• DESTIN

    Nous, les forces d'évolution, ne sommes libres qu'en apparence, à la fois l'orloge et l'orloger, nous créons, mais nous animons l'univers au rithme de la marche des temps. "Le hazard", couvre d'un manteau séduisant la fatale destinée que chacun porte en soit. chacun à sa naissance, oubliant tout passé, chevauche la monture qu'il mérite en ces lieux. En fonction de ses oueuvres d'antan, il a l'incarnation et la possibilité d'exercer ses talents. Passant d'innombrables épreuves, il doit éliminer tout mal pour acquérir tout bien, se purifiant au feu de l'action, de la souffrance et du malheur,il retira des cendres, à sa mort, la perle nuancée aux exploits d'une vie qui s'achève. Et le collier s'augmente, jusqu'au our où le nombre de perles, correspondant à son chiffre secret, voudra à son auteur la couronne immortelle. Comme nous, vous serez des Dieux, allant de cicles en périodes, vous agirez pour le bien universel, créant autour de vous des mondes infinis, selon les invariables lois d'évolution. C'est pourquoi, nous sommes venus vous tendre la main, en ces lieux, humain nos frères. L'action désentéressée, la bonté, l'altruisme, forment ici-bas, les perles les plus belle. Reprenez courage. La maladie, la souffrance, chassent loin de vous les occasions de chute et de recul. Le chagrin, la solitude vous ouvrent les portes fermées du retour en soit même. Bénissez ces épreuves qui sont à vos mesures et que nul ne doute des FORCES DU DESTIN.


    votre commentaire
  •  





     

    The_4_Elements___Water_by_Varges-1.jpg picture by virtuellife

    La mémoire de l'eau...

    ... ou comprendre la biologie numériqueQu'est-ce que la mémoire biologique ?Expliquer ce qu'est la biologie numérique est impossible sans en exposer le principe. Ce texte n'a pas pour but de rapporter nos résultats scientifiques, mais d'expliquer, le plus simplement possible, cette approche radicalement nouvelle de la biologie. Nous espérons qu'il sera également utile à tous ceux, scientifiques ou non, qui ont quelque difficulté à sauter le pas. Comment croire en effet que l'on peut enregistrer/numériser avec une carte-son d'ordinateur, comme pour un son ou une image, l'activité spécifique d'une molécule à activité biologique : une substance naturelle (histamine, caféine, nicotine, adrénaline...), un médicament, un antigène ou un anticorps, voire la signature immunologique d'une bactérie ou d'un virus ? Imaginons que l'on ait donné un téléphone à Archimède en lui affirmant qu'on peut l'entendre à l'extrémité de la Terre, sans lui expliquer ce que sont les fréquences sonores et leur traduction électromagnétique (EM). La vie dépend des signaux que les molécules échangent. Par exemple, quand on se met en colère, l'adrénaline "dit" à son récepteur, et à lui seul (en molécule fidèle elle ne parle à aucun autre) de faire battre le coeur plus vite, de contracter les vaisseaux cutanés... Les mots "signal moléculaire" sont très fréquemment utilisés en biologie. Mais lorsque l'on demande aux biologistes les plus éminents quelle est la nature physique de ce "signal", ils restent les yeux ronds, ne comprenant même pas la question. C'est qu'ils se sont mitonné une physique à eux, strictement Descartienne - aux antipodes de la physique moderne - selon laquelle le simple contact (les lois du choc de Descartes, rapidement démenties par Huygens) entre deux structures coalescentes crée de l'énergie et permet un échange d'information. Je l'ai longtemps cru, récité, sans me rendre compte de l'absurdité de la chose, comme pendant des centaines de milliers d'années les hommes ont cru que le Soleil tournait autour de la Terre. La vérité, celle des faits, est très simple. Elle ne nécessite aucun "effondrement des mondes physique ou chimique". Les molécules vibrent, on le sait depuis des décennies. Chaque atome de chaque molécule et chacune des liaisons chimiques, les "ponts" qui relient les atomes, émettent un ensemble de fréquences qui leur est propre. Ces fréquences spécifiques de molécules simples ou complexes sont détectées à des milliards d'années-lumières grâce à des radiotélescopes. Les biophysiciens les décrivent comme une caractéristique physique essentielle de la matière, mais les biologistes n'envisagent pas que des rayonnements EM puissent jouer un rôle dans les fonctions moléculaires elles-mêmes. On ne trouvera les mots "fréquence" ou "signal" (au sens physique du terme) dans aucun traité de biologie, et encore moins "EM", cause d'excommunication par le Saint-Office Scientifique du biologiste qui en ferait usage. J'aimerais bien, tel Archimède, avoir eu dans mon bain l'idée géniale : "Euréka, les vibrations des molécules ne leur servent pas à danser la salsa au bal du samedi soir ; elles sont leur outil de travail, qui leur permet d'adresser leurs instructions à la molécule suivante dans la cascade d'événements qui président aux fonctions biologiques, et, probablement dans une large mesure, chimiques". Cela ne fut malheureusement pas le cas. J'ai suivi une démarche purement expérimentale. Après huit années de recherches mes expériences montraient vers 1991 qu'on pouvait transférer le signal moléculaire par un amplificateur et des bobines EM. En juillet 1995, j'ai enregistré et rejoué ce signal avec un ordinateur multimédia. Une carteson n'enregistre que des fréquences inférieures à 20.000 Hz. Dans plusieurs milliers d'expériences, nous avons fait "croire" à un récepteur - spécifique d'une molécule simple ou complexe - qu'il était en présence de sa molécule préférée en lui "jouant" les fréquences enregistrées de cette molécule. Afin de parvenir à ce résultat, deux opérations sont nécessaires : 1) enregistrer l'activité d'une substance sur un ordinateur ; 2) la "rejouer" à un système biologique sensible à la substance d'origine. Il y a donc tout lieu de penser que lorsque c'est la molécule elle-même qui est en présence du récepteur, elle fait la même chose : elle envoie les fréquences que le récepteur est capable de reconnaître. Ce qui veut dire que le signal moléculaire peut être efficacement représenté par un spectre de fréquences entre 20 Hz et 20.000 Hz. La même gamme que pour l'oreille humaine ou la musique. Depuis quelques centaines de milliers d'années les hommes font interagir des fréquences sonores avec un mécanisme biologique, celui de l'humeur. Les musiciens d'ambiance - musique d'ascenseur ou de supermarché - font de la neuropsychobiologie sans le savoir. Les sons aigus et rapides engendrent la gaîté, les aigus et lents la douceur, les sons graves et rapides réveillent l'ardeur guerrière, graves et lents le sérieux, la tristesse, le deuil. Ces sensations sont l'expression de phénomènes physicochimiques cérébraux déclenchés par des fréquences définies. Nous ne faisons pas autre chose lorsque nous transmettons à des modèles biologiques des activités moléculaires enregistrées. On peut donc faire l'hypothèse que les systèmes biologiques fonctionnent comme un poste de radio, par corésonnance. Si on le règle sur 92.6 mégahertz, on capte radio-Truc, parce que le poste et la station vibrent à la même fréquence. Si on change un peu le réglage, à 92.7, on ne capte plus radio-Truc mais radio-Machin. Ces avancées dans la compréhension du mécanisme intime de la reconnaissance et de la signalisation moléculaire ne bouleversent pas la biologie, et encore moins la physique et la chimie. Nous ne retirons rien aux descriptions classiques. Nous faisons un pas de plus dans la connaissance, que nous ajoutons au corpus actuel. C'est la méthode normale du progrès scientifique et il n'y a aucune raison qu'elle soulève imprécations et anathèmes. La nature électromagnétique du signal moléculaire éclaire bien des zones d'ombre en biologie. On comprend dès lors comment les millions de molécules biologiques peuvent ainsi ne communiquer (à la vitesse de la lumière) chacune qu'avec leur molécule correspondante et elle-seule, condition indispensable du fonctionnement des systèmes biologiques... et pourquoi une modification chimique infime entraîne des conséquences fonctionnelles considérables, ce que les biologistes "structurels" sont incapables d'expliquer. En décidant que ce sont les structures seules qui agissent, ils sont dans un monde prénewtonien où, selon Ptolémée, les astres étaient reliés par des engrenages. D'où l'impuissance de la biologie actuelle à répondre aux grandes pathologies de cette fin de siècle (mon article du Monde du 22 mai 1996, non démenti). Pour passer de cette biologie figée des structures à celle de l'information circulant à la vitesse de la lumière, point n'est besoin de révolution. Enregistrer l'activité des molécules n'implique nullement de nier leur existence, comme cela a été fort stupidement répandu à loisir (elles sont bien à l'origine des messages EM qui leur permettent d'agir) ou la loi d'action de masse (plus il y a de molécules, plus fort est l'effet). Comme si enregistrer la voix d'un chanteur le faisait disparaître ! En d'autres termes, nous n'éliminons ni l'interrupteur ni la lampe. Nous disons qu'entre les deux il y a un fil et des électrons qui y courent. Nous ne sommes pas, tel Cyrano, dans un Autre Monde, qui serait EM, et que nous substituons à l'ancien, moléculaire. Nous captons, dupliquons, transférons - et bientôt modifierons - les signaux EM émis par les molécules exerçant normalement leurs fonctions.

    mem2.jpg picture by virtuellife

    OU IL EST QUESTION D'EAU, D'ONDES ET DE MUSIQUE…BENVENISTE JacquesBenveniste a été considéré comme l’un des biologistes français les plus respectés jusqu’à ce qu’il publie, en 1988 le résultat de ses travaux ce qui mit en colère la communauté scientifique car ils suggéraient que l’eau avait une mémoire. Idées saisies par des homéopathes qui y trouvaient un appui à leurs théories des médicaments à haute dilution.Avec son équipe de l'INSERM ainsi que douze chercheurs de trois laboratoires : Italien, Canadien et Israëlien, ils ont publié leurs travaux sur la dégranulation des basophiles humains induite par de très hautes dilutions d'un anti-sérum anti-IgE. Ces basophiles ont la particularité de "dégranuler" lorsqu'ils sont en présence d'un allergène. Cette dégranulatiion étant précisément provoquée par l'activation du sérum anti-IgE. Au cours de leurs expériences, ils se sont aperçus qu'en diluant plusieurs fois le sérum à un point tel qu'il ne restait plus aucune molécule du produit dans la solution, ils obtenaient malgré tout la dégranulation. (En septembre 94, Hal Puthoff avait assisté à Stockholm à une de ces expériences, source DVS). Parmi les explications possibles du phénomène, Giuliano Preparata et Emilio del Giudice, physiciens Italiens, ont suggéré à Benveniste qu'il existait un procédé de mémorisation magnétique de l'eau. Pour vérifier cette hypothèse, Benveniste a exposé ses hautes dilutions à un aimant, comme on le ferait pour effacer une cassette. L'eau a effectivement "perdu la mémoire", puisque, après ce traitement, on ne constatait plus d'effet de la substance diluée. De plus, partant du fait que ce fameux souvenir de la molécule était de nature électromagnétique, un fil et un transistor devaient pouvoir le transmettre : ce fut le début des expériences de transmission en 1992. L'équipe mit au point un petit amplificateur destiné à transférer directement l'information moléculaire de l'acétylcholine dans de l'eau. Tout d'abord, plusieurs tubes d'eau pure (témoins) ont été mis en contact avec une bobine sensible aux variations de champs magnétiques. Elle enregistre cette empreinte électromagnétique, l'amplifie et, si tout fonctionne effectivement comme prévu, la transmet à d'autres tubes d'eau pure situés à l'autre extrémité du système. Là, le signal est donc, sans contact physique censé être passé à travers la bobine. Ensuite, l'eau imprégnée du champ magnétique de l'acétylcholine est injectée dans un coeur de rat et y provoque les effets attendus de variation de débit et/ou de nombre de pulsations. Depuis 1992, l'expérience a été reproduite environ deux mille fois et a permis de vérifier qu'il s'agissait bien d'un signal électromagnétique (les tubes d'eau témoin injectés de la même façon ne produisant aucun effet sur les coeurs des rats). Selon Preparata et Giudice, les physiciens qui n'ont pas cru à la mémoire de l'eau peinent à la comprendre, car, contrairement à la mémoire des bandes magnétiques, ils pensent que chaque configuration moléculaire de l'eau vibre trop pour que l'on puisse y inscrire quelque chose. Mais l'ordre à considérer n'est pas celui du bataillon bien rangé, mais celui de la danse où chaque molécule, comme chaque personne a sa place et bouge avec le même mouvement que les autres en phase réglée et non pas chaotique. Le signal serait donc de nature électromagnétique et ses fréquences électromagnétiques spécifiques ne peuvent communiquer qu'avec le champ électromagnétique qui corésonne avec elles comme dans le couple émetteur-récepteur radio. L'eau transmettrait donc cette information électromagnétique, l'amplifierait et pourrait ainsi conserver le "message" électromagnétique d'une molécule et le restituer. Une campagne de dénigrement des travaux de Benveniste a suivi l’annonce des résultats. En 1994, Michel Schiff dans son livre ‘’Un cas de censure dans la Science l’affaire de la mémoire de l’eau’’ éd. Albin Michel en fait une description précise. Tout récemment, le 16/09/1998, Excelsior éditeur de Science et Vie a été condamné pour avoir diffamé Benveniste en écrivant dans son numéro d’Août 1997 que ‘’le magicien américain James Randi a plusieurs trophées de chasse au mur pour avoir démasqué les méthodes de tricherie de Uri Geller, et la fraude de la mémoire de l’eau’’ (dans le numéro d’Avril). Science et Vie n’a pu produire aucune preuve qui puisse établir sa bonne foi. Si Charpak et Jacob avaient eu le plus petit élément de preuve de fraude, Sciences et Vie l’aurait certainement produit au tribunal .Le     Timesde Londres qui, dans son numéro du 09/09/8 s’était fait l’écho de la même déclaration attribuée à James Randi a publié un rectificatif le 25/09/98. Dans un courrier posté en mars 98 à son groupe de discussion sur Internet, Randi avait nié avoir fait une quelconque déclaration sur la fraude de la mémoire de l’eau " Si ces deux lauréats de prix Nobel (dans une déclaration au Journal le Monde en Janvier 1997) pensent que c’est une fraude, je ne suis pas d’accord’’. Voir à ce sujet un article du numéro de Juin de La Recherche et la réponse de Benveniste dans celui de Septembre et aussi http://www.digibio.com   . Voir aussi Science Frontières, sa revue et ses vidéos. Les molécules peuvent-elles communiquer entre elles en échangeantdes informations sans être en contact physique    !? C’est ce que pense le biologiste français Jacques Benveniste mais ses pairs sont toujours sceptiques. A la mi-mars 1999 il a fait part des toutes dernières recherches de sonLaboratoire ‘    ’Digital Biology’’près de Paris à une nombreuse assistancede scientifiques réunis au Centre de Conférences    Pipparddu laboratoire de Physique Cavendish de l’Université de Cambridge. Parmi eux AndrewHuxley, prix Nobel et ancien Président de la    Royal Society, et le Pr Brian Josephson également prix Nobel. Benveniste a posé au départ quelques questions apparemmentenfantines    !: si les molécules pouvaient parler quel son feraient-elles, et plus précisément pouvons-nous tendre l’oreille pour écouter leursconversations, les enregistrer et ensuite les faire repasser    !? Pour Benveniste la réponse est oui. Des molécules actives comme celles de l’adrénaline, la nicotine et la caféine, des signatures de virus et de bactéries peuvent être enregistrées, digitalisées avec une carte son d’ordinateur. Et en appuyant sur une touche, on peut faire voyager ces signaux sur toute la planète grâce à Internet. Selon Benveniste, on peut déclencher des systèmes biologiques bien loin de leurs molécules activées simplement en faisant passer les enregistrements. Pour l’adrénaline par exemple, il ne pense pas que les événements biochimiques faisant entre autres contracter les vaisseaux soient simplement dus à des collisions au hasard entre les molécules d’adrénaline et leurs récepteurs (théorie acceptée habituellement), car il faudrait alors davantage de temps pour être en colère. Benveniste donne une analogie assez anodine avec la musique. Deux cordes vibrant ensemble sur des fréquences proches produiront unbattement (    beat). La longueur de ce battement augmente quand les deux fréquences s’approchent l’une de l’autre et quand elles sont les mêmes le battement disparaît. C’est ainsi que les musiciens accordent leurs instruments et qu’il explique sa théorie de la mémoire de l’eau. Toutes les molécules sont faites d’atomes qui vibrent constamment et émettent d’une manière très complexe un rayonnement infrarouge (détecté depuis des années et constituant pour les scientifiques une partie essentielle de l’armement des méthodes d’identification des molécules). Cependant, en raison de la complexité de leurs vibrations infrarouges, les molécules produisent aussi des fréquences de battement plus basses. Il se trouve qu’elles sont dans la gamme audible par l’humain (20 à 20.000 Hertz), et sont spécifiques pour chaque molécule. Ainsi elles émettent également des fréquences dans la gamme de la voix humaine et c’est ce signal que Benveniste détecte et enregistre. Si les molécules peuvent émettre, elles peuvent alors recevoir. L’émission spécifique d’une espèce de molécules sera captée par une autre munie de la structure moléculaire en accord pour la recevoir. Benveniste appelle co-résonance cette correspondance et dit que celafonctionne comme un poste de radio    !: à réglage différent!: sons différents. C’est de cette manière affirme Benveniste que les molécules biologiques arrivent à communiquer à la vitesse de la lumière avec leur propre molécule correspondante et pas une autre. C’est pourquoi de minuscules changements dans la structure d’une molécule peuvent affecter profondément son effet biologique. Ce n’est pas que ces minuscules changements structurels font qu’elle est mal ajustée avec son récepteur biologique comme dans l’approche classique. Les modifications désaccordent la molécule par rapport à son récepteur. De plus, tout comme les postes de radio et les récepteurs, les molécules n’ont pas besoin d’être proches pour que la communication s’installe.

     penac.com   

    dfzd12c5.jpg picture by virtuellife

    Et l'eau dans tout ça ? C'est le transporteur d'information. C'est obligatoire, car, comme il y a 10.000 molécules d'eau pour une molécule de protéine dans l'organisme, tout message doit pouvoir passer par l'eau. C'est par des ondes hertziennes de basses fréquences que les sous-marins en plongée communiquent avec la terre, pas par des mégahertz qui ne passent pas dans l'eau. Autrement dit, lorsque des molécules déclenchent un effet biologique, ce ne sont pas elles qui transmettent le signal mais l'eau périmoléculaire, qui sert de relais et probablement d'amplificateur. Le son n'est pas créé directement par le disque compact. Ce dernier porte une information qui n'est audible qu'après amplification par le système électronique. Mais la mémoire de l'eau ? C'est plus mystérieux, mais pas plus que l'existence même de l'eau, un mélange, liquide à température et pression ordinaires, de deux gaz (?!?!?), qui se dilate en refroidissant (?!?!?). Des domaines cohérents avec des propriétés "laser-like" ont été décrits dans l'eau (E. del Giudice, G. Preparata, G. Vitiello (1988) Water as a free electric dipole laser. Phys. Rev. Lett. 61:1085-1088). Plus récemment, des cristaux "de glace" stables qui comportent un champ électrique ont été identifiés et caractérisés dans l'eau Il reste du travail aux physiciens. Cependant l'eau n'est pas notre sujet d'étude. Ce qui intéresse notre équipe, ce n'est pas le support magnétique et comment il fonctionne, mais le message qui y est enregistré et peut donc être copié et transmis. Nous avons élucidé, nous pouvons le croire avec beaucoup de confiance au vu de nos résultats expérimentaux, la nature physique du signal moléculaire. Le principe est simple, comme de faire exploser un mélange d'air et de pétrole. Mais les conséquences sont immenses. Nous les présentons en détail par ailleurs. En voici un résumé : Actuellement la seule façon d'identifier une molécule est de transmettre physiquement un prélèvement, le plus souvent invasif, voire destructif, jusqu'à un laboratoire d'analyses. Avec la méthode numérique, on dispose à la source d'un signal qui peut être instantanément transmis et analysé à l'autre bout du monde par des moyens de télécommunication classiques. La détection de substances toxiques, de protéines (antigènes, anticorps, prions) ou de complexes moléculaires (bactéries, virus, cellules anormales...) devient donc possible sans prélèvement physique. Ces méthodes seront applicables à l'industrie chimique, à la biomédecine et à la surveillance de l'environnement. On pourra par exemple détecter des microorganismes à distance, pratiquement en temps réel. Les produits issus de plantes transgéniques pourront être identifiées par liaison téléphonique chez le producteur, le distributeur et même dans l'assiette du consommateur. La détection d'une contamination alimentaire par les prions, mais également in vivo chez l'animal ou chez l'homme, deviendrait possible avec les conséquences épidémiologiques et économiques que l'on devine. La mise en oeuvre des méthodes issues de la biologie numérique aura un immense retentissement sur le diagnostic médical et l'industrie agro-alimentaire, avec un impact technologique et commercial considérable. Une question finale : pourquoi les scientifiques sont-ils si opposés aux évolutions de la science ? Pour défendre leur pré carré ? Pourquoi, au nom de dogmes "intangibles" que l'histoire des sciences a si souvent montré être éphémères, refusent-ils des avancées porteuses de progrès pour leur propre discipline ? Parce qu'elles leur paraissent menaçantes pour leurs pourtant si fragiles certitudes ? Ces questions ne sont pas seulement philosophiques, car ces hommes sont des conseillers écoutés, notamment par les décideurs politiques et industriels. Ils orientent - en fait le plus souvent entravent - les applications nouvelles qui sont l'expression du progrès. Je ne sais d'où viennent ces blocages mentaux, en théorie inconciliables avec l'activité scientifique. Voici cependant une citation qui montrera qu'ils sont éternels (Mécanisme, Encyclopedia Universalis) : On a un bon exemple des impasses du "mécanisme" dans l'opposition des cartésiens au newtonianisme, qui leur a paru remettre en cause totalement la science nouvelle et faire retourner la pensée en deçà des conquêtes du "mécanisme". L'obstacle réside dans le fait que, chez Descartes, il ne peut y avoir mouvement que par contact et impulsion ; l'action à distance, l'attraction, comme le dira Fontenelle, ne peut être qu'un retour à une physique des sympathies et des qualités occultes... De cette façon, on ne mène pas avec Newton une controverse scientifique ; on le disqualifie pour obscurantisme. C'est ainsi que le milieu des savants français résistera longtemps à la théorie newtonienne, ou plutôt voudra l'ignorer... Mais ce "mécanisme" qui fait obstacle au progrès scientifique est un "mécanisme" figé. Newton contredit sans doute moins le "mécanisme" qu'il ne propose, en provoquant une rupture, un autre modèle de mécanisation de la physique où d'autres mouvements que ceux que produit l'impulsion sont possibles. A quatre siècles de distance, les mêmes mots, "il faut des molécules" (François Jacob), c'est-àdire des contacts, des impulsions, selon nos "savants" figés dans le dogmatisme mécaniciste de Descartes ; le même refus d'une action à distance ; les mêmes accusations de retour à l'obscurantisme. Descartes contre Newton. Nous sommes en bonne compagnie...


      

     

    cmrr7t0g.png picture by virtuellife

     

     

    Voir des larmes au microscope révèle des choses étonnantes.

    Le photographe Rose-Lynn Fisher se demandait si les larmes du bonheur étaient différentes des larmes de tristesse.

    elle les a donc observé au microscope.

    DES LARMES DE RIRE AUX LARMES

    Des larmes de rire aux larmes

    DES LARMES DE TRISTESSE

    Des larmes de tristesse

     

    DES LARMES D OGNIONS

    La_grimas_de_cebola

     

    LARMES BASALES

    Larmes basales

     

    LARMES D ESPOIR

    Les larmes d'espoir

     

    LARMES DE JOIE DANS UN MOMENT LIMINAL

    Des larmes de joie dans un moment liminal

     

    MEMOIRE DES LARMES

    Mémoire de larmes

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

    http://www.terrenouvelle.ca/la-terre-interieure/

    SHAMBALA est un monde vaste, mystérieux, souterrain et béni qui existe dans une dimension subtile parallèle. Du fait que son souverain est traditionnellement appelé avec le titre de Roi, ce pays d’une beauté resplendissante est souvent dénommé le Royaume de SHAMBALA.

    Imaginez-vous un monde vaste, béni, dans un cadre naturel féerique et un climat doux, avec des montagnes majestueuses, des forêts mystérieuses, des champs fertiles, des rivières sinueuses, des chutes d’eau impétueuses. Un monde ayant une organisation parfaite, avec des temples splendides et des villes où vivent des êtres humains qui partagent les mêmes aspirations spirituelles sublimes et un ardent amour de Dieu. Ainsi est Shambala et en même temps il est bien plus que l’on peut se l’imaginer, avant d’y arriver en personne.

    Du fait que la vision paradisiaque présentée plus haut est usuellement associée à la contemplation, il est bien de préciser dès le début que dans ce monde paradisiaque il y a toujours une activité frénétique et que cette activité, dédiée avec amour et don de soi à Dieu, est en étroite liaison avec la planète Terre.

    Depuis toujours, bon nombre d’êtres humains, en apprenant l’existence de ce monde sublime où fleurit la spiritualité authentique, ont eu l’aspiration d’arriver à Shambala. Certains d’entre eux ont réussi, plusieurs en sont revenus avec le don de sagesse, et de fascinantes légendes qui parlent mystérieusement des faits de ces extraordinaires êtres humains, leur message transparaît très clairement : Shambala est réel. Et nous, à notre tour, pouvons le visiter. Dans ce sens, nous devons vouloir cela et savoir comment faire. Bien que Shambala soit seulement un des nombreux mondes parallèles subtils du Macrocosme, il est un monde qui a pour nous, les êtres humains qui vivent sur la Terre, une signification toute à fait spéciale. Shambala est un monde élevé dont le rôle principal est de gouverner, depuis plan subtil, le destin de notre planète: aussi bien le destin spirituel, que l’évolution concrète des événements qui se déroulent sur la Terre. C’est pourquoi, le Roi de Shambala est, stricto sensu, le Roi de notre Planète.

    Le monde de Shambala, qui a transparu au long du temps la spiritualité planétaire, et dans certaines situations, selon la volonté divine, est intervenu de façon active dans la résolution de certaines situations difficiles sur la Terre, a été et est connu par les initiés de notre planète. Encore plus, le mythe de l’existence d’un très heureux monde des sages, qui gouvernent de façon insoupçonnée la Terre, est retrouvé dans toutes les traditions populaires, bien qu’il porte différents noms, comme Tula, l’Île Blanche, le Monde des Bienheureux, La Terre sacrée, La Terre des Dieux Vivants. Dans la tradition orientale ce monde est nommé Shambala, nom qui signifie en sanscrit, „La Source du Bonheur Divin”, et plus précisément, „Ce qui nous offre l’accès à la source de bonheur pur et de joie infinie”. À cause de son rôle, Shambala est surnommé le Centre Spirituel de la Planète. Ce centre sacré n’est pourtant localisé dans le plan physique, donc sur la Terre, mais dans une dimension subtile parallèle, au plan étherique, qui coexiste en simultanéité avec l’univers physique. Ce dénommé plan étherique est la dimension la plus proche comme fréquence de vibration du plan physique et c’est ainsi qu’on explique le fait que les êtres de Shambala peuvent agir instantanément et avec une grande force et un très grand impact dans le plan physique. Le plan étherique peut être considéré comme se trouvant à la limite inférieure (comme fréquence de vibration) de l’univers astral et c’est pourquoi cette il est la dimension intermédiaire qui rend possible la liaison entre le plan physique et l’univers astral.

    Le nom de Centre Spirituel Planétaire reflète le fait qu’en Shambala soient préservées dans d’immenses archives toute la sagesse et toute l’histoire planétaire. En plus, le monde de Shambala et les êtres exceptionnels qui y vivent inspirent en permanence et continuellement toutes les traditions spirituelles authentiques de la Terre. À chaque époque historique, dans toutes les écoles et les courants ésotériques, on peut délimiter une certaine zone (même géographique) d’épanouissement spirituel maximum , où la tradition sacrée est vive, où vivent beaucoup de sages et, en général, beaucoup d’êtres humains incarnés à l’époque et dans la région en question sont préoccupés par la spiritualité. Par les aspirations élevées des êtres humains, la liaison subtile télépathique (affective et mentale) avec le monde de Shambala est très puissante dans la zone en question. Les êtres humains de cet endroit sont directement inspirés par le monde de Shambala et – selon la tradition – ils sont des êtres qui ont vécu en Shambala.

    Il existe des portes secrètes d’accès dans ce monde
    PALAIS MAISONS
    Ainsi, le principal foyer planétaire est considéré comme étant la Projection de Shambala sur la Terre, ce qui veut dire que non seulement sa liaison avec Shambala est très puissante, mais aussi que Shambala agit ainsi directement, pour donner une impulsion à l’évolution spirituelle planétaire, à travers les êtres humains qui ont le privilège de faire des groupements spirituels en question. Pour ces raisons

    SHAMBALA est un monde vaste, mystérieux, souterrain et béni qui existe dans une dimension subtile parallèle. Du fait que son souverain est traditionnellement appelé avec le titre de Roi, ce pays d’une beauté resplendissante est souvent dénommé le Royaume de SHAMBALA.

     

    Imaginez-vous un monde vaste, béni, dans un cadre naturel féerique et un climat doux, avec des montagnes majestueuses, des forêts mystérieuses, des champs fertiles, des rivières sinueuses, des chutes d’eau impétueuses. Un monde ayant une organisation parfaite, avec des temples splendides et des villes où vivent des êtres humains qui partagent les mêmes aspirations spirituelles sublimes et un ardent amour de Dieu. Ainsi est Shambala et en même temps il est bien plus que l’on peut se l’imaginer, avant d’y arriver en personne.

    Du fait que la vision paradisiaque présentée plus haut est usuellement associée à la contemplation, il est bien de préciser dès le début que dans ce monde paradisiaque il y a toujours une activité frénétique et que cette activité, dédiée avec amour et don de soi à Dieu, est en étroite liaison avec la planète Terre.

    Depuis toujours, bon nombre d’êtres humains, en apprenant l’existence de ce monde sublime où fleurit la spiritualité authentique, ont eu l’aspiration d’arriver à Shambala. Certains d’entre eux ont réussi, plusieurs en sont revenus avec le don de sagesse, et de fascinantes légendes qui parlent mystérieusement des faits de ces extraordinaires êtres humains, leur message transparaît très clairement : Shambala est réel. Et nous, à notre tour, pouvons le visiter. Dans ce sens, nous devons vouloir cela et savoir comment faire. Bien que Shambala soit seulement un des nombreux mondes parallèles subtils du Macrocosme, il est un monde qui a pour nous, les êtres humains qui vivent sur la Terre, une signification toute à fait spéciale. Shambala est un monde élevé dont le rôle principal est de gouverner, depuis plan subtil, le destin de notre planète: aussi bien le destin spirituel, que l’évolution concrète des événements qui se déroulent sur la Terre. C’est pourquoi, le Roi de Shambala est, stricto sensu, le Roi de notre Planète.

    Le monde de Shambala, qui a transparu au long du temps la spiritualité planétaire, et dans certaines situations, selon la volonté divine, est intervenu de façon active dans la résolution de certaines situations difficiles sur la Terre, a été et est connu par les initiés de notre planète. Encore plus, le mythe de l’existence d’un très heureux monde des sages, qui gouvernent de façon insoupçonnée la Terre, est retrouvé dans toutes les traditions populaires, bien qu’il porte différents noms, comme Tula, l’Île Blanche, le Monde des Bienheureux, La Terre sacrée, La Terre des Dieux Vivants. Dans la tradition orientale ce monde est nommé Shambala, nom qui signifie en sanscrit, „La Source du Bonheur Divin”, et plus précisément, „Ce qui nous offre l’accès à la source de bonheur pur et de joie infinie”. À cause de son rôle, Shambala est surnommé le Centre Spirituel de la Planète. Ce centre sacré n’est pourtant localisé dans le plan physique, donc sur la Terre, mais dans une dimension subtile parallèle, au plan étherique, qui coexiste en simultanéité avec l’univers physique. Ce dénommé plan étherique est la dimension la plus proche comme fréquence de vibration du plan physique et c’est ainsi qu’on explique le fait que les êtres de Shambala peuvent agir instantanément et avec une grande force et un très grand impact dans le plan physique. Le plan étherique peut être considéré comme se trouvant à la limite inférieure (comme fréquence de vibration) de l’univers astral et c’est pourquoi cette il est la dimension intermédiaire qui rend possible la liaison entre le plan physique et l’univers astral.

    Le nom de Centre Spirituel Planétaire reflète le fait qu’en Shambala soient préservées dans d’immenses archives toute la sagesse et toute l’histoire planétaire. En plus, le monde de Shambala et les êtres exceptionnels qui y vivent inspirent en permanence et continuellement toutes les traditions spirituelles authentiques de la Terre. À chaque époque historique, dans toutes les écoles et les courants ésotériques, on peut délimiter une certaine zone (même géographique) d’épanouissement spirituel maximum , où la tradition sacrée est vive, où vivent beaucoup de sages et, en général, beaucoup d’êtres humains incarnés à l’époque et dans la région en question sont préoccupés par la spiritualité. Par les aspirations élevées des êtres humains, la liaison subtile télépathique (affective et mentale) avec le monde de Shambala est très puissante dans la zone en question. Les êtres humains de cet endroit sont directement inspirés par le monde de Shambala et – selon la tradition – ils sont des êtres qui ont vécu en Shambala.

     

    Il existe des portes secrètes d’accès dans ce monde

    Ainsi, le principal foyer planétaire est considéré comme étant la Projection de Shambala sur la Terre, ce qui veut dire que non seulement sa liaison avec Shambala est très puissante, mais aussi que Shambala agit ainsi directement, pour donner une impulsion à l’évolution spirituelle planétaire, à travers les êtres humains qui ont le privilège de faire Mais, avec le passage du temps, en revenant en arrière sur le fil des siècles, nous découvrons que le Tibet n’a pas toujours été le centre spirituel le plus puissant de la Planète. À chaque période, là où ce foyer se trouvait (en Egypte, en Grèce, en Inde, en Dacie, en Irlande, en Amérique du Sud etc.), il y avait aussi la zone de projection dans le plan physique de Shambala. Et, bien que presque toutes les anciennes traditions sont depuis longtemps oubliées, l’imprégnation spirituelle spéciale de ces endroits demeure : la résonance avec le monde de Shambala est encore puissante dans tous ces endroits, fait qui peut être facilement découvert, en méditation, par les yogis. De même qu’il est plus facile de vivre un état de communion avec Dieu dans une église ou dans la nature – et non pas dans un bar ou dans un magasin – de la même manière, l’imprégnation subtile de ces endroits mystérieux et privilégiés qui ont été, même anciennement, en liaison directe avec Shambala, éveille dans tout être humain pur et harmonieusement réceptif une fascination spéciale, un frisson mystique sous lequel est caché, souvent insoupçonnée, l’influence spirituelle élevée du monde de Shambala. Au-delà de l’attraction touristique du Sphinx d’Egypte, du Temple du Soleil (Mexique) ou du temple d’Apollon de Delphes (Grèce), la fascination exercée par la force spirituelle de Shambala est certainement cachée.


    L’histoire „officielle” fait partie de Kali Yuga

    Il est nécessaire de faire une précision : dans la vision de la sagesse orientale, l’histoire est beaucoup plus „longue” que nous ne l’avons appris à l’école. Si l’histoire officielle s’étend sur quelques dizaines, peut-être centaines de milliers d’années, par contre, la perspective de la spiritualité est vaste, troublante , et presque incompréhensible pour le mental humain ordinaire. Par exemple, le traité d’histoire religieuse tibétaine "Les Annaux Bleus", écrit au XV-ème siècle et pour la première fois traduit en Occident par George Rœrich en 1949, commence par l’évocation de l’histoire du peuple Sakya (duquel Bouddha Gautama descendait). Il est mentionné qu’après la destruction universelle immédiatement antérieure au cycle cosmique présent, une nouvelle création a suivi, la vie des êtres humains durant plusieurs milliards d’années. Après cette première période, est présenté un lignée de non pas moins de 1,2 millions de rois (il est précisé qu’il existe aussi d’autres variantes historiques, selon lesquelles il aurait existé en fait „seulement” 880.000 rois) avant la naissance de Bouddha. Ainsi, la civilisation humaine serait âgée de milliards d’années. La tradition hindoue affirme à son tour que la vie de l’Univers et de la planète Terre est divisée en cycles d’évolution précisément calculés, des cycles concernant aussi bien l’évolution de l’Univers en général, que l’humanité. Dans une présentation simplifiée, chaque cycle du développement de l’espèce humaine dure plus de 4 millions d’années planétaires, et après un nombre précis de cycles, l’espèce humaine disparaît, pour être ensuite à nouveau manifestée – en conformité avec la volonté divine. Un cycle évolutif planétaire commence avec une période d‘épanouissement spirituel maximum (Satya Yuga ou Époque d’or), suivie par un déclin spirituel, une chute lente. En passant par les deux époque intermédiaires (Treta Yuga et Dvapara Yuga, l’Époque d’Argent et respectivement l’Époque de Bronze), il s’en suit la soi disante Époque obscure ou l’Époque de Fer, Kali Yuga, période caractérisée par une chute spirituelle maximale de l’humanité, par l’alternation des valeurs morales et par un matérialisme exacerbé. C’est l’époque dans laquelle nous vivons à présent et presque toute l’histoire „officielle” fait partie de Kali Yuga, bien que certaines traditions (par exemple indienne, grecque, maya et la mythologie égyptienne ancienne) gardent encore quelques souvenirs de l’Époque de Bronze, durant laquelle les êtres humains pouvaient entrer en contact direct avec les Dieux et avaient accès aux mondes parallèles spirituels.

    La tradition maya, à son tour, divise l’évolution planétaire en cycles de la race humaine et affirme que la fin de chaque cycle est marquée par un cataclysme. Conformément à cette historiographie, nous vivons à présent dans la période du cinquième soleil, dont la fin est sensée avoir lieu en 2012, par la modification de l’axe du globe terrestre. Les mêmes cycles „solaires” sont retrouvés avec des similitudes étonnantes dans la tradition iranienne… On pourrait continuer ce passage en revue avec toutes les anciennes traditions connues. C’est pourquoi si on se demande comment il est possible que les anciennes traditions de toute la Terre soient si ressemblantes (surtout qu’il est supposé que les gens de cette époque lointaine n’avaient pas la possibilité de voyager), la réponse la plus probable est que toutes les traditions soient inspirées par une source commune : la vérité. Et elles affirment des choses similaires purement et simplement parce que c’est la réalité.


    votre commentaire
  •  

     

     

     

    But des vaccins Certaines épidémies sont créées de toute pièce afin de lancer des campagnes de vaccination.
    Les vaccins créent les maladies qu’ils sont censés soigner ou en créent d’autres, mais n’ont jamais guéri.
    {Livre, Celui qui vient, Tome 2, Anne Givaudan, Ed. Amrita}
     Certains vaccins permettent d’isoler une ethnie, un groupe d’individus, une race qu’il serait par la suite facile de supprimer.
    {Livre, Celui qui vient, Tome 2, Anne Givaudan, Ed. Amrita}
     Nécessité des vaccins A la question « les vaccinations sont elles obligatoires ? », Edgar Cayce a répondu que l’usage régulier de carottes chaque jour comme repas (ou partie de repas) assurera de ne pas contracter de maladies contagieuses.
    {Livre, Univers d’Edgar Cayce (L’), Dorothée Koechlin de Bizemont, Ed. J’Ai Lu}
     Seuls quatre vaccins sont légalement obligatoires pour tous les jeunes enfants : BCG, vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la polio. En outre, les vaccins sont obligatoires pour les adultes exerçant certaines professions. Dans tous les cas, ces vaccinations peuvent être faites par le médecin de votre choix. Il n’est jamais obligatoire de se faire vacciner lors d’une séance de vaccination collective ou par un service de vaccination.

    Légalement, le directeur de l’école est tenu d’assurer l’inscription d’un enfant, l’absence des vaccins obligatoires n’est pas un motif de non-inscription. Les parents ont un délai de trois mois pour se mettre en règle (au delà, il y a risque d’exclusion de l’école, ainsi qu’une amende (250 F ou 1000 F en cas de récidive pour l’absence de BCG, 10000 F ou 20000 F en cas de récidive pour diphtérie, tétanos, polio), et éventuellement suppression des allocations familiales). Tout parent peut produire un certificat médical de contre-indication. Le médecin n’a pas à justifier les raisons de cette contre-indication sauf dans le cas du BCG. En vertu des dispositions concernant le secret médical, seul le médecin scolaire peut exiger de voir le carnet de santé de l’enfant, et non le directeur à qui les parents peuvent ne montrer que les certificats de vaccination (photocopie des certificats du carnet de santé) ou de contre-indication. Dans les écoles, avec des certificats de contre-indication successifs, un enfant peut espérer suivre toute sa scolarité sans problème.
    {Magazine, Alternative Santé, No 20, 04/2000, Hors Série}
     –~~~~~~~~~~~~– Les vaccins sont ils inoffensifs ? En 1992, en Bavière (Allemagne), il y a eu plus de 1000 réclamations de victimes de vaccinations. 481 ont été reconnues légitimes et les plaignants ont reçu chacun l’équivalent de 115 000 F. Du coup, l’état allemand a supprimé les obligations vaccinales.
    {Magazine, Vérités Santé, No 66, 14/10/2000}
     Pour éviter les conséquences de la vaccination, il faut un tube d’argile en pâte (vendu en diététique), un pansement de gaze, et un rouleau de sparadrap.
    Dés que l’injection est faite (aussitôt après), il faut tartiner l’argile sur le vaccin, placer le pansement par dessus et le fixer. Au bout de 2 heures, le vaccin sera absorbé par l’argile. Le pansement pourra donc être retiré.
    {Magazine, Vérités Santé, No 66, 14/10/2000}
     « Plusieurs de vos vaccins constituent de terribles blocages dans l’évolution de vos enfants. Les êtres qui vont arriver sur les sphères d’accueil recevront les premiers soins réparateurs des séquelles laissées par vos vaccins et, croyez moi, celles ci ne sont pas du tout anodines. »
    {Livre, Grandes Voies du Soleil (Les), Soria, Ed. Ariane}
     Cf Dossier – Les vaccins sont ils inoffensifs ?
     • Vaccins de la petite enfance « What Doctors Don’t Tell You, U.K., vol. 4, N°8, 1993″ et le « NVIC (National Vaccine Information Center) News, US Oct. 1993″, conclurent que tous les Vaccins qui sont administrés à des enfants causent des préjudices ou des dommages.
    {Livre, Esprit du soleil (Par l’), Anne et Daniel Meurois Givaudan, Ed. Arista}
     Il existe plus d’une étude scientifique dans les milieux médicaux prouvant, hors de tout doute, que la vaccination des enfants âgés de moins de deux ans est, non seulement très dangereuse pour ces même enfants, mais encore, celle-ci attaque directement le système immunitaire de ces même enfants. Ces études furent publiées et commentées, dans le passé, dans plusieurs journaux médicaux de différents pays.
    {Dossier, Dossier d’Enquête Journalistique, Serge Monast, Ed. Presse Libre Nord Américaine}
     Pratiquée trop tôt et trop brutalement, la vaccination met en danger le fragile équilibre énergétique de l’enfant…
    Les conséquences désastreuses qui peuvent en résulter seront évitées en refusant de vacciner l’enfant de 6 ou 8 mois, période où il est protégé par les anticorps maternels. Les vaccins seront faits séparément afin d’éviter le choc provoqué par l’inoculation brutale de 3 ou 4 maladies en même temps (diphtérie, tétanos, polio et coqueluche).
    Enfin, la vaccination devra être précédée par la prescription du nosade vaccinal en 9CH, deux ou trois jours avant l’injection.
    L’ensemble de ces mesures s’avère efficace pour prévenir les perturbations énergétiques majeures. Quant au nombre de vaccinations, il sera réduit à deux, la troisième étant remplacée par la prescription du nosade en 5, 9, 12 et 15CH, les doses étant prises à un jour d’intervalle. Elmiger affirme que cette pratique fait merveille conférant une immunité à vie.
    Seuls les vaccins diphtérie, tétanos, polio et rubéole sont préconisés. Pour les autres (oreillons, rougeole, coqueluche et BCG) Elmiger développe toute une argumentation qui établit leur nocivité et en proscrit l’emploi.
    {Livre, Révolution silencieuse de la médecine (La), Joseph Levi (Dr), Ed. Le Club}
     Elmiger dit que « chaque fois que vous entendez parler d’une affreuse mort d’enfant, terrassé dans les premières semaines de sa vie par une « méningite virale », vous êtes en droit de suspecter le BCG même si l’autopsie a confirmé le diagnostic viral. ».
    Le BCG peut causer aussi une infirmité motrice cérébrale.
    Elmiger et d’autres homéopathes constatent que les infirmes dont ils ont eu à s’occuper ont tous reçu une vaccination à la naissance.
    {Livre, Révolution silencieuse de la médecine (La), Joseph Levi (Dr), Ed. Le Club}
     « Nos enfants risquent la mort ou de graves effets indésirables à long terme à cause de vaccins obligatoires qui ne sont pas nécessaires ou ne présentent que des avantages très limités. » (Jane M. Orient, Docteur en Médecine, Directrice de l’Association des Médecins et des chirurgiens Américains)
    {Magazine, Nexus, No 14, 05-06/2001}
     –~~~~~~~~~~~~– Vaccins •DT Polio
     Seul vaccin obligatoire de la petite enfance.
    Prendre avant : une dose de thuya 9 ch ou 15 ch, la veille, pour éviter la fièvre.
     •BCG (tuberculose)
     Obligatoire à 6 ans si collectivité d’enfants. Prendre avant une dose de tuberculinum 9 ch.
     •Vaccin contre la variole et la polio (vaccin de Salk)
     A Montréal, avant la vaccination, il y avait moins de 100 cas. Après la vaccination, il y a eu 521 cas, et 27 morts.
    A Ottawa, avant la vaccination, il y a eu 64 cas, et 7 morts. Après la vaccination, il y a eu 455 cas, et 41 morts
     En 1918, il y avait très peu de cas de variole.
    En 1919, après la vaccination, 47 369 personnes eurent la variole (16 477 en moururent).
    L’armée a vacciné 7 670 252 personnes. Il y a eu 65 180 cas variole (44 408 décès).
     Le dernier cas en France date de 1991 : il était dû au vaccin.
    La maladie a disparu des pays industrialisés.
    Effets indésirables officiellement admis (selon le GdV) :
    - aucun effet chez les personnes vaccinées avec le vaccin injectable
    - 1 cas pour 5,5 millions de doses (1 pour 2,4 millions en Amérique) avec le vaccin oral.

    Sur les 109 derniers cas de polio enregistrés en France, 11 étaient dus au vaccin (oral).

    80% des enfants de la planète sont vaccinés. Le nombre de cas de poliomyélite paralytique a été divisé par 10, passant de 35000 en 1988 à 3250 en 1999.
    Il est possible que le vaccin y soit pour quelque chose…
    {Magazine, Alternative Santé, No 20, 04/2000, Hors Série}
     •Vaccin contre l’hépatite B
     Le docteur Hartman, pédiatre, a déclaré au « journal of pediatric child health » 1960, 26 :
    « Il y eut des effets secondaires rapportés suite aux vaccinations contre l’hépatite B. Il y eut un rapport concernant un patient avec du « pruritus » et un oedème infra-orbital. Il fut rapporté 6 cas sérieux de maladies dans une série de vaccinations contre l’hépatite B: « Erythema multiforma, aseptic méningitis, grand mal seizure, syndromes de Guillain-Barre. »
    {Livre, Celui qui vient, Tome 2, Anne Givaudan, Ed. Amrita}
     « Après les millions de victimes du vaccin de la variole, puis du BCG, il y a maintenant ceux du vaccin hépatite. Mais, jamais les propagateurs fanatiques de ces impostures légalisées sont inquiétés. »
    {Magazine, Vérités Santé, No 60, 10/06/2000}
     •Vaccin contre la diphtérie
     Au Royaume Uni, plus de 30 000 cas de diphtérie furent rapportés parmi les enfants vaccinés.
    En Allemagne, en 1940, il y eut une obligation de l’immunisation de masse. En 1945 les cas de diphtérie avaient augmenté de 40 000 à 250 000…
    Le docteur Supperat, docteur en Chef de l’hôpital Saint Louis aux Etats Unis a déclaré concernant les vaccins contre la diphtérie et la variole :
    « Ils provoquent une explosion de Leucémie »
    {Livre, Celui qui vient, Tome 2, Anne Givaudan, Ed. Amrita}
     •Vaccin contre la grippe
     Le 23 juin 1979 « The Australian journal » publie une lettre du docteur A. O’ Rourke surintendant médical de l’hôpital général de Toowoomba et dont la conclusion est la suivante :
    « … pendant plusieurs années, le sentiment profond parmi le public et les médecins fut que le vaccin contre la grippe non seulement était tout à fait inutile mais encore qu’il rendait malade. »

    Le « Australian Doctor, Juin 18, 1993″ rapporte ce fait troublant :
    « Les patients atteints d’arthrite inflammatoire ne devraient pas recevoir le vaccin contre la grippe à cause de son potentiel d’aggraver leur condition, selon un éminent rhumatologue australien. »

    The Lancet (10-8-74) contient les détails d’une étude impliquant 50000 employés des postes et les vaccinations contre la grippe : « …les résultats jusqu’à présent obtenus démontrent sue l’offre annuelle d’une injection du vaccin dans une vaste industrie n’a pas entraîné une réduction significative de la maladie. »
    {Livre, Celui qui vient, Tome 2, Anne Givaudan, Ed. Amrita}
     D’après le Dr Anthony Morris, anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des Etats Unis « Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’infuenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien mais ils continuent à le vendre tout de même. »
    {Bande dessinée, Vaccination : La grande illusion, René Bickel, 116, rue de Mittelwihs 68150 OSTHEIM}
     •Vaccin ROR
     En février 1998, des médecins britanniques ont annoncé les fortes preuves d’un lien entre le vaccin ROR (rougeole, oreillon, rubéole), l’autisme et les maladies intestinales chez les enfants. Dans une autre étude, menée par le professeur John O’Leary, on a trouvé le virus de la rougeole dans l’intestin de 24 des 25 enfants qui développaient une entérocolite autistique après une petite enfance sans problème de santé apparent.
    Un groupe de chercheurs indépendants au Japon a aussi découvert le virus de la rougeole dans le sang de trois patients du Docteur Wakefield -et ils disent que l’empreinte génétique est « compatible » avec la souche utilisée dans le vaccin ROR.
    {Magazine, Nexus, No 10, 09-10/2000}
     « Le Dr Andrew Wakefield, chef de service de gastro-entérologie dont les recherches ont établi un lien entre le vaccin ROR et l’autisme et les troubles intestinaux a annoncé le 1er décembre qu’on lui avait demandé de démissionner en raison de ses travaux. »
    {Magazine, Nexus, No 25, 03-04/2003, Colombie, une aide américaine bien intéressée ! www.projectcensored.org, Rachel’s Environment & Health News, 07/12/2000, Steelabor}
     •Vaccin contre la coqueluche
     D’après « Community Disease Surveillance Center » :
    PERTUSSIS EN ANGLETERRE
     Année Cas enregistrés % de ceux vaccinés
    1970 16 597 79%
    1971 16 846 79%
    1972 2 069 79%
    1973 2 441 79%
    1974 16 230 72%
    1975 8 910 60%
    1976 4 278 39%
    1977 18 717 41%
    1978 67 008 31%
    1982* 47 508 50%
     * premier 9 mois
     Ce tableau parle par lui-même.
    Note de l’auteur :
    On voit que le nombre de cas de maladie chez les personnes vaccinées triple entre 70 et 82 donc le vaccin n’est pas efficace. Il y a autant de malades si ce n’est plus même avec les nouveaux types de vaccins.

    « Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche… il est responsable d’un grand nombre de mortalité et d’un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveaux-nés. » (Docteur Arche Kalorekinos, Sunwell Tops, NSW, 24 mai 1987)
    {Livre, Celui qui vient, Tome 2, Anne Givaudan, Ed. Amrita}
     A savoir : on a relevé une fréquence nettement plus importante d’otites, de crises d’asthme et de maladies diverses chez les enfants vaccinés contre la coqueluche.
    {Magazine, Alternative Santé, No 20, 04/2000, Hors Série}
     •Vaccin contre la variole
     27.01.03 – Une arme américaine contre les pays européens: la variole
     27 Janvier 2003
    La variole n’existe plus à l’état naturel mais bel et bien dans les laboratoires de l’armée americaine.
    les USA veulent soumettre les pays européens à une vaccination forcée qui entrainerait des milliers de morts et des millions de malades
     Allemagne -
    Le gouvernement Allemand est en train de stocker 100 millions d’unités de vaccin contre la variole et planifie la vaccination obligatoire de tous les allemands, éventuellement sous couvert d’une nouvelle Loi. La variole n’existe plus à l’état naturel mais bel et bien dans les laboratoires de l’armée americaine.
    Dans la nuit du 21.1.03 la chaîne CNN et la télévision allemande ntv (part de CNN) ont montré que les troupes americaines sont déjà en train de charger les avions d’une part avec des armes biologiques de la variole et d’autre part avec des produit de vaccination pour leurs soldats. Ils on confirmé qu’ils souhaitaient utiliser les grenades biologiques en Irak « en défense ».
     Alors qu’ici en Allemagne le gouvernement dit qu’il faut avoir peur des terroristes car ils peuvent utiliser des bombes de variole, en verité « on » a assigné à l’armée allemande la tache de s’occuper des soldats américains qui seraient blessés, à charge d’aller les chercher en Irak. C’est-a-dire qu’en Allemagne arriveraient les avions imbibés de la poussière bactériologique et les soldats américains infectés.
     Voilà ce qui explique pourquoi le gouvernement allemand, au delà de ses déclarations officielles, veur faire vacciner 82 millions d’Allemands et touts les gens qui passeraient par l’allemagne. La guerre biologique est déjà en préparation. Les avions allemands de service medical sont déjà là-bas à Beyrouth pour servir les américains.
     Sur 10.000 vaccinés éventuels, cette vaccination entraînerait la mort de 1 personne et 300 autres tomberaient malades. Autrement dit sur l’ensemble de la population la vaccination généralisée conduira à la mort de 8.200 allemands et provoquerait une grave maladie chez 2,4 millions de citoyens. La vaccination contre la variole entraîne une inflammation du cerveau pouvant provoquer une dimension d’immense débilité – idiotie notamment sur les tout petits-enfants, lesquels devraient être traités pour tout le reste de leur vie et n’auraient pas la chance de se déveloper normalement. Cette immense catastrophe qui se produirait en allemagne induirait aussi évidemment des drames à l’ensemble des pays d’Europe.
     Ceux qui méneraient ces actions de vaccination anti variolique en europe parviendraient à faire de la France et
    de l’Allemagne des pays en ordre de « marcher bien en ligne » selon les voeux de Bush et de ses bandits du pétrole. Le fait que le gouvernement allemand déclare avoir déjà stocké 20 millions d’unités de vaccin confirme qu’il veut commencer à vacciner lorsqu’il aura le stock nécessaire pour tous les allemands (réserve de 100 millions d’ unités) c’est à dire en Avril 2003.
     (l’information télé a été diffusée dans la nuit du 21.1. entre 23h00 et 24h00 h mais n’a pas été répété le jour suivant, le contrôle s’exerçant aussitôt).
    {Site Internet, http://usgohome.free.fr/actualite/actualites.htm}
     « La littérature médico-sanitaire regorge d’exemples prouvant que la vaccination anti-variolique, non seulement n’a jamais endigué la maladie, mais a, au contraire, déclenché des épidémies dans les populations concernées, les vaccinés étant de loin les plus touchés (voir L’intoxication Vaccinale de Fernand delarue, ed. Seuil et Vaccination l’Overdose de Sylvie Simon, Ed. Déjà). Mais plus grave encore sont les séquelles post-vaccinales, ce qui a fait dire, en novembre 1960, à Max Henri Beguin, pédiatre, dans le Bulletin des Médecins suisses : « Le risque d’encéphalite post-vaccinale est deux mille fois plus grand que celui de la variole ».
    (…)
    En moyenne, les spécialistes estiment que, sur 10000 vaccinés, une personne meurt et 300 autres deviennet gravement malades.
    (…)
    Chez les petits enfants, le vaccin antivariolique peut entrainer une inflammation du cerveau, provoquant une débilité irréversible, des paralysies ou des handicaps moteurs. »
    {Magazine, Soignez-vous, Santé Pratique, No 10, 22/02/2003}
     –~~~~~~~~~~~~– Message à envoyer pour éviter la vaccination Modèle de lettre à envoyer aux administrations qui réclament des
    VACCINS
    (Adaptation du modèle proposé par
    la ligue pour la liberté des vaccinations)
     Madame, Monsieur,
     Faisant suite à l’arrêté du 5 novembre 1998, le directeur de l’Agence du médicament a pris, le 16 janvier 1999, une mesure conservatoire interdisant l’utilisation de 173 médicaments d’origine animale en dilution inférieure à la 4è centésimale.
     Parmi ces médicaments :
    . VAB qui est une dilution du BCG ;
    . DTTAB qui est une dilution des trois vaccins diphtérie-tétanos-typhoïde A et B ;
    . Influenzinum qui est une dilution du vaccin contre la grippe ;
    . Tuberculinum qui est une dilution de tuberculine avec laquelle sont faits les tests tuberculiniques ;
    . Serum equi qui est une dilution du sérum antitétanique.
     Cette mesure interdit donc la prise de ces médicaments en dessous de la 4è centésimale dans le but d’éviter à ceux qui les utilisent une contamination par des virus conventionnels et non conventionnels d’origine animale.
     Si je comprends bien, ce mode d’absorption peut être tellement dangereux en dessous de cette dilution qu’il a justifié une telle mesure. L’injection percutanée de vaccins allopathiques, non dilués, est donc implicitement des milliers de fois plus dangereuses et devrait tomber sous le coup de cette mesure.
     Puisque, contrairement aux autres pays de l’EU, la vaccination est encore obligatoire en France pour le BCG, le tétanos et la diphtérie-polio, je suis d’accord pour faire vacciner (mon enfant, moi-même) à la condition que ces vaccins soient fabriqués ainsi que l’a préconisé l’agence du médicament en dilution supérieure à la 4è centésimale (4 CH).
     Je vous prie donc de me fournir la liste des laboratoires qui les fabriquent afin de pouvoir me les procurer. Je demande également votre engagement écrit, selon lequel, même à cette dilution, la vaccination que vous me demandez ne comporte pas de risques connus, comme ceux énoncés par l’Agence du médicament en dessous de cette dilution, même en per linguale.
     Espérant que vous disposerez de tous les éléments techniques pour assumer personnellement la responsabilité de cet acte médical,
     Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes cordiales salutations
    {Site Internet, http://home.nordnet.fr/~jmglantzlen/vqsoigner1.htm}


    votre commentaire
  • ALLERGIES AU LAIT

    ALLERGIES AU LAIT

    ALLERGIES AU LAIT

     

    LES PRODUITS LAITIERS PEUVENT ÊTRE LA CAUSE DE VOS DOULEURS La caséine, une protéine contenu dans le lait est responsable de bien des maux.

    LES PRODUITS LAITIERS PEUVENT ÊTRE LA CAUSE DE VOS DOULEURS Le lait n'est pas un aliment convenable pour l'adulte. Il existe de nombreux troubles liés aux produits laitiers, tels que des problèmes digestifs, allergies,... Le lait n'est pas indispensable pour les apports de calcium. Ce n'est pas tout d'ingérer tant de grammes de calcium par jour, encore faut-il qu'il soit sous forme assimilable : les autres facteurs étant le rapport calcium/phosphore, des apports vitaminiques, des facteurs hormonaux,... Aucun animal ne boit le lait d'un autre animal, et l'espèce humaine n'a pas eu le temps depuis ces 9000 dernières années de s'adapter adéquatement au lait.
     ALLERGIE AUX PRODUITS LAITIERS
     L'allergie aux produits laitiers est une des réactions allergiques les plus répandues, notamment en Amérique du Nord. Les études démontrent que 65 % des personnes qui souffrent d'allergies alimentaires sont allergiques au lait, plus spécifiquement à la protéine contenu dans le lait, la caséine.
     Causes La forme adulte de l'allergie au lait, appelée ici «allergie aux produits laitiers», est une réaction du système immunitaire qui crée des anticorps pour combattre l'aliment indésirable.
     Cette allergie est différente de l'allergie aux protéines du lait de vache (protéines bovines), qui touche les nouveau-nés et les enfants. Il ne faut pas non plus confondre l'allergie aux produits laitiers avec l'intolérance au lactose qui, même si elle se manifeste surtout chez les adultes, n'est pas une réaction du système immunitaire mais le résultat d'une déficience du système digestif qui ne produit pas suffisamment de lactase, l’enzyme nécessaire à la digestion du lactose.
     Symptômes et signes L'allergie aux produits laitiers cause des symptômes variés tels que constipation, diarrhée, flatulences, eczéma, urticaire, nausées, migraines, infections, crampes abdominales, congestion nasale et même de graves crises d'asthme.
     Aliments à privilégier Les produits laitiers sont une source importante de calcium mais, d’un autre côté, la caséine présente dans le lait de vache cause une décalcification massive des os chez l’adulte. Puisque les adultes doivent les éliminer de leur alimentation, elles doivent consommer des aliments non laitiers riches en calcium.
     L'apport quotidien recommandé en calcium est de 800 mg; 1 200 mg pour une femme enceinte ou qui allaite. Le tableau suivant indique la quantité de calcium contenue dans les aliments non laitiers pour une portion d'une tasse (8 onces). Les aliments énumérés ci-dessous offrent tous un minimum de 50 mg de calcium par tasse.
     Légumes •Chou chinois cuit : 330 mg
     •Épinards cuits : 167 mg
     •Chou frisé cuit : 147 mg
     •Persil : 200 mg
     •Feuilles de pissenlit : 150 mg
     •Brocoli : 135 mg
     •Laitue Iceberg : 91 mg
     •Okra cuit : 78 mg
     •Laitue Boston : 77 mg
     •Panais cuit : 70 mg
     •Navet cuit : 54 mg
     •Laitue romaine : 50 mg
     •Choux de Bruxelles : 50 mg


    Fruits •Dattes : 105 mg
     Germes •Soya : 50 mg
     Algues •Wakame : 3 500 mg
     •Kombu : 2 100 mg
     •Nori : 1 200 mg
     •Agar-Agar : 1 000 mg

    Légumineuses •Tofu : 150 mg
     •Graines de soya : 130 mg
     •Fèves Pinto : 100 mg
     •Fèves de Lima : 80 mg
     •Lentilles : 50 mg
     Céréales •Tapioca (séché) : 300 mg
     •Tortillas (2) : 120 mg
     •Quinoa cuit : 80 mg
     •Maïs (grain entier) : 50 mg
     •Farine de blé entier : 50 mg
     Poissons et fruits de mer •Sardines (en conserve): 992 mg
     •Saumon (en conserve) : 445 mg
     •Crevettes : 260 mg
     •Huîtres crues : 226 mg
     Noix et graines •Amandes : 332 mg
     •Graines de tournesol : 260 mg
     •Arachides salées et rôties : 107 mg
     •Pacanes : 79 mg
     Aliments à éviter Les allergiques doivent complètement éliminer le lait, les produits laitiers et leurs dérivés de leur alimentation. Un truc pour reconnaître un produit sans lait est de vérifier si les lettres K ou P entourées sont inscrites sur l'étiquette. Si c'est le cas, ce produit est certifié «kasher» (c'est souvent le cas de la margarine), c'est-à-dire qu'il est fabriqué sans lait de vache ou à base de substituts. Cette règle de la culture juive permet aussi aux personnes allergiques de déterminer quels produits ne contiennent pas de lait ou de produits laitiers.
     Les produits laitiers les plus courants sont la crème à café, la crème aigre, la crème glacée, le yogourt, le babeurre, les fromages (incluant le fromage blanc et le fromage à la crème), le beurre et le lait fouetté, évaporé et condensé. Les produits suivants semblent inoffensifs, mais ils contiennent une quantité suffisante de lait ou de ses dérivés pour provoquer une réaction allergique légère ou grave :
     •béchamel
     •biscuits
     •chocolat et friandises
     •crème anglaise
     •crêpes
     •gaufres
     •pâtes alimentaires
     •poisson et poulet panés
     •poudings
     •purée de pomme de terre
     •quiches
     •beignets et pâtisseries
     •pain
     •légumes frits ou sautés au beurre
     •sauces
     •saucisses
     •sorbets
     •soufflés
     •soupes en crème
     •tartes et gâteaux
     •trempettes à saveur de fromage
     •viandes froides
     •viandes, œufs
     •tartinades
     •vinaigrettes crémeuses
     Les substituts du lait ou diètes semi-élémentaires
    Les substituts du lait ou diètes semi-élémentaires sont des aliments de synthèse qui possèdent de nombreux atouts. Ils peuvent être utiles lors d’intolérance au protéine de lait de vache ou de problèmes de transit. Le point sur les principaux produits.
     Les progrès récents de la nutrition pédiatrique ont amené sur le marché des produits industriels de grande qualité composés de nutriments semi-élémentaires qui se caractérisent par une remarquable tolérance et une excellente valeur nutritionnelle. Ces "laits synthétiques" se caractérisent par une absorption rapide des nutriments, soulageant l’activité enzymatique de l’organisme.
     Des protéines hydrolysées...
     Ils sont caractérisés par une hydrolyse enzymatique poussée des protéines de lait de vache (caséine-lactosérum). L’Aptamil HA fait figure d’exception dans cette catégorie puisqu’il est préparé à partir de protéines de soja et de collagène de boeuf et qu’il contient du lactose. L’hydrolyse poussée des protéines de lait de vache permet d’obtenir des petits peptides d’un PM compris entre 1 500 et 5 000 daltons ainsi que des acides aminés libres, ce qui confère à ces protéines des propriétés anallergéniques. Pour la plupart, ils renferment 50 % des lipides totaux sous forme de TCM ; ils sont enrichis en huile végétale afin d’assurer un apport correct en acides gras essentiels. Il n’y a ni saccharose ni lactose ; le sucrage est constitué par des dextrines-maltose et des polymères de glucose.
     Intérêt
     Ces formules sont généralement conseillées chez les prématurés de petit poids de naissance en complément du lait de mère, lors d’intolérance aux protéines de lait de vache (PLV), dans les syndromes de malabsorption-maldigestion intestinale (mucoviscidose, cholestases chroniques etc), les diarrhées graves et/ou prolongées, ou lors de résections intestinales. Leur intérêt dans les coliques idiopathiques des nourrissons est l’objet de controverses : les douleurs abdominales sembleraient moins fréquentes. Est-ce du fait de l’absence du lactose ou des PLV ?
     Principaux produits
     Les principaux mélanges semi-élémentaires industriels contenant des hydrolysats de protéines sont :
     Alfaré (Nestlé) : hydrolysat de protéines du lactosérum ; Aptamil HA (Milupa) : hydrolysat de collagène de boeuf et isolats de soja ; Galliagène progress (Gallia) : hydrolysat de caséine ; Nutramigen (Mead Johnson) : hydrolysat de caséine ; Pepti-Junior (Nutricia) : hydrolysat de protéine du lactosérum ; Pregestimil (Mead-Johnson) : hydrolysat de caséine ; Prégomine (Milupa) : hydrolysat de collagène de boeuf et isolats de soja. Le Nutramigen est prescrit lors des allergies alimentaires, les intolérances (PLV, lactose, saccharose) et dans les coliques idiopathiques.
     Le Prégestimil est utilisé dans les diarrhées sévères ou chroniques, les allergies alimentaires, les intolérances (PLV, lactose, saccharose), les malabsorptions digestives et la mucoviscidose. Dans ce dernier cas, la prescription bénéficie du remboursement TIPS. Hormis cette indication, toutes ces préparations synthétiques de composition sophistiquée ont un coût élevé rarement pris en charge par la Sécurité sociale, ce qui pose souvent des problèmes pratiques. D’autre part, le goût amer de ces produits rend parfois difficile leur acceptation par des nourrissons dont le sens gustatif n’est pas toujours aussi déficient qu’on veut le faire croire. A noter toutefois des recettes appétissantes à préparer avec le Nutramigen ou le Prégestimil (crème à la banane, courgettes farcies, mousse de pomme meringuée, etc.) que le lecteur intéressé pourra trouver dans un livre de recettes disponible auprès du fabricant.
     Par quoi remplacer la crème fraîche ?
    Vous ne voulez, ou ne pouvez pas utiliser de crème fraîche ?
     Il existe des préparation tyupe "soja cuisine" mais vous ne pouvez pas non plus en utiliser ?
     Le lait d’avoine, un peu épais peu les remplacer. Pour avoir la consistance de la crème, ne secouez pas la bouteille avant de l’ouvrir : vous récupérez le dessus plus liquide et la fin sera plus épaisse.
     Par quoi remplacer le lait de vache dans les recettes ?
    En cuisine, par quoi remplacer le lait de vache ?
     - Dans les recettes sucrées, vous pouvez remplacer le lait de vache par du lait de : soja, riz, amandes, coco, avoine...
     Attention toutefois à diminuer la dose de sucre dans les préparations, puisque ces laits sont parfois déjà sucrés.
     - Dans les recettes salées, vous pouvez remplacer le lait de vache par :
     de l’eau du bouillon de volaille, de légumes, de viande les laits cités plus haut, mais en veillant à ce qu’ils ne soient pas sucrés ni parfumés.
     Pensez également à la sauce tomates...
     En cas d’allergie, et dans toutes les recettes, vous pouvez utiliser un lait hypo-allergénique (en pharmacie) ou un hydrolysat en poudre, prescrit par un médecin.


    votre commentaire