également pouvoir lire les auras, ce qui n'a jamais été testé de façon objective. Par-dessus tout, cependant, Cayce est connu pour ses capacités à poser des diagnostics médicaux et à lire les vies antérieures par voyance.

    On surnommait Cayce «le prophète endormi» parce qu'il fermait les yeux et paraissait entrer en transe quand il effectuait ses lectures. À sa mort, il a laissé des milliers de diagnostics et de compte-rendus sur des vies antérieures. Un sténographe prenait des notes durant ses transes, et quelque 30 000 transcriptions de ces séances sont actuellement conservées par l'Association for Research and Enlightenment. Le plus souvent, toutefois, Cayce travaillait avec un assistant (Al Layne, hypnotiseur et ostéopathe par correspondance; John Blackburn, M.D.; Wesley Ketchum, homéopathe). Selon Dale Beyerstein, « ces documents n'ont aucune valeur en soi » puisqu'ils ne permettent pas de distinguer ce que Cayce pouvait discerner par ses dons médiumniques et les renseignements que lui fournissaient ses assistants, les lettres de ses patients ou la simple observation. Autrement dit, les seules preuves existant à propos des pouvoirs de guérisseurs de Cayce ne révèlent rien de ses capacités paranormales. Il n'empêche que la réputation de Cayce comme médium semble reposer avant tout sur le grand nombre et la précision de ses diagnostics. Il n'existe aucune façon de démontrer que Cayce possédait effectivement un don, même pour les cas où il est certain qu'il a joué un rôle déterminant dans la guérison de ses patients.
     

    Nombreux sont les mythes et légendes entourant Edgar Cayce : un ange lui apparut quand il avait treize ans pour lui demander quel était son plus grand désir (Cayce aurait répondu que c'était aider ses semblables); il pouvait absorber le contenu d'un livre en le plaçant sous son oreiller pendant son sommeil; il passait ses épreuves d'épellation à l'aide de la clairvoyance; il était illettré et sans éducation. Le New York Times est grandement responsable de cette dernière histoire (Illiterate Man Becomes a Doctor When Hypnotized [Sous hypnose, un illettré se transforme en médecin], section du dimanche, 9 octobre 1910). Bien des mythes ont été transmis sans vérification préalable par Thomas Sugrue, qui croyait que Cayce l'avait guéri d'une maladie invalidante. Dans son livre de 1945, There is a River : The Story of Edgar Cayce, Sugrue affirme que c'est Cayce, et non les médecins, qui a guéri son fils et sa femme de la cécité et de la tuberculose. Edgar Cayce aurait il pu prédire la bonne combinaison à la roulette dans son état de semi transe?

    Source: www.secretebase.com


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