• FANTOMES ET ESPRITS

    Les allergies psychiques, méditation sur les Galaxies

    Les allergies sont une réaction de défense de votre organisme lors d’une invasion de votre territoire intime. C’est le symptôme d’une inadéquation de votre tempérament avec l’agent extérieur qui provoque l’allergie ou bien c’est votre organisme qui est saturé et il vous envoie un signal de détresse. C’est parce que l’allergie se manifeste au niveau de votre corps physique que vous observez son effet. Mais il existe aussi des allergies psychologiques qui provoquent une antipathie subite, vous êtes ulcéré et aucune analyse objective ne tempère votre réactivité immédiate. C’est votre intuition qui vous adresse un signal de danger. Cela ne signifie pas que vous êtes en danger, mais votre corps d’émotion ressent la présence de l’autre ou des autres comme une contrainte morale imposée brutalement. Votre allergie est alors une réaction saine face à ce qui vous choque et vous impose ce que vous n’êtes pas en mesure de tolérer. Vous réagissez avec une franche hostilité qui montre votre répugnance insurmontable. La phobie peut être envisagée comme une allergie émotionnelle.

    Galaxie M31 d’AndromèdeL’allergie psychique a son ancrage dans les profondeurs de votre être. Ce n’est plus une réaction, c’est un refus sans condition de rémission, de quelque chose, de quelqu’un ou d’un groupe de personnes. Le plus souvent, l’allergie psychique se manifeste face à un effondrement de vos valeurs contenues dans le dogme qui a structuré votre éducation.

    C’est l’idée fixe matérialiste qui refuse obstinément l’émerveillement de la spiritualité ou bien c’est celle de l’intégriste qui oblitère tout ce qui réfute les dires de son prophète et de sa divinité. L’allergie psychique vous éblouit, votre réflexe c’est alors de ne pas voir, ni entendre la différence manifeste de l’autre. L’allergie psychique provoque le refus et une contraction intense ; l’image est celle d’une maison dont portes et volets sont définitivement fermés. Mais, qu’est-ce qui est définitif ?

    C’est votre corps physique qui est contraint par les lois de la physique de la matière, mais aucun de vos autres corps n’est empêché de traverser les murs et les choses.

    Les chamans considèrent l’allergie psychique comme le signe précurseur d’une implosion de la personne qui se referme sur elle-même. Pour l’aider à surmonter sa crise, ils vont écouter son rythme ; cela commence par trouver une fréquence sonore et c’est un langage symbolique.

    Tout est vibration et toutes les choses vivantes ont un rythme qui parle. Le chaman entre dans l’écoute de son patient et il commence par chantonner pour épouser le rythme et il rentre dedans. C’est son art qui lui permet de ressentir l’autre, c’est sa radiance qui vous touche et agit. Le son qu’il chante forme une trame dont la texture est semblable à celle d’une mousseline impalpable, et vous avez la sensation qu’il vous prend dans ses bras. Les personnes qui ont reçu cette cure disent qu’elles ont l’impression d’être enveloppées par le son et qu’il rentre en elles. C’est une sensation très douce et même érotique ; souvent, elles aussi murmurent un chant et oscillent à son rythme. Vous avez une sensation érotique dès que le son agit au niveau de vos premier et deuxième chakrãs parce qu’ils sont directement stimulés par l’énergie libidinale de créativité. C’est votre corps astral qui ressent le toucher du son et c’est très agréable.

    Le maître chaman Joska Soós me disait que tous nous sommes semblables à l’eau. Si vous êtes dur et contracté comme de la glace, le chaman trouve le rythme qui va doucettement vous réchauffer et faire fondre vos résistances ou bien c’est votre état de glace qui va se briser et libérer l’inclusion de votre être psychique dont la texture originelle s’apparente à celle de la lumière.

    C’est pourquoi le chaman travaille aussi avec le cristal qui est de la lumière condensée.

    De même que l’eau est glace, puis fluide et se transforme en vapeur ; votre feu intérieur devient chaleur humide qui provoque une suée, puis une chaleur sèche. Elle ressemble à une fièvre qui permute en chaleur radiante, c’est elle qui se prolonge hors de votre corps physique. C’est votre chaleur radiante qui est curative, c’est son intensité qui est vecteur d’harmonie. Elle dissout l’imagerie fantasmagorique qui vous fige et vous fascine par ses mirages. Lorsque vous êtes telle une inclusion dans « votre tour d’ivoire », considérez que la matière de l’ivoire respire, qu’elle est poreuse. C’est une permutation de votre regard qui peut observer les événements comme si vous étiez au sommet d’une montagne pour regarder dans sa vallée ou bien vous regardez les choses avec les yeux de la fourmi seulement soucieuse de nourrir sa reine. C’est dans l’élévation ou la profondeur que vous provoquez un élargissement de votre conscience, c’est un espace plus large où d’autres points de vues interviennent ; c’est la base d’un échange d’idée où la différence de l’autre crée un climat paisible.

    Pour vous extraire de l’imagier des allergies psychiques, vous pouvez faire l’exercice de la méditation sur les galaxies. C’est aussi un moyen de stimuler votre troisième œil, parce que c’est directement lui qui s’allonge pour contempler des objets lointains.

    Dès que vous stimulez votre troisième œil, vous ouvrez une pose ; c’est un silence entre le pour et le contre qui se bousculent dans votre tête. Votre troisième œil n’est qu’équanimité, sa position est naturellement en élévation. Elle vous permet d’avoir un autre point de vue où vous n’êtes plus « la chose »de ceux qui vous lient à leur dogme.

    Le maître chaman Joska Soós me conseillait de méditer sur la galaxie d’Andromède dont la forme serait jumelle de la nôtre. Il me disait « allongez-vous et visualisez la Constellation d’Andromède, elle a la forme d’un corps allongé et sa galaxie est un point diffus au niveau de son genou. Allongez votre regard pour vous en rapprochez, c’est un voyage sans vous déplacer ».

    Cette méditation favorise une élévation de la pensée et un élargissement de la conscience, et c’est lorsque la concentration de votre voir a oblitérée tous les objets qui ne sont pas la galaxie d’Andromède, que vous allez mentalement pivotez sur vous-même pour contempler votre galaxie. Efforcez-vous alors de vous souvenir où est la Planète Terre, puis votre demeure. Ne le faites pas trop vite, avant d’ouvrir vos yeux dans votre chambre de méditation, attardez-vous pour contempler le Soleil et le cortège des planètes, puis la Terre vue d’en haut.

    Pour d’autres méditations favorables à l’élargissement de la conscience http://floradesondes.blogspot.com/


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    QUEL AVENIR POUR L HUMANITE

    Les chemins de l'intelligence
    L'intelligence ne dépend pas de la génétique, car nous n'utilisons en moyenne que 10% de nos capacités cérébrales. Ce qui compte, c'est notre aptitude à utiliser pleinement les possibilités de notre esprit.

    L'important est la façon dont nous traitons et organisons les informations, dont nous interprétons nos expériences, et plus globalement, la façon dont nous nous représentons la réalité.

    Voici donc quelques clés pour devenir "plus intelligent"...

    Penser par soi-même
    Ne pas faire son jugement en fonction de celui des autres, et ne pas prendre pour argent comptant ce qui est dit ou suggéré par les médias, la publicité, les responsables politiques. Faites usage de votre libre-arbitre et de votre discernement. Posez-vous toujours la question de savoir ce que VOUS pensez, en fonction de votre vision et de ce que vous ressentez réellement. Tout en étant simultanément ouvert et tolérant vis à vis des autres visions ou perceptions.

    Celui dont l'esprit ne produit aucune pensée autonome et ne contient rien d'autre que ce qu'on y a déversé est pour ainsi dire "sans valeur ajoutée". Fonctionnellement, ce n'est qu'un "récipient".


    Ecouter son intuition
    L'hémisphère droit du cerveau possède des capacités intuitives qui sont complémentaires de l'intelligence rationnelle du cerveau gauche.

    L'intuition résulte des synthèses d'informations qui s'effectuent de manière inconsciente dans le cerveau droit qui travaille de façon analogique et intuitive, tandis que le cerveau gauche travaille selon un mode logique et rationnel. Ces synthèses d'information intègrent l'ensemble des informations que nous enregistrons dans notre mémoire, y compris les perceptions que nous n'avons pas conscience de mémoriser mais qui sont malgré tout enregistrées par l'inconscient.

    L'intuition est capable de prendre en compte une multitude d'éléments dont nous n'avons pas conscience. C'est pourquoi il est essentiel d'être à l'écoute de l'intuition et de suivre ses conseils.

    Etre à l'écoute de l'intuition, c'est essayer d'écouter ce que l'on ressent profondément. Lorsque nous devons faire un choix, nous devons essayer d'être attentif aux sentiments et aux sensations que suscitent les différents choix possibles. S'agit-il d'un sentiment de bien-être ou de malaise? De légèreté ou de lourdeur?...

    Etre à l'écoute de l'intuition, c'est aussi être en contact avec notre inconscient, car c'est de là que proviennent les perceptions intuitives. Pour cela, nous devons être un minimum en accord avec nous-mêmes et avec notre inconscient. Car si nous ne pouvons supporter ce qui s'y trouve, l'inconscient devient totalement inaccessible au conscient, afin que ce dernier ne puisse pas voir ce qu'il ne veut pas assumer.

    Etre à l'écoute de l'intuition nécessite aussi un minimum de calme intérieur...


    Passer du noir et blanc à la couleur
    Beaucoup de personnes pensent en noir et blanc, c'est à dire de façon binaire: bien ou mal, vrai ou faux, 1 ou 0. Les conséquences du mode de pensée binaire sont le dualisme, l'absence de nuances, l'intolérance, et finalement la violence et les guerres.

    Un progrès réalisé par de plus en plus de personnes consiste à penser en "niveaux de gris", c'est à dire à distinguer des nuances entre les opposés. Des nuances de gris apparaissent alors entre le noir et le blanc. Cela permet à la réflexion de devenir un peu plus subtile, et aussi, un peu plus proche de la vérité.

    Mais l'idéal est de parvenir à voir la réalité EN COULEUR.

    Il ne reste plus ensuite qu'à augmenter la précision de notre représentation de la réalité (la "résolution" de l'image), afin de percevoir le monde avec toutes ses nuances, sa complexité, et sa beauté.

    Pour l'expérience complète en images, cliquer ici


    Passer de la logique binaire à la logique tétravalente
    Complément de l'intelligence intuitive, l'intelligence rationnelle est indispensable pour analyser certains problèmes. Elle fonctionne à la manière d'un logiciel, en analysant les informations selon une logique pré-définie. Le plus souvent, nous utilisons une logique binaire qui n'est capable d'envisager que 2 possibilités opposées (vrai ou faux, 1 ou 0, etc.) ce qui donne une vision simpliste et faussée de la réalité.

    La logique binaire est un peu la version 1.0 du "logiciel système" de notre intelligence.

    Une variante améliorée de la logique binaire est la logique tétravalente, qui est basée sur 4 possibilités. C'est la version 2.0 du "logiciel"...

    Par exemple, dans le cas de 2 propositions contradictoires A et B:

    la logique binaire envisage 2 cas:
    1 - A est vrai, et B est faux
    2 - B est vrai, et A est faux

    la logique tétravalente envisage 4 cas:
    1 - A est vrai, et B est faux
    2 - B est vrai, et A est faux
    3 - A et B sont faux tous les 2
    4 - A et B sont vrais tous les 2 (chacun à leur manière, ou à des niveaux différents)

    La logique tétravalente permet davantage de souplesse et de liberté d'esprit. Elle ouvre la voie au progrès suivant: la vision relativiste.


    Adopter une vision relativiste

    La vision relativiste amène à voir la réalité avec toutes ses nuances et sa subtilité. Elle va encore plus loin que la logique tétravalente, en envisageant un nombre illimité de cas possibles, et en évaluant chaque chose par rapport aux autres, et non en termes absolus. La même réalité peut être vue différemment, selon le point de vue de l'observateur...

    C'est pourquoi nous devons essayer de voir les choses avec un point de vue extérieur à soi-même, et en regardant chaque situation sous plusieurs angles simultanément.


    Un autre enseignement de la relativité concerne la causalité. Les humains ont souvent tendance à ramener les problèmes à une cause unique. Alors qu'en réalité, un problème a toujours de multiples causes, qui ont des degrés ou des niveaux d'influence différents. Certaines causes sont majoritaires et représentent 20 ou 30% de la causalité. D'autres causes, un peu plus nombreuses, "pèsent" entre 2 et 5%. Enfin, une myriade de "micro-causes" pèsent moins de 1%.


    La carte n'est pas le territoire
    La représentation que nous nous faisons de la réalité n'est pas la réalité elle-même. De même que la carte d'une ville n'est pas la ville elle-même.

    Nous devons tenir compte du fait que la réalité est toujours plus complexe et plus riche que ne le suggère notre carte.

    Ce principe a été rendu célèbre par Alfred Korzybski en 1933 dans ses travaux sur la "sémantique générale" et la logique non-aristotélicienne. En opposition avec Aristote pour qui le langage est un miroir fidèle de la réalité, Korzybski considère que le langage n'est pas la réalité mais une "carte verbale de la réalité". Ce principe est aussi illustré par Magritte dans son fameux tableau "Ceci n'est pas une pipe", pour montrer que l'image d'un objet n'est pas l'objet lui-même.


    Penser en 4D
    La plupart des humains pensent et voient le monde en 3 dimensions, les 3 dimensions d'espace de leur environnement. Pour réfléchir et agir, ils se basent sur une "représentation mentale" de la réalité qui est donc en 3D.

    Penser en 4D, c'est ajouter une dimension supplémentaire: le TEMPS.

    Ce qui distingue les grands stratèges (notamment en politique), c'est leur capacité à prendre en compte le temps, c'est à dire l'évolution des choses dans le temps.

    Ainsi, ils peuvent concevoir des stratégies à long-terme, qui utilisent les effets du temps sur les situations et les personnes. C'est ce qui permet de concevoir des stratégies dont la plupart des éléments restent invisibles pour l'adversaire, car ils sont situés dans le futur.

    Les stratégies conçues en 4D sont d'autant plus indétectables que leurs effets ne sont mesurables qu'à moyen ou long terme, mais ils sont alors inéluctables car ils ont modifié la structure de la situation en profondeur. (Les "Maîtres du Monde" sont experts dans ce domaine...)


    Prendre du recul dans l'espace et dans le temps
    Prendre du recul dans le temps, c'est prendre en compte le fait qu'à chaque époque, ce que la majorité croit être vrai, bon, ou indispensable peut être en réalité une erreur.

    Au Moyen-Age, la majorité des gens croyaient que la Terre était plate ou que le Soleil tournait autour de la Terre, censée être au centre de l'Univers.

    Au début du 20è siècle, la majorité des hommes croyaient indispensable de porter un chapeau, et la majorité des femmes croyaient indispensable de porter un corset.

    Au début du 21è siècle, la majorité des humains croient que le but de la vie consiste à atteindre toujours plus de jouissance en consommant le "best of" des biens et services de la planète.

    La société d'une époque doit être replacée dans son contexte global, celui de l'évolution humaine, et plus largement encore, celui de l'évolution de la vie sur Terre.

    Au niveau personnel, l'instant présent doit être replacé dans la perspective du temps global de notre vie, et du fait que nous sommes mortels.

    Il est aussi utile de prendre du recul dans l'espace. Cela consiste à élargir son champ de vision à partir du point d'observation où l'on se trouve. La société ou le pays auquel on appartient, la planète avec l'ensemble de ses peuples et de ses cultures, le système solaire, la galaxie, et finalement l'univers, et ses milliards d'autres mondes.


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  • APPRENDRE A PENSER

     

    être pauvre en esprit, être tout entier là sans autre but que "celui d'être tout simplement"...
    comme disait Ramana;" Ne méditez pas- Soyez! Ne pensez pas que vous êtes- Soyez! Ne pensez pas à l'être- vous l'êtes!
     
    (de chercher ce qu'est le voile et de comprendre) de respecter ce qu'il y a de plus pur dans l'humain.
    Par exemple...
    Au lieu de ne s'attacher qu'à l'apparence et au compte en banque...
    J'aime assez moyen être toujours remis en face de l'état de mon compte en banque car je n'ai absolument pas la sensation ni d'être de l'argent ni une carte d'identité...
    Donc ca sert à quelque chose... enfin ca devrait être le point central de nos société de laisser l'être s'exprimer...
     L'esprit n'est pas difficile à atteindre, mais impossible à éviter."
     En effet, le JE SUIS, la conscience est toujours présente sinon comment percevrais-je et le monde et moi-même en cet instant?
     A chaque moment je suis. Je suis conscient.
     Je me souviens d'un passage de Nisargadatta Maharaj où un visiteur lui dit: "Quand je suis près de vous, tout va bien, je me sens en paix, je suis dans l'être mais dès que je m'en vais, à nouveau je me sens mal"
     Et Maharaj lui répond :"Mais pouvez-vous ne pas être?"
     Impossible de ne pas être. Je suis. Maintenant. Sans effort. La lumière de la conscience est déjà allumée.
     Nous pensons que celui qui est conscient est un individu humain, limité.
     En fait non. C'est la clarté-vacuité qui est consciente.
     Il suffit juste d'un petit recul en soi-même pour le voir.
     jlr
     « En d'autres termes, la réalité ultime n'est pas quelque chose de vue, mais plutôt le témoin qui regarde, toujours présent. Les choses qui sont vues vont et viennent, sont heureuses ou tristes, agréables ou douloureuses, mais celui qui regarde n'est rien de toutes ces choses, et il ne va pas et ne vient pas. Le Témoin ne se désiste pas, ne chancelle pas, n'entre pas dans le flux du temps. Le témoin n'est pas un objet, pas une chose vue, mais l'observateur toujours-présent de toutes choses, le simple Témoin qui est le Je de l'Esprit, le centre du cyclone, l'ouverture qui est Dieu, la clarté qui est pure vacuité. Il n'a jamais existé un temps où vous n'avez pas eu accès à cette connaissance de témoin. A chaque moment il y a une connaissance spontanée de tout ce qui se passe dans le présent, et cette connaissance simple, spontanée, sans effort est l'Esprit lui-même toujours présent. Même si vous pensez que vous ne le voyez pas, cette pensée même est lui. Ainsi, le stade de conscience ultime, l'Esprit intrinsèque lui même, n'est pas difficile à atteindre mais impossible à éviter. Et là est le grand secret bien gardé des écoles de pensées non duelles. »
     "Il semble que l’on peut montrer du doigt le « moi »
    qui souffre, qui jouit, qui expérimente, qui se vexe
    d’une humiliation ou s’exalte d’une flatterie. Et
    pourtant,... s’il existait réellement il devrait être
    une « substance » distincte de la pensée. Or ce
    n’est pas le cas. Si nous tentons d’observer la
    « sensation du moi » en dehors des pensées, elle se
    dissipe. Lorsque nous cherchons à déterminer où
    elle se situe, lorsque nous tentons de l’isoler pour
    l’identifier, elle fuit, elle s’échappe et disparaît.
    Comme le dit le lama Tartang Tulkou : « Lorsque
    vous regardez l’image (de vous-même)
    directement, elle se disperse car elle est vide, sans
    substance ». (L’Esprit caché de la liberté, p. 94).
    Le « moi » apparaît donc comme un « effet de
    perspective ». Il se maintient seulement dans la
    mesure où il se dissimule parce que ses racines
    demeurent obscures. En le maintenant en pleine
    lumière, il perd son pouvoir de fascination et se
    dissipe...
    Mais il est évident que cette prise de conscience
    de la vraie nature du « moi » ne peut pas se faire
    instantanément. Elle demande d’être sans cesse
    reprise, approfondie. Avec la pratique, la distance
    se fera toujours plus grande avec le mental. Le
    caractère illusoire du « moi » deviendra de plus
    en plus évident. Nous intégrerons cette réalité et
    nous nous laisserons de moins en moins emporter
    par le flux des pensées. Elles tendront à se
    détacher un peu comme une écorce se détache.

    Un jour, cette distance avec le « moi » devient
    effective. Il se cristallise et apparaît comme une
    entité extérieure. Il se dessine par contraste avec
    la « pure conscience d’être », la Présence. Nous
    sommes confrontés à ce faux nous-mêmes qui est
    à la fois une entité étrangère et notre « moi ». Et
    une fois qu’il est vu, il est abandonné.
    Un jour, cette compréhension amènera la
    disparition effective du « moi », sa dissolution, ou
    plus exactement il sera perçu comme un aspect
    de la pure conscience, son essence et il se
    résorbera définitivement en elle comme
    l’étincelle se résorbe dans la flamme.
    D’après ce qu’il nous avait raconté, c’est une
    expérience de cet ordre qui était arrivé à Jean
    Klein, à Bombay. Il se promenait sur la plage de
    Marine Drive, lorsqu’il vit un vol d’oiseaux qui
    était comme l’image, l’incarnation de son
    « moi ». Ce vol d’oiseaux passa devant lui et
    disparut pour s’évanouir définitivement dans
    l’horizon. Après, surgit l’expérience de l’éveil.
    Lorsque nous sommes libérés de l’emprise de
    l’illusion, la pensée n’est en rien différente de
    l’état de clarté. L’univers est une grande unité
    sans distinctions. Chaque pensée, chaque
    émotion, chaque sensation, est une totalité
    parfaite, comme le moindre brin d’herbe est
    parfait." Erik Sablé
     Source:http://www.canalblog.com/

     

    Mesurer la hauteur d’un immeuble avec un baromètre
     Cette anecdote est racontée par Ernest Rutherford, la scène se passe vers 1910 dans l’université de Manchester.
     

    J’ai reçu un coup de fil d’un collègue à propos d’un étudiant auquel il estimait devoir mettre zéro à une interrogation de physique, alors que l’étudiant pensait mériter 20/20. Mon collègue et son étudiant s’étaient alors mis d’accord pour me choisir comme arbitre impartial. Je lus la question de l’examen : « Montrez comment il est possible de déterminer la hauteur d’un immeuble à l’aide d’un baromètre ».Je compris que mon collègue souhaitait voir l’étudiant mettre en oeuvre ses connaissances sur l’évolution de la pression atmosphérique avec l’altitude, mais celui-ci avait simplement répondu : « On monte le baromètre en haut de l’immeuble, on l’attache avec une longue corde, on le fait glisser jusqu’au sol, ensuite on le remonte et on mesure la longueur de la corde qui correspond à la hauteur de l’immeuble».
     Cette astucieuse proposition répondait bien à la question posée, mais l’étudiant n’avait montré aucun de ses qualités scientifiques et il semblait impensable de lui délivrer un diplôme de physique, dans ces conditions !
     Je lui ai donc proposé un rattrapage en lui donnant 10 minutes pour répondre à la question précédemment posée mais en l’avertissant qu’il devait utiliser ses connaissances en physique.
     Comme après 5 minutes, il n’avait toujours rien écrit, je lui ai demandé s’il abandonnait. Il me répondit qu’il avait trouvé beaucoup de solutions à ce problème et qu’il cherchait la meilleure d’entre elles. Je me suis excusé de l’avoir interrompu et l’ai laissé poursuivre sa réflexion.
     Dans la dernière minute, il se hâta pour me répondre : « On place le baromètre à la hauteur h du toit. On le laisse tomber en mesurant son temps de chute t avec un chronomètre. Ensuite en utilisant la loi de la chute des corps : h = gt2/2, on trouve la hauteur de l’immeuble».
     J’ai regardé mon collègue qui se résigna à donner une excellente note à l’étudiant : cette réponse, scientifiquement correcte, n’était certes pas celle qu’il attendait, mais montrait que l’étudiant avait une certaine culture en physique.
     En quittant son bureau, j’ai rattrapé l’étudiant pour qu’il m’expose les autres solutions qu’il avait trouvées à ce problème.
     « Eh bien, me dit-il, il y a vraiment de nombreuses façons d’évaluer la hauteur d’un immeuble avec un baromètre :
     - tout d’abord, on peut le placer dehors lorsqu’il y a du soleil, on mesure la hauteur de son ombre ainsi que celle de l’immeuble, et en connaissant la hauteur du baromètre, on détermine celle de l’immeuble,
     - il y a aussi une méthode très basique que vous allez apprécier. On monte les étages avec le baromètre, on marque la longueur du baromètre sur le mur. En comptant le nombre de marques, on déduit la hauteur de l’immeuble en longueurs de baromètre.
     - bien sûr, si vous voulez une méthode plus sophistiquée, vous pouvez pendre le baromètre à une corde en étant sur le toit de l’immeuble, le laisser descendre jusqu’au raz du sol, le faire balancer comme un pendule et mesurer sa période d’oscillation. Cette période dépend de la longueur L de la corde et vaut 2πgL, la meure de la période avec un chronomètre permet de retrouver L qui correspond à peu de chose près à la hauteur de l’immeuble».
     Finalement, il conclut : « Il y a encore bien d’autres façons de résoudre ce problème, la meilleure étant probablement d’aller frapper à la porte du concierge et lui dire « je vous offre ce superbe baromètre si vous me dites quelle est la hauteur de cet immeuble »».
     Sans douter de sa réponse, j’ai quand même demandé à l’étudiant s’il connaissait la solution qu’on attendait de lui. Il a admis qu’il la connaissait mais qu’il en avait assez des professeurs qui essayaient de lui apprendre comment il devait penser.
     Cet étudiant s’appelait Niels Bohr. (Niels Henrik David Bohr (7 octobre 1885 àCopenhague,Danemark -18 novembre 1962 àCopenhague,Danemark) est unphysicien danois. Il est surtout connu pour son apport à l'édification de lamécanique quantique, pour lequel il a reçu de nombreux honneurs.)


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  • Image du Blog virtuellife.centerblog.net

    Réalité matérielle.

    Réalité signifiante.

    Réel.

    L'ordinateur sur lequel je travaille existe. Je ne peux pas le nier, il est là, dans sa matérialité. Il disparaîtra d'ailleurs quand il ne fonctionnera plus, c'est à dire lorsque ce que pour quoi il a été créé ne lui concèdera plus ce statut de "réalité matérielle".

    Cette réalité matérielle est générée par nos besoins. Certains sont vraiment essentiels, d'autres très superficiels. Cette réalité matérielle a une telle incidence sur notre vie quotidienne qu'elle finit même par influer sur les phénomènes liés à la "réalité signifiante".

    Notre conscience dispose de deux manières pour se représenter le monde. L'une correspond à la représentation exacte d'une réalité connue, la réalité matérielle, l'autre symbolise la perception intérieure de quelque chose d'impossible à voir.

    Cet ordinateur n'aurait aucune réalité signifiante pour un Mentawais ou un Aborigène. Il faudrait qu'ils changent leur représentation intérieure pour que cette réalité matérielle devienne tangible et prenne du sens. De la même façon, dans la jungle de Bornéo, nous serions confrontés à une réalité matérielle (environnementale) tellement déstabilisante que nous n'y trouverions qu'une durée de vie très limitée...

    La réalité du monde n'est pas la même pour tous.

    La réalité signifiante a tendance à unifier les individus les uns aux autres. Il s'agit du monde des significations construites par la pensée, par l'intermédiaire du langage, de l'imaginaire social institué, de l'imaginaire religieux ou de l'inconscient collectif, cette fabuleuse "matrice" qui agit sur nous comme un virus indécelable. 

    Ce monde est un espace signifiant et limité par des cadres très précis.   

    Dans la réalité signifiante, nous fonctionnons par accumulation de savoirs et par l'analyse rationnelle des phénomènes. C'est un monde conceptuel indispensable pour créer du sens. Les hommes y trouvent bien entendu toutes les marques d'appartenance qui leur sont si chères...Chacun se reconnaît et s'identifie à diverses catégories de sens. Les castes, les groupes, les peuples y prennent forme, nourris par les religions, les philososophies, les comportements sociaux, les idéaux, les fanatismes...

    La réalité matérielle a une influence considérable sur cette réalité signifiante. Il est reconnu par les Occidentaux par exemple que la BMW apporte une image sociale ou mieux encore la Rollex...Le matériel permet d'entrer dans une catégorie et d'être reconnu. Le signifiant que l'homme a donné à cette réalité matérielle qui n'en avait pas à priori a fini par apporter à cette réalité matérielle un pouvoir d'unfluence sur la réalité signifiante...Etrange échange de "bons" procédés qui s'entretiennent et sont renforcés à tous prix (très cher le prix bien entendu...). Les "maîtres" de la réalité signifiante savent user de la dialectique, des médias, de la "people attitude" pour abreuver la réalité matérielle et manipuler les masses.

    "J'existe parce que je possède une belle maison, que je roule en BMW et que je donne l'heure avec une Rollex. J'aime cette réalité signifiante et j'y adhère corps et âme. Et tant pis pour ceux qui doivent se contenter d'un HLM, d'une 4L et de la pendule de la cuisine. Nous ne sommes pas du même monde, nous n'avons pas les mêmes valeurs."

     La mondialisation est une oeuvre de déliquescence intellectuelle. Elle consiste à construire une réalité signifiante planétaire. L'imagination doit être restreinte afin de répondre aux lois du marché. L'inconscient collectif se doit d'être régulé à des fins bien précises.

    La création artistique elle-même entre dans des cadres de reconnaissance très précis. La rentabilité est son tuteur. A moins de créer pour soi et de ne pas chercher à diffuser aux autres étant donné que ça nécessite des structures financières, économiques, concurrentielles.

    Soit on l'accepte, soit on créé pour son propre bonheur. Ultime liberté ?

    Cette création solitaire favorise l'émergence d'une autre conscience. En s'extirpant des modèles et des phénomènes générés par la réalité signifiante, l'individu peut accéder à une dimension spirituelle qui n'est pas gangrénée par la pensée commune.  

    C'est là qu'apparaît le réel. Il a toujours été là d'ailleurs. Mais on ne le voyait plus.

    Le réel serait donc ce qui reste lorsque la réalité matérielle aurait retrouvé sa place originale, qu'elle ne servirait plus à constituer une réalité signifiante dissimulant des objectifs innommés...Je devrais par conséquent jeter cet ordinateur portable qui n'a aucune nécessité autre que celle que je lui ai donnée, cette réalité qui me permet d'entrer en contact avec quelques uns de mes semblables et de leur proposer cette réflexion qui me valorise...Hum, hum...La réalité signifiante de cet appareil est donc de me permettre d'exister dans une réalité que j'ai créée à des fins peu louables...Je me suis fait piéger...J'aurais mieux fait d'aller voir mes voisins immédiats, d'allumer un feu de camp, de les inviter à discuter sous les étoiles. Pas d'ordinateur, pas d'électricité, pas d'abonnement téléphonique et d'ADSL...Ah, l'ADSL, mais comment j'ai pu vivre sans ça pendant aussi longtemps ?...Autrefois ils faisaient une veillée auprès de la cheminée. Les Anciens racontaient des histoires, les enfants grandissaient dans la réalité signifiante de leurs aînés. Une réalité signifiante aussi simple que la réalité matérielle...D'ailleurs, nous aussi on aime ces vieux refuges de montagne avec leur vieux poêle à bois. 

    Mais on ne resterait pas y vivre.

    Qu'est-ce qui s'est passé ?

    Pourquoi a-t-on laissé le réel disparaître ? Pourquoi la réalité matérielle a-t-elle pris une place si importante que la réalité signifiante s'en nourrit et simultanément l'entretient ?

     C'est la perte du silence.

    "Nous ne nous connaissons pas encore parce que nous n'avons pas encore commencé à nous taire ensemble." Albert Camus.

     Aujourd'hui, des gens partent dans des retraites bouddhistes ou autres pour entrer dans le silence, dans la méditation, dans la quête spirituelle...Je commence à craindre dans tout ce mouvement l'apparition d'une réalité signifiante peu glorieuse, une recherche identitaire pour combler un vide bien compréhensible. "Tu sais quoi, maintenant je suis Bouddhiste, tu sais, tu devrais t'y mettre, c'est vraiment chouette..."

    Les lois du marché ne sont jamais loin de ce genre de "quête"... Robe rouge, tonsure, sandales et moulins à prières, stages et séminaires, conférences, livres et DVD...Bon, j'exagère...Un peu...Il y a bien entendu des gens honnêtes...Un peu...

     Alors, où il est ce réel ? Comment je dois m'y prendre pour rétablir l'équilibre entre une réalité matérielle qui doit être à mon service et non l'iverse, comment je dois m'y prendre pour me nettoyer des réalités signifiantes (et souvent insignifiantes...) qui me servent de balises ou de projecteurs ?

     Le silence.

     Le silence du monde, de la nature, des espaces vides d'hommes ou tout du moins de tout ce qui aujourd'hui représente l'homme.

    Pas de séminaires bouddhistes, taoistes, zen, zazen, pas d'églises catholiques, protestantes, musulmanes, scientologistes, survivalistes, et autres dérives en tous genres.

     Le silence du désert, le silence des montagnes, de l'Océan, des forêts profondes.

    Un feu de camp sous la lune et les étoiles. Peut-être un autre voyageur qui viendra attiré par les flammes, la chaleur, la communion d'âmes. Ils parleront d'autres territoires, des baies qu'il a trouvées sur la piste, du poisson qu'il a pris, de la cabane qu'il va construire, des villes qu'il a aperçues au loin, sous le brouillard...

     Nous vivons dans la cacophonie de nos cerveaux rentabilisés par des réalités signifiantes. Et dedans, ça cause en permanence.

     L'humanité s'est perdue en perdant le silence. Et chaque individu devrait apprendre à se taire. Pour enfin découvrir qui est à l'intérieur.       

    Source: http://www.la-haut.e-monsite.com/


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  • POUVOIRS

     

     

    Des lampes qui brillent pour l’éternité 

     

     

    De nombreux auteurs grecs, arabes, romains et médiévaux ont rapporté les découvertes de ces lampes au fil des siècles, dans des tombeaux la plupart du temps, mais aussi dans des temples de l’antiquité.

    La description des lampes éternelles remonte à la plus haute antiquité.

    De nombreux auteurs, religieux, alchimistes et autres curieux, se sont intéressés à ces lampes impossible. Pour les uns, elles étaient l’oeuvre du diable, même si les religieux eux-même n’y voyaient que des lampes aux propriétés étonnantes, mystérieuses mais non magique. Pour les autres, elles n’étaient que supercheries, puisque si, eux ne pouvaient fabriquer de telles lampes, elles ne pouvaient donc pas exister.

    Quelques rares hérétiques, quant à eux ont cherché une explication ou se sont mis en quête de ce savoir perdu. Ainsi en cherchant à prouver la réalité de ces lampes impossibles, l’alchimiste allemand Brand de Hambourg, découvrit en 1969 le phosphore.

    De nombreuses hypothèses ont été émises sur la nature de ces différentes lampes, la plupart ont besoin d’air pour se consumer, d’autres au contraire, s’éteignent au contact de l’air (?), certaines émettent une flamme, d’autres sont phosphorescentes, leurs mèches semblent être en amiante (la laine de salamandre) ou en métal, l’huile reste mystérieuse, pour certains elle serait bitumeuse, pour d’autres, issue de l’or par un procédé alchimique secret, ou encore d’origine végétale (notamment l’huile tirée d’une espèce égyptienne de haricots toxiques)…

    Exemples de découvertes de ces lampes impossibles dans les siècles :

    * Le satiriste grec, Lucian (120-180), vit au cours de ses voyages en Syrie, sur le front d’une statue d’Héra un bijoux brillant qui la nuit illuminait tout le temple.

    * Numa Pompilius, le second roi de Rome, outre sa capacité à maîtriser la foudre, possédait également une lampe éternelle dans le dôme de son temple.

    * Plutarque rapporte qu’à l’entrée d’un temple dédié à Jupiter-Ammon, une lampe brûlait, selon les prêtres depuis la plus haute antiquité.

    * Le naturaliste romain, Pliny théorisait sur le fait qu’une lampe remplie de l’huile la plus pure avec une mèche en amiante, pourrait brûler pour toujours.

    * St Augustin (354-430) nous a laissé la description d’une lampe merveilleuse d’un temple dédié à Isis en Egypte, que ni le vent, ni la pluie ne pouvaient éteindre.

    * Durant le règne de Justinien de Byzance en 527, en rénovant un vieux bâtiment à Edessa en Syrie, on trouva dans une niche dissimulée et scellée, un crucifix et une lampe qui aurait brûlé pendant 500 ans.

    * En l’an 600, sur l’ile volcanique de Nesis près de Naples, on trouva dans une tombe en marbre, un vase contenant une lampe dont la flamme brillait dans une ampoule en verre ; celle-ci s’éteignit lorsque le verre fut brisé. La tombe datait de l’ère pré-chrétienne.

    * Vers 1300 Marcus Grecus écrivait dans son « liber Ignium » (livre sur le feu) que l’on pouvait faire une lampe inépuisable avec une pâte à base de vers luisants.

    * Près de Rome, en 1401, on trouva le sépulcre de Pallas fils du roi troyen Evandre, illuminé par une lanterne perpétuelle qui était restée allumée pendant 2600 ans.

    * Sur la voie Appienne près de Rome, en avril a485 on ouvrit la tombe de Tullia, fille de Cicéron, décédée en 44 avant J.C., une lampe qui brûlait faiblement surprit les découvreurs qui la brisèrent. Elle avit brûlé pendant plus de 1500 ans.

    * Ludovicius Vives en 1610, dans ses notes sur St Augustin, dit que du temps de son père, en 1580, une lampe fut trouvée dans une tombe. Elle se brisa lorsqu’on essaya de la prendre. Une inscription révéla qu’elle était vieille de 1500 ans.

    * En 1681 près de Grenoble, un mercenaire suisse nommé Du Praz trouva une étrange lampe en verre qui brûlait dans une tombe scellée. La lampe , toujours incandescente, fut ramenée dans un monastère proche où elle continua à brûler pendant plusieurs mois, jusqu’au jour où un moine âgé la brisa.

    * On trouva une autre lampe, dans une ancienne tombe romaine découverte en Espagne près de Cordoue en 1846.

    * Enfin je terminerai par le père Evariste-Régis Huc (1813-1860), qui a beaucoup voyagé en Asie, a laissé la description d’une lampe perpétuelle qu’il a pu voir au Tibet.

    POUVOIRS


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